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Du chauffage gratuit grâce aux ordinateurs

Du chauffage gratuit grâce aux ordinateurs
Chauffer les ménages avec des ordinateurs : l'idée d'une start-up parisienne, Qarnot Computing, semble prometteuse à l'heure où le gouvernement français tente de trouver des sources d'énergie innovantes tout en réduisant la facture énergétique. Les particuliers auraient ainsi accès à un chauffage gratuit et non-polluant, trouvant son origine dans les entreprises. Les ordinateurs, «des monstres» d’énergie Celles-ci ont utilisent de puissants serveurs informatiques, le plus souvent hébergés dans de coûteux data-centers. La start-up propose donc de disperser les calculateurs dans des mini-centres de calcul chez les particuliers, qui profitent sur place de la chaleur qui s'en dégage. Des logements sociaux en 2014 Qarnot Computing propose d'installer chez les particuliers des microprocesseurs montés sur un radiateur en aluminium, qui chauffent le logement tout en traitant pour le compte d'entreprises clientes des données, dont la facturation est l'unique source de revenu de la start-up.

Appel à projets informatiques d’intérêt général Vous connaissez un projet informatique qui pourrait contribuer à rendre le monde meilleur ? A sauver la planète ? A créer une innovation Internet d’utilité publique ? Ou juste à faciliter la vie de votre association ? A faire avancer une grande cause ou une toute petite ? A faire avancer la science ? En effet, dans le cadre de ma nouvelle entreprise, je propose mes services professionnels à tout projet informatique d’intérêt général: je fournis (à coût zéro, cf plus bas) mes compétences en tant que directeur de projets informatiques innovants ainsi que l’accès aux compétences de très nombreux autres ingénieurs informaticiens, sur leur temps de travail. Notez que je ne place, a priori, aucune limitation de thème ou de domaine : lutte contre la pauvreté, recherche scientifique, défense de l’environnement, santé, handicap, protection de l’enfance, etc. peu importe du moment que ce projet va vraiment dans le sens de l’intérêt général et de l’utilité publique (cf. ci-dessous). Avertissement

L’économie sociale et solidaire n’existe pas - La vie des idées « Jusqu’à présent les hommes se sont toujours fait des idées fausses sur eux-mêmes, sur ce qu’ils sont ou devraient être. Ils ont organisé leurs rapports en fonction des représentations qu’ils se faisaient de Dieu, de l’homme normal, etc. Ces produits de leur cerveau ont grandi jusqu’à les dominer de toute leur hauteur. Créateurs, ils se sont inclinés devant leurs propres créations. L’institutionnalisation, sans réel débat, de la notion « d’économie sociale et solidaire », utilisée comme concept du monde académique et définie comme une catégorie administrative faisant l’objet d’interventions publiques par le monde politique, soulève plusieurs questions qui n’ont jamais été abordées dans le vaste ensemble de publications consacrées à ce thème depuis son émergence. A l’inverse, la « publicisation » du privé est une dynamique impulsée par les discours de promotion de « l’entreprise citoyenne » et des politiques dites de « responsabilité sociale ». (graphique)

Economie Sociale et Logiciels Libres : le temps de l’alliance Auteur : Bastien Sibille bastien.sibille@gmail.com Ce texte a été écrit pour appeler à la convergence des mouvements du libre et de l'économie sociale. Il a bénéficié de nombreuses remarques de plusieurs listes de discussions sur lesquelles il a été lu, et notamment la liste du groupe de travail de l'April « LibreAssociation », dont beaucoup des thèmes de travail recoupent les arguments qui y sont développés. Ce texte est sous licence Creative Commons (CC BY ND). Deux mondes co-existent qui dressent des remparts contre la tentation hégémonique du capitalisme : l’un est ancien et puise ses racines dans le XIXe siècle industriel – le monde de l’économie sociale (coopératives, mutuelles, associations…) ; l’autre est plus jeune et tisse ses réseaux dans le XXIe siècle informatique – le monde du logiciel libre. Raisons de l’alliance Depuis une vingtaine d'années des communautés d'informaticiens, puis des entreprises informatiques, ont développé ce qu'on appelle des « logiciels libres ».

L’association comme réponse à la question sociale du XIXe au XXe 1 Le système de protection sociale peut être défini comme l’ensemble des organisations institutionnel (...) 1Liée à l’émergence du salariat, la « question sociale » en France, renvoie à l’« aporie fondamentale sur laquelle une société expérimente l’énigme de sa cohésion et tente de conjurer le risque de sa fracture » [Castel (1995), p. 18]. Dès le XIXe siècle, cette question va être au cœur de débats sur les réformes économiques et sociales à mettre en œuvre pour achever la dynamique réformatrice initiée par la Révolution française. Le débat va principalement se structurer autour d’une alternative : le renforcement de la logique libérale ou la reconnaissance d’un rôle élargi de l’Etat. Si la question sociale a été polarisée par ces deux types de réponses, l’un à dominante économique et l’autre à dominante politique, des institutions autres que des institutions marchandes ou étatiques ont participé aux débats : les associations. 2 Voir Vergara (1992).

Site Adéquations Solecopedia Les sociétés coopératives d’intérêt collectif (Scic) La particularité du statut Scic est de permettre l'association de divers acteurs autour d'un même projet de production économique et de production d'intérêt collectif. Cette forme de société coopérative peut être particulièrement intéressante pour des projets répondant à des besoins collectifs d'un territoire donné ou d'une filière d'activité donnée. Elle favorise en effet la meilleure mobilisation possible des ressources économiques et des compétences sociales présentes sur tel territoire ou dans telle filière. Le statut Scic répond à une volonté de concilier et de mettre à égalité d'importance les deux volets du développement que sont l'économique et le social. Sur les 117 Scic agréées depuis 2002, 103 sont en activité au 30 juin 2007. Les principales caractéristiques d'une Scic Le multisociétariat Le partenariat avec les collectivités locales Les principes coopératifs Le pouvoir Les votes en assemblée générale respectent le principe "une personne = une voix". L'agrément préfectoral

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