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Related:  Internet of things (IoT) / everyware / Ubiquitous computing

Ubiquitous computing Ubiquitous computing (ubicomp) is a concept in software engineering and computer science where computing is made to appear everywhere and anywhere. In contrast to desktop computing, ubiquitous computing can occur using any device, in any location, and in any format. A user interacts with the computer, which can exist in many different forms, including laptop computers, tablets and terminals in everyday objects such as a fridge or a pair of glasses. The underlying technologies to support ubiquitous computing include Internet, advanced middleware, operating system, mobile code, sensors, microprocessors, new I/O and user interfaces, networks, mobile protocols, location and positioning and new materials. This new paradigm is also described as pervasive computing, ambient intelligence,[1] ambient media[2] or 'everyware'.[3] Each term emphasizes slightly different aspects. Core concepts[edit] Dust: miniaturized devices can be without visual output displays, e.g. Layer 1: task management layer

Darwin rend les capteurs de téléphones plus intelligents L'université de Darmouth propose un logiciel qui s'aide des données captées par d'autres utilisateurs à proximité pour affiner celles, parfois incomplètes, enregistrées par l'utilisateur. Accéléromètre, GPS, microphones... ces capteurs embarqués dans les téléphones fournissent à l'appareil des données indispensables au fonctionnement d'applications telles que la géolocalisation, la reconnaissance faciale, ou l'authentification vocale. Seulement, la qualité de détection de ces capteurs est parfois affectée par différents facteurs. Comme par exemple la situation inappropriée d'un téléphone - placé dans la poche de l'utilisateur, dans son sac à main - pour le recueil de données. S'en remettre aux téléphones des autres Le système propose ainsi de s'en remettre aux téléphones des individus situés à proximité et qui disposent du logiciel pour rendre plus performante l'application utilisée par une personne.

"Le web des données contribuera à la numérisation des processus" L'émergence du web sémantique et de l'Internet des objets va rendre le monde réel et le monde numérique de plus en plus interconnectés. Un phénomène qui pourrait donner jour à de nouveaux modèles d'affaires. David De Roure est professeur de sciences informatiques à l'université de Southampton. Il contribue également au Web Science Trust qui cherche à fédérer scientifiques, entrepreneurs et décideurs politiques autour du futur d'Internet. L'Atelier : Comment voyez-vous le web évoluer ? Les objets communicants deviennent une réalité pour le grand pub Tikitag connecte un objet à un service en utilisant la technologie NFC. Pour en profiter, les utilisateurs doivent acheter un kit puis définir la fonction qu'ils souhaitent attribuer à l'objet. Les initiatives pour connecter les objets sont nombreuses mais artisanales.

L'Internet des objets gagne en simplicité Tales of Things propose aux internautes de créer un profil pour un produit et d'y ajouter du contenu. Ils disposent alors d'un QR code qu'ils impriment et apposent à l'objet. Pour le lire, il faut le scanner avec son mobile. Pour relier un objet à un service, il y a des initiatives comme Tikitag, qui propose de rajouter du contenu puis d'y accéder en passant l'étiquette accolée au produit devant un lecteur dédié et relié à Internet.

vous Ludovic Lassauce ? m2m : un Untitled from Jean Michel Billaut on Vimeo. Quelques petites pétouilles dans ce e-billautshow, mais cela se regarde et s'écoute très bien.. Donc Ludovic nous décrit le marché naissant du m2m (machine to machine) et ce que propose son entreprise Jasper Wireless aux opérateurs de téléphonie mobile, à savoir une plateforme de gestion sur leur réseaux (2,3, 4G) de machines connectées. Pourquoi donc les opérateurs 1.0 s'intéressent-ils à la chose ? Si vous vous intéressez au marché du m2m, Ludovic vous conseille le site m2m (voir dans la section ressources des white papers, reports, etc...) Pour contacter Ludovic Lassauce :ludovic.lassauce(arobase)jasperwireless.com © Une production du Billautshow - the video for the rest of us - the e-billautshow : the french worldwide hub

L'Internet des objets doit encore apprendre à interpréter Sans intelligence logicielle associée opérant à un niveau subsidiaire pendant leur cycle de vie, les objets ne pourront catalyser de nouveaux usages. Le web sera le véhicule de cette intelligence d'un système à l'autre. Par Philippe Gautier, dirigeant de business2any. Je vois souvent l’Internet des Objets être défini comme un réseau étendu où l’information liée à l’identification et au cycle de vie des objets physiques est récupérée, stockée ou distribuée, créant ainsi un pont entre réalité et cyberespace. Sany favorise l'exploitation des capteurs environnementaux Pour une meilleure propagation des données récoltées à travers le monde, des chercheurs proposent une plate-forme de standardisation et d'échange de ces informations. Difficile de rendre accessibles à des acteurs externes les données enregistrées par les capteurs répartis dans le monde sur les conditions terrestres, atmosphériques, océaniques, etc. Afin d'y remédier, un groupe de chercheurs européens* propose de mettre en place un "marché des données environnementales". L’objectif du projet Sany (pour Sensors Anywhere) est de construire une architecture qui mettra en contact les possesseurs de données avec des clients potentiels. "Des ressources importantes sont investies pour récupérer des données dans un but précis", explique Denis Havlik, le coordinateur du projet.

Les applications dans les nuages menacées par les pirates ? En 2010, les cyberdélinquants multiplieront leurs attaques contre les services virtualisés et les données hébergées dans les nuages. Les réseaux sociaux sont également concernés, victimes d'opérations de phishing. Alors que les solutions de cloud computing se multiplient, Trend Micro prévoit qu'en 2010 les pirates multiplieront leurs attaques pour accéder aux données hébergées dans les nuages. Selon le cabinet, qui publie une étude sur les grandes menaces de sécurité en 2010, la vulnérabilité de ces dernières s'explique par le fait que la virtualisation et l'informatique déportée sortent les serveurs du périmètre des solutions de sécurité classiques. Ce qui diminue leur résistance aux attaques.

Les smartphones identifient et situent la pollution sonore Le laboratoire de sciences informatiques de Sony transforme les téléphones en capteurs qui localisent la source du bruit et son intensité. Le but : dresser une carte de la pollution acoustique dans les villes. Les Etats-membres de l'Union Européenne ont l’obligation de créer tous les cinq ans une carte de la pollution acoustique dans les zones urbaines. Au lieu d'installer des capteurs souvent très coûteux, Sony Computer Sciences Laboratory propose de mobiliser les citoyens en leur permettant d'utiliser leurs smartphones pour fournir des informations nécessaires. Pour ceci, le laboratoire a mis au point une application baptisée NoiseTube. Celle-ci permet de recueillir le niveau du bruit capté par le microphone, ainsi que la géolocalisation de la personne.

Les actions de l'utilisateur n'ont plus de secret pour son mobil SurroundSense analyse les informations optiques, acoustiques et de mouvement fournies par le téléphone portable. Le but : déterminer précisément l'endroit où se trouve la personne, et ce qu'elle y fait. Le mobile ne doit plus seulement indiquer la position géographique de son propriétaire, mais également son activité. Le but étant d'affiner les services de localisation "indoor". Voilà ce que pense l'université de Duke, qui avec SurroundSense exploite des applications devenues presque communes dans un téléphone - GPS, caméra, microphone - pour obtenir ce qu'elle appelle une "empreinte numérique" lui permettant de deviner ce qu'est en train de faire l'utilisateur.

Ludovic Le Moan : levée de fonds de 2M€ pour SigFox Wireless SigFox Wireless, spécialiste de la communication « machine to machine », vient de lever 2 millions d’euros auprès d’iXO Private Equity, d’Elaia Partners et de Partech. La start-up toulousaine, présidée par Ludovic Le Moan, s’appuie sur un marché en pleine expansion pour attirer les investisseurs. Implantée au sein de l’incubateur Midi-Pyrénées, SigFox wireless surfe sur un marché en pleine émergence, celui de la communication « machine to machine » dite aussi M2M ou internet des objets. Preuve de cet engouement, l’entreprise présidée par Ludovic Le Moan (également dirigeant de Goojet) vient de réussir à lever 2 millions d’euros auprès de trois fonds d’investissement : iXO Private Equity, Elaia Partners et Partech. "Nous sommes convaincus que le marché M2M, pour se développer significativement, doit faire appel à des solutions de communication plus adaptées et moins coûteuses que le GSM. Cette technologie s’inscrit dans un secteur plus large, le M2M. Marie Grivot

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