Les grandes tendances de l'Internet et des réseaux sociaux en Chine
Les agences We Are Social Singapour et Go-globe ont récemment réalisé divers travaux qui présentent les principaux chiffres mais également les tendances de l’Internet chinois pour l’année 2013. Nous allons dans cet article évoquer certains de ces chiffres clefs et décrypter les principales tendances à savoir les réseaux sociaux et le e-commerce. La Chine premier pays en termes d’internautes Voici les principaux chiffres qu’il faut retenir concernant l’Internet chinois : 564 millions d’Internautes (1er pays à l’échelle mondiale).Soit 42% de pénétration (sur une population totale de 1,4 milliards d’habitants).57% sont des hommes.80% des utilisateurs ont entre 10 et 40 ans.420 millions de chinois accèdent à Internet via leur téléphone.Messagerie instantanée, recherche en ligne et écoute de musique sont les principales activités online en ChineLes chinois suivent en moyenne 8 marques sur les réseaux sociaux Les réseaux sociaux chinois au cœur du numérique Typologie de ces réseaux Conclusion
Petit manuel de savoir-être en réunion : Aborder les vrais sujets
Il arrive que les participants ne se sentent pas concernés « parce qu’ils ne comprennent pas l’intérêt de leur présence, constate encore la coach. On les a convoqués, on ne leur a pas communiqué d’ordre du jour, on ne leur a pas laissé le choix de venir ou pas, selon leur intérêt ou leurs priorités. Dès lors, personne ne s’empare réellement des sujets, et c’est une frustration pour tous ». Il arrive également que tous les sujets soient mélangés, « ceux qui relèvent de la stratégie (les grandes directions), de l’opérationnel (la mise en oeuvre) ou du relationnel, alors que chacun mérite des temps et des formats de réunion différents, affirme Bernard Marie Chiquet. Si bien que l’on saute d’un niveau à l’autre sans avancer sur rien ». Comment faire autrement ? D’abord en reprenant les fondamentaux : envoyer des invitations qui, si possible, explicitent en quoi la présence de chacun est utile. Aboutir à des décisions
La créativité, une matière trop souvent en option
Petite leçon sur l'école faite à TEDx. On se rassure le professeur s'appelle Sir Ken Robinson et il nous délivre un discours iconoclaste. Dans cette conférence TED de 2006, le spécialiste anglais de l’éducation Sir Ken Robinson explique que l’école devrait faire sa révolution en encourageant la créativité plutôt que de la tuer. Dans ce but, il prône le droit à l’erreur et, plus généralement, invite à repenser notre conception de la richesse de la capacité humaine. Aujourd’hui indexée sur le point de vue universitaire, l’éducation doit remettre les arts au centre. Voici la version animée de la conférence de Sir Ken Robinson sur le même thème, donnée à la RSA (Royal Society encouragement for the Arts) à Londres au mois d’octobre dernier : À lire aussi sur OWNI : “L’éducation musicale en France, une partition discordante” Image CC Flickr John-Morgan
Réseaux sociaux et crises : ils changent les sociétés, le monde… et l’entreprise
Ainsi, pour répondre aux nouveaux enjeux du monde économique et du monde tout court, les manières de penser l’entreprise, l’organisation et le management doivent évoluer et se restructurer sous peine de ne pouvoir projeter et construire un futur cohérent, souhaité plutôt que subi. La société se réorganise Les changements sociétaux se sont multipliés et accélérés au cours des dix dernières années, s’apparentant souvent même à des bouleversements : mondialisation, globalisation économique, environnement / écosystème / biodiversité, crises financières et sociales, révolutions politiques… Le tout, au rythme d’un autre mouvement : celui des nouvelles technologies de communication. Tout est allé si vite que les sociétés commencent tout juste à prendre conscience des mutations. Mais bien des entreprises françaises, quant à elles, tout comme n’importe quel organisme vivant face à une perception de danger, hésitent entre la fuite, la lutte et l’immobilisme. Pas d’angélisme
La messagerie électronique, principal métronome des activités de cadre
1Dans l’analyse sociologique des cadres, l’usage du temps est souvent au cœur de la caractérisation d’une catégorie aux contours par ailleurs flous. Depuis l’ouvrage de référence de Boltanski (1982) jusqu’à la synthèse opérée par Bouffartigue et Gadéa (2000), la définition du cadre emprunte à la notion d’autonomie la description de la spécificité du groupe qui organise son temps sans prescription. Cette autonomie, fortement valorisée, se traduit par des tâches de moins en moins définies par des procédures et de plus en plus par des objectifs à atteindre. L’autonomie, dans son versant négatif, peut alors s’accompagner d’une pression temporelle évoquant une tyrannie du court terme. 2A partir d’un travail empirique basé sur des données qualitatives et quantitatives, il s’agit d’aborder les transformations des activités des cadres de la fonction publique territoriale à travers l’usage de la messagerie électronique. Gestion de l’information et recomposition de la figure du cadre
Les lunettes Google enverront le son à travers les os du crâne
Les lunettes Google, ou projet Google Glass, ont encore fait parler d’elles ce week-end avec le dépôt d’un nouveau brevet révélé via les dossiers de la FCC (Federal Communications Commission), l’organisme américain qui est chargé de superviser les télécommunications. Le brevet en question concerne cette fois non pas la vision, mais le son, et la façon dont celui-ci sera transmis aux oreilles de ceux qui porteront les lunettes Google. Selon le document public de la FCC, Google a enregistré un brevet décrivant un système qui envoie le son vers le système auditif via les os du crâne. Ce système d’osthéophonie, fondé sur des vibrations qui passeraient par l’oreille interne, permettrait au porteur de se passer d’un casque audio, d’oreillettes et de fils, puisque tout transiterait par les branches des lunettes collées contre la tempe. Sécurité et sociabilité Les Google Glass devraient arriver sur le marché en 2014. (source)
Les DRH face à la diversité des réseaux sociaux : Une crainte d'abord, un espoir ensuite
Par Charles-Henri Besseyre des Horts Professeur Associé, HEC Paris Senior Advisor Obea Le réseau social : un phénomène récent L'un des faits les plus marquants de ces cinq dernières années en dehors de la crise, qui n'a en réalité jamais cessé depuis le fameux épisode des "subprimes", est sans conteste le développement phénoménal des réseaux sociaux d'abord publics, comme Facebook ou Linkedln, puis privés dans les entreprises qui comme France Telecom-Orange, avec son réseau social d'entreprise (RSE) Plazza créé fin 2010, a su conquérir en un an plus de 30 000 collaborateurs ayant créé près de 1.200 communautés ! Cette performance est particulièrement remarquable dans une entreprise qui a connu le traumatisme des suicides à la fin des années 2000 et pour laquelle le nouveau PDG, Stéphane Richard, s'était donné un objectif ambitieux de reconstruction du lien social qui avait complètement disparu. La grande diversité des réseaux sociaux La crainte des DRH face aux réseaux sociaux Conclusion
Obama veut s'appuyer sur l'impression 3D pour relancer l'industrie et l'emploi
Ces derniers mois, l'impression 3D a suscité beaucoup d'intérêts. La technologie et l'outil sont au point et peuvent permettre de fabriquer des gadgets, des jouets et des oeuvres d'art miniatures. Le président Obama pense même qu'ils peuvent contribuer à relancer les industries manufacturières et militaires américaines. Jeudi dernier, lors du lancement d'un concours destiné à créer trois instituts de fabrication spécialisés en impression 3D, le président américain a donné plusieurs directions en matière d'usage de la technologie. « Les trois instituts, dont le nom sera connu plus tard cette année, seront sélectionnés par les ministères de l'Énergie et de la Défense. Des imprimantes 3D à partir de 3 300 $ L'impression 3D permet de fabriquer, à partir d'un modèle numérique, des objets solides en trois dimensions pouvant avoir à peu près n'importe quelle forme. Des armes imprimées presque indétectables