Don’t go to art school — I.M.H.O. I’ve had it. I will no longer encourage aspiring artists to attend art school. I just won’t do it. I have a diploma from the best public art school in the nation. But I am saddened and ashamed at art schools and their blatant exploitation of students. This is embarrassing. Artists are neither doctors nor lawyers. Don’t do it. Don’t start your career with debilitating debt. Please. You’ve got other options. You don’t have to go to college to be an artist. There are excellent atelier schools all over the world that offer superior education for a mere fraction of the price. There are more. And then there are the online options. Sitting at a computer I have direct access to artists all over the world. With all of these options it can be a little daunting. The $10k Ultimate Art Education There. Moving forward There has never been a better time to be an artist. But I encourage all aspiring artists to think long and hard about their options. Find another path.
The chilling pictures of suitcases left in a New York insane asylum by patients who were locked away for the rest of their lives Photographer Jon Crispin has been documenting the suitcases left behind by patients at the Willard Asylum for the Insane in Upstate New York400 suitcases were found in an attic at the asylum in 1995. They date from 1910 to 1960Many of the patients who went to the asylum died there and were buried in graves marked not with names, but by numbers By Michael Zennie Published: 02:57 GMT, 10 June 2013 | Updated: 03:03 GMT, 10 June 2013 When patients were committed to the Willard Asylum for the Insane in Upstate New York, they arrived with a suitcase packed with all of the possessions they thought they needed for their time inside. Most never left. In 1995, an employee of the mental hospital discovered the suitcases, 400 of them. Now, photographer Jon Crispin is cataloging each suitcase and opening a window into the lives - and the minds - of the people deemed too unwell to be allowed in society. Pieces of a past life: This suitcase belonged to Anna. This case belonged to Frank C., a U.S.
6. Le matériel | Vincent Dutrait - Illustrations Ecrit le Jeudi 1 février 2007, publié il y a 7 années. Comme on me demande souvent par email ce que j’utilise comme matériel, je mets en ligne un petit tutoriel à ce sujet. Ça m’évitera de me répéter ou faire de longs copier/coller mais bon, à mon avis, ça n’a pas vraiment de sens. C’est uniquement à titre informatif. Il y a un proverbe chinois là-dessus dont je ne me souviens plus les termes exacts mais en gros c’était : «Le plus important ce n’est pas le pinceau mais la main qui l’utilise». Je suis plutôt du genre fidèle à mon matériel. Le papier Pour tout ce qui est crayonnés, recherches & co j’utilise du papier Canson Crob’Art A3 (des carnets de 120 feuilles à couverture beige) ou au format 49x64cm pour les plus grands crayonnés, les doubles-pages des albums par exemple. Les pinceaux Je trouve ici des pinceaux ronds Babara Series 500R Golden (made in Japan) allant des tailles 2 à 20. Pour les brosses je prends le tout venant. La palette Avant j’utilisais toujours la même palette.
DIY, le carnet peuchère - Le Dessin de Cy. Pondu par Cy. le 7 juillet 2013 Cy. vous propose aujourd’hui un DIY de son cru pour confectionner un carnet avec (quasi) zéro sou ! (Allez voir son blog et sa page Facebook !) Vous avez réalisé un carnet grâce à ce tuto ? Ça vous a plu ? Ne ratez aucun article de madmoiZelle.com ! Inscrivez-vous à notre newsletter et recevez notre actu deux fois / semaine Cet article a été pondu par Cy. - Tous ses articles Cy. c'est la Graphiste de la rédac, la suite Adobe c'est son dada mais pas que ! Tous les articles Customisation, Trucs & astuces Custo et aussi Vis ta vie Les autres papiers parlant de big, DIY, Les Dessins de Cy.
Tutorial01: Creating a Realistic Crowd in Photoshop This is a tutorial how to quickly create a convincing crowd using the powerful brush tools in Photoshop. We came up with the idea while we were working on a commercial project. As it is a non-linear process you can always go back and edit or delete whole parts of this human mass! So, here’s the empty plaza we need to “animate”. I really hated the idea spending another hour or so positioning 3D-bipeds in 3ds max, and then waiting on the renderer and then rendering selection masks, etc. So, the first thing we need to do, Daves, is to create a decent brush in Photoshop we are going to use to randomly paint people over the terrain. I started up roughly blocking a humanoid silhouette in a blank Photoshop document…something like this. Once you are happy with the result, go to the Edit menu ->Define Brush preset…. “Master, master, where’s the dreams that I’ve been after? Now, try and paint a few “crowd” strokes in your images but be careful to keep the right scale and not to overdo it.
Barbes et paillettes Ya des trucs comme ça, très tard, qui sortent de nul part et que tu prefererais oublier...Le jour ou t'as montré tes seins au miroir d'eau, la pote qui voulait être un chat et qui s'est mise à manger de la pâtée en soirée, les considérations diverses et variées que tu profère d'un ton docte sur des sujets que tu n'es même pas foutue de maîtriser. La chaleur et la bière, ça fait dire n'importe quoi, fort heureusement souvent tu oublies, et tes congènères aussi. Mais parfois tu lance un truc qui rencontre un peu plus que le vide, qui grossit, grossit, revient à chaque soirée et finit par se concrétiser. Résultat, deux mois plus tard je retrouvais quelques potes-à-pilosité-developpé pour une séance barbeuc-makeup du plus bel effet. Le truc à bougé 1000 fois dans ma tête, au début j'étais partie sur de la drag-queenisation totale, avec cache sourcil, bouche redessinées et faux cils, et puis j'ai changé d'avis.
Dites que vous faites de la reliure (fin) (Le reste de ces articles: Part 1 | Part 2 | Part 3 | Part 4) Alors. La dernière fois, je vous ai obligé à coudre des feuilles entre elles et j’espère que vous l’avez fait. Vous êtes en possession d’une sorte de carnet de feuilles cousues, un truc assez lâche, vous sentez qu’il faut pas non plus tirer comme un petit fou dessus. Comme vous comptez l’emporter avec vous dans votre sac pour noter des idées ou faire des dessins, vous allez le déglinguer et vous vous dites qu’il faudrait une couverture, enfin un truc quoi, enfin je sais pas enfin je veux dire. L’objet et sa tranche (que vous sentez faiblarde) indiquée par une flèche. Il va vous falloir maintenant de la colle à bois. La colle qu’il vous faut, et un résumé de la fabrication du papier qui explique pourquoi la colle à bois marche super sur le papier. Voilà, maintenant, il va falloir trouver un genre de carton, de papier épais, un joli truc. Vous allez créer un genre de pliage qui ressemble au dessin suivant.
element --> <base href=" /> <meta http-equiv="content-type" content="text/html; charset=utf-8" /> <meta name="robots" content="index, follow" /> <meta name="keywords" content="" /> <meta name="revisit-after" content=" days" / About the Collection The following illustrations are scanned images taken from the classic works of the German veterinary anatomists, Wilhelm Ellenberger and Hermann Baum, and medical illustrator, Hermann Dittrich. The texts, from which these illustrations were derived, are works published in 1898 and 1911 through 1925, all entitled Handbuch der Anatomie der Tiere für Künstler which can be translated as Handbook (or Atlas) of Animal Anatomy for Artists. The primary focus of these illustrations is on the integumentary and musculoskeletal systems of the horse, cow, dog, lion, goat and deer. Additional Resources A Comparative View of the Human and Animal Frame
"Et un tableau, trois !" - La Lanterne brisée Dernier round. Désolée pour le délai, j'ai été quelque peu occupée ces derniers jours, et il faut les trouver les plages de temps libre pour peindre. Je n'ai pas besoin de me répandre en explications quant aux techniques employées pour terminer le personnage, les photos parlent d'elles-mêmes, et c'était très simple. J'ai commencé par le remplir avec des aplats, dans la valeur la plus sombre nécessaire pour chaque partie, avant d'appliquer des rehauts, et de compléter en fonçant certaines zones avec un glacis. Et hop, mon personnage est déjà transformé. Sans paniquer devant la propension qu'a l'acrylique à foncer en séchant, et avec une confiance absolue dans mes tests préalables, je fais de même avec cette belle chemise grise (blanche). Pour des reflets sur une Doc, je vous conseille la bonne vieille stratégie de la Doc posée devant vous. Le lendemain, j'ai fait tous les rehauts. Sur la chemise. Et sur le visage. et en peignant enfin cette fichue chaussette,
Sculptures by Michael Trpák We have shown you the work of Czech artist Michael Trpák before on the site when he created this series of cement figures hanging from umbrellas inside the EBC office center in Prague titled Slight Uncertainty. The artist works in a variety of mediums from sculpture to painting and architecture. (via weandthecolor) The Hand Drawn Typography of Greg Coultan Designer and illustrator Greg Coulton often prefers working the old fashioned way. He says in his statement, “Even when working as a designer I instinctively work out concepts and ideas using pen and paper.” While for many of us fonts and letters are something we select with a mouse and type with a keyboard, Coulton carefully constructs them by hand. His personal projects featured here show song lyrics and town names transformed into meticulously detailed illustrations. The letters are not only well formed, but are also accompanied by details appropriate to the message. They often contain images, flourishes, and font styles that hint at the history of a town or the mood of a song. Share: Comments are closed.
Samuel Gomez Draws a 90-Square-Foot Masterpiece Oct 9, 2013 Born in Santo Domingo, Dominican Republic, Samuel Gomez is an artist and designer living and working in New York City. Gomez’s style embodies a ‘hybrid surreal-steampunk’ aesthetic and his preferred tools include: graphite, pens, acrylics and inks. Gomez has also worked over a decade as a Creative Designer and Illustrator for some of the top design agencies in New York and Chicago. He graduated from Altos de Chavon in 1999 and received his BFA in Communication Design from Parsons in New York. In an ambitious artwork entitled Deadpan Comedy, Gomez drew a colossal triptych for the 2013 ArtPrize competition. This triptych drawing is a surreal graphic satire in which, instead of depicting the ‘ideally wished’ landscape of the future of nature, Samuel Gomez showcases the very things that are preventing us from moving forward and coexisting with nature in a responsible manner. To see more incredible artwork from Gomez be sure to check him out on Behance and Facebook. [via Colossal]