Respecter la vie privée et le droit à l'image | Internet responsable
Page mise à jour le 01 septembre 2011 Apprendre à respecter les éléments constitutifs de la vie privée d’une personne, ainsi que son image. Comprendre les enjeux de la publication d’informations personnelles sur Internet. Cas concrets Lors d’un voyage à Paris, un internaute a photographié, sans le vouloir au premier plan, un couple qu’il ne connaissait pas au pied de la tour Eiffel. Un jeune homme a filmé une amie lors d’une soirée et a diffusé la vidéo sur Internet (réseau social, blog). Les bonnes questions à se poser Que faire pour ne pas porter atteinte à la vie privée d’autrui sur Internet ? Présentation Le droit à la vie privée est le droit pour chaque personne, quels que soient son rang, sa naissance, sa fortune, son âge, de voir respecter sa vie privée et intime. La vie privée d’une personne peut être dévoilée par des enregistrements sonores, par la diffusion publique de ses écrits, par la diffusion de son image. Témoignage Conseils En savoir plus… Ressources de référence Fiche détaillée
Trésors photographiques de la Société de géographie
Quelques exercices permettent de mettre en place des concepts, d'exercer le regard, de définir une méthode, avant de s'attacher plus particulièrement à une photographie. ACTIVITÉ Il s'agit ici d'aborder l'interprétation subjective de la photographie, ce que j'aime, ce que je n'aime pas, ce que l'image peut représenter pour moi (voir notamment le texte de Roland Barthes sur le sujet). Soumettre des groupements de quatre images au questionnement suivant : Quelle est l'image que je préfère ? Celle que je rejetterais ? Quelle image me semble la plus objective ? Quelle image me semble la plus géographique ? Quelle image me semble la plus esthétique ? Quelle image me semble la plus heureuse ? images à consulter : paysages images à consulter : hommes images à consulter : objets images à consulter : situations L’analyse des résultats de ces enquêtes insistera sur les convergences d’opinions rencontrées tout en laissant s’exprimer l’originalité de certains points de vue, sans les contester.
Daumier
La Révolution de 1789 va multiplier ces images (mille cinq cents gravures satiriques entre 1789 et 1792) et la demande suscitée par l'actualité va être à l'origine d'un appareil de production organisé. Des journaux hebdomadaires comme Les Révolutions de France et de Brabant de Camille Desmoulins ou les Révolutions de Paris de l'éditeur Prudhomme font une large place au dessin, satirique pour l'un, d'inspiration plus "reportage" pour l'autre. La presse royaliste publie de son côté des caricatures anti-révolutionnaires tandis qu'en 1793 le Comité de Salut Public demande au député David de "multiplier les gravures et les caricatures qui peuvent réveiller l'esprit public et faire sentir combien sont atroces et ridicules les ennemis de la liberté et de la république".Cité dans "La caricature, deux siècles de dérision salutaire", Historia, n° 651, mars 2000, p.52.
Exposition itinérante « Dessine-moi la guerre : 1914-2014 » (depuis 2015)
Avec le soutien de la Mission du Centenaire, de la Fondation Varenne, de la Fondation de France et de la MGEN, l’exposition « Dessine-moi la guerre : 1914 – 2014, Regards des dessinateurs de presse sur les guerres » voit le jour en décembre 2014. Pour la réalisation de ce projet, l’équipe éditoriale de Cartooning for Peace travaille avec le soutien du Département des estampes et de la photographie de la Bibliothèque Nationale de France. L’exposition produite est composée de 10 panneaux éclairant les grands thèmes de la guerre (les chefs de guerre, les combattantes, les armes chimiques …) par les regards croisés des dessinateurs de presse de 1914 à nos jours. Un livret-élève approfondissant les thèmes développés dans l’exposition et un livret à destination des enseignants s’appuyant sur les programmes de l’éducation nationale accompagnent l’exposition : un support « clé en main » facilitant son appropriation par le personnel éducatif et les scolaires.
ERSILIA
Vous avez oublié votre identifiant ? Vous êtes enseignant Votre identifiant est l’adresse email académique utilisée lors de votre inscription. Vous êtes élève ou artiste/intervenant invité L’identifiant généré par Ersilia lors de votre inscription est prénom.nom. Vous avez oublié votre mot de passe ? Vous êtes Mot de passe enseignant oublié Entrez votre adresse académique, un email vous sera envoyé pour réinitialiser votre mot de passe. Mot de passe élève oublié Contactez l’enseignant référent. Reportez ce code ci-dessous avec votre identifiant. Si vous avez oublié votre identifiant, il se compose de votre prénom.nom. Mot de passe artiste / intervenant oublié Nouveau mot de passe Veuillez choisir un nouveau mot de passe. Votre nouveau mot de passe a été enregistré. Ce lien de réinitialisation de mot de passe a expiré. Votre compte a bien été créé ! Pour activer votre compte, cliquez sur le lien contenu dans l’email envoyé à votre adresse. Inscription réussie !
La Fabrique du Regard | LE BAL
Pôle pédagogique du BAL, La Fabrique du Regard forme les jeunes à et par l’image. En devenant acteurs de leur regard, ils prennent conscience du monde qui les entoure et de leur capacité à s’y impliquer. Depuis sa création en 2008, La Fabrique du Regard mène un travail en profondeur avec des jeunes dans les quartiers politique de la ville, les réseaux d’éducation prioritaire, dans les territoires éloignés d’une offre culturelle et artistique. En 10 ans, 22 000 jeunes formés, 3 200 enseignants et 500 artistes impliqués dans 250 quartiers du primaire au lycée, dans les établissements scolaires ou au sein de structures du champ social, les jeunes se confrontent à différents points de vue, affûtent leur regard sur les partis-pris formels des images, expérimentent les différentes étapes de leur production, diffusion et réception et participent à un projet collectif de création avec des artistes invités.
Réfugiés : une photo pour ouvrir les yeux
EditoriaI du « Monde ». Il s’appelle Aylan Kurdi, il est âgé de 3 ou 4 ans. Un petit corps sans vie échoué sur une plage turque. Le Monde a déjà publié des photos d’enfants morts, notamment lors de l’attaque chimique d’un quartier de Damas par la soldatesque de Bachar Al-Assad en 2013. Cette photo, celle de l’enfant, témoigne très exactement de qui se passe. Par dizaines de milliers, chaque mois, chaque semaine, Syriens, Irakiens, mais aussi Afghans et autres, fuient. L’exode ne fait que commencer Mais l’enfant, lui, l’enfant de la plage, le petit Aylan, où faut-il le ranger ? Peut-être faudra-t-il cette photo pour que l’Europe ouvre les yeux. Lire aussi « Les réfugiés d’aujourd’hui me rappellent mon père fuyant le nazisme » Tout cela est vrai, comme il est exact que l’accueil de populations étrangères pose effectivement nombre de difficultés, qu’il est irresponsable de nier. Il ne faut pas se tromper.
Many-eyes.com : la visualisation graphique pour mieux cerner l'information
Les représentations de données sous forme graphique, ou data visualization en anglais, ont longtemps été l’apanage de certains experts ou passionnés. Aujourd’hui, il est possible de créer son graphique interactif facilement et d’en faire profiter la blogosphère, grâce a des sites comme Many-eyes.com. Inventé par deux scientifiques du Watson Research Center d’IBM, le site avait initialement pour objectif de faciliter le partage d’information au sein d’une communauté. Many-eyes est toujours en phase expérimentale, et la navigation s’en ressent. Malgré tout, il est possible d’avoir une idée du potentiel du site. Le discours de Barack Obama se trouve par exemple sous forme de tag clouds, visualisation qui permet de voir les mots les plus employés par le candidat démocrate. Cerner le flot d’information qui nous entoure Many-eyes propose 16 différentes déclinaisons de visualisation: du fromage au diagrame en passant par l’arbre. L’aspect partage est au centre de la philosophie du site.