Mosaïque | IRAK - 10 ans, 100 regards - 2003-2013 Mars 2003 – mars 2013. Dix ans de guerre vus d’Irak et d’ailleurs dans un webdocumentaire enrichi au quotidien jusqu’au au 1er mai – le jour où George Bush déclara la « mission accomplie ». Que sait-on de l’Irak ? Quelles images évoque-t-il en nous ? Un berceau pour l’écriture, de l’or en noir, une guerre en prime-time, un dictateur déchu, puis aujourd’hui, une actualité au flou sanglant. Les médias occidentaux, désormais moins prolixes, renvoient de Bagdad l’écho lointain d’un chaos ordinaire. Dans ce webdocumentaire, leur voix occupe la place centrale grâce à leurs reportages vidéo, leurs photos, leurs interviews. Les plumes de trois grands quotidiens européens partenaires – Le Monde, la Süddeutsche Zeitung et The Guardian – enrichissent le tableau. Au final, une ambition : lire ensemble une décennie irakienne sous l’éclairage de ses principaux acteurs. Un travail qui s’inscrit dans la collection entamée avec l’Afghanistan en 2011, à (re)découvrir sur notre site. Les dix univers L’exil.
e-Diasporas The e-Diasporas Atlas is a unique experiment in research on diasporas as well as in publishing, a first in the restitution of scientific findings and their presentation. Historically, the emergence of e-diasporas occurred in tandem with the diffusion of the Internet and the development of multiple online public services. At the end of the 1990s, a number of institutions joined forces with the new ‘e’-technologies (e-administration, e-democracy, e-education, e-healthcare, e-culture, e-tourism), which gave rise to the first presence on the Web of associations run by migrant populations. If the earliest websites were produced by IT professionals, we soon saw the diffusion of the Web in all of the diasporic communities and at all levels. A migrant site is a website created or managed by migrants and/or that deals with them (at any rate, a site for which migration or diasporas is a defining theme). An e-diaspora is both ‘online’ and ‘offline’. e-Diasporas methodology 1) Shaping Concepts
24 janvier 2013. La géopolitique, ça sert, aussi, à lire des livres! | Géopolitique Que l’on me pardonne ce jeu de mots avec l’ouvrage fondateur d’Yves Lacoste, La géographie, ça sert, d’abord, à faire la guerre, qui fit scandale en 1976. Réédité en 2012 à La Découverte, j’en conseille la lecture à quiconque veut s’initier à ce qu’est la géopolitique en suivant l’itinéraire et les réflexions claires et nettes d’un grand géographe. Et pour continuer le plaisir de lecture, les éditions Choiseul ont publié en 2010 une série d’entretiens entre Yves Lacoste et Pascal Lorot autour du titre La géopolitique et le géographe : l’occasion de revenir sur son itinéraire intellectuel et d’interroger les différentes définitions et applications de la géopolitique en les confrontant au terrain actuel (la nation, la décolonisation, la Chine, l’Occident, etc.). C’est quoi, la géopolitique ? Trois fondamentaux Je conseille trois ouvrages, pour le plaisir que j’ai à les utiliser, et l’accessibilité de leur langue. - Patrice Gourdin, Géopolitiques, manuel pratique (Choiseul, 2010).