Digital Living Network Alliance
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Logo de certification DLNA. DLNA définit un standard d'interopérabilité permettant la lecture, le partage et le contrôle d'appareils multimédia indépendamment de leur marque ou de leur nature. Samsung a surnommé ce système All Share. Le premier brevet faisant référence à un téléviseur relié à un réseau date de 1994[3]. Standards et dispositifs techniques[modifier | modifier le code] Bien que les cas d'utilisation les plus répandus de DLNA (2011) ressemblent à du client/serveur, la norme fait de tous des « acteurs », certains pouvant être sur le même équipement du réseau : server, player, renderer et controller. L'exemple d'utilisation le plus simple fait intervenir 2 appareils : Le serveur, installé sur un ordinateur ou sur un NAS,Le lecteur, installé sur un périphérique compatible, type télévision compatible DLNA ou lecteur Bluray Autre exemple d'utilisation, faisant intervenir trois équipements : Protocoles utilisés[modifier | modifier le code]
Mémétique
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La mémétique utilise le concept de mème, pour étudier les évolutions de la culture avec une approche Darwinienne étendue. Si la génétique se base sur le concept de gène, pour étudier la nature, la mémétique se base sur le concept de mème, pour étudier la culture. On y étudie le comportement des codes et schémas informationnels appelés mèmes, dans leurs milieux physico-chimiques et socio-culturels : l’homme, l’animal, la machine (tout support mémoriel). Le mème peut se définir comme un élément d'une culture pouvant être considéré comme transmis par des moyens non génétiques, en particulier par l'imitation[1]. Elle associe les sciences de autour de l'étude de l'évolution des phénomènes culturels dans le temps et l'espace physico-social, dans une approche culturo-centrée. Origine[modifier | modifier le code] Le mot mémétique a été formé dans les années 1980 à partir du terme mème. L'approche d'Aaron Lynch est un exemple[2]. Certains[Qui ?]
Page 2 - The eyes have it: Seeing ultraviolet, exploring color
One of the enduring commonalities across most human societies is the belief that our eyes are a window into the immutable truth of the universe. Eyewitnesses are accorded special status in trials, despite repeated studies demonstrating how fallible such on-the-scene reports can be. The idea that sight conveys reality is enshrined in everything from dusty myths and sacred texts to modern-day cop shows. As a result, it’s equal parts unsettling and interesting when we get a glimpse of how fluid our shared capability of vision can be. Former Air Force Officer and engineer Alek Komar has spent a considerable amount of time detailing how his color vision changed following major cataract surgery. Cataracts are known to have a detrimental effect on color perception, but in Komar’s case, he didn’t just regain his old acuity: The Crystalens implant he received has given him the ability to see into the ultraviolet spectrum. Komar’s case is interesting for multiple reasons.
Des nanotubes de carbone pour détecter des cancers
La nanomédecine est en train de prendre son essor. Nanoparticules et autres nano-objets sont à l'étude pour lutter contre le cancer ou d'autres maladies. On vient de développer des nanotubes capables de mesurer in vivo des taux d'oxyde nitrique anormaux pouvant signaler le début d'un cancer. Ces nanocapteurs pourraient un jour aider des diabétiques à mieux vivre leur traitement. Les chercheurs placent beaucoup d'espoirs dans les nanotechnologies pour trouver de nouveaux traitements contre les cancers. Par exemple, on pense utiliser des nanoparticules pour transporter des substances actives au cœur des cellules. Or, depuis quelques années, les membres du laboratoire de Michael Strano au MIT développent des capteurs à base de nanotubes de carbone pour détecter des molécules bien spécifiques. Le second type de nanocapteurs est lui enrobé dans un hydrogel réalisé à base d'alginate, un polysaccharide obtenu à partir d'une famille d'algues brunes, les laminaires ou les fucus.
Définition du Big Data - Profitez des opportunités du Big Data - France
Définition du Big Data Chaque jour, nous générons 2,5 trillions d’octets de données. A tel point que 90% des données dans le monde ont été créées au cours des deux dernières années seulement. Ces données proviennent de partout : de capteurs utilisés pour collecter les informations climatiques, de messages sur les sites de médias sociaux, d'images numériques et de vidéos publiées en ligne, d'enregistrements transactionnels d'achats en ligne et de signaux GPS de téléphones mobiles, pour ne citer que quelques sources. Ces données sont appelées Big Data ou volumes massifs de données. Ecoutez les experts Le Big Data couvre quatre dimensions : volume, vélocité, variété et véracité. Volume : les entreprises sont submergées de volumes de données croissants de tous types, qui se comptent en téraoctets, voire en pétaoctets. Vélocité : parfois, 2 minutes c'est trop. Véracité : 1 décideur sur 3 ne fait pas confiance aux données sur lesquelles il se base pour prendre ses décisions.
Principe de Peter
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le principe de Peter, également appelé « syndrome de la promotion Focus », est une loi empirique relative aux organisations hiérarchiques proposée par Laurence J. Peter et Raymond Hull dans l'ouvrage Le Principe de Peter (1970)[1]. Selon ce principe, « dans une hiérarchie, tout employé a tendance à s'élever à son niveau d'incompétence » avec le corollaire qu'« Avec le temps, tout poste sera occupé par un employé incapable d'en assumer la responsabilité. » L'ouvrage de Peter et Hull est rédigé sur un ton satirique mais le principe qu'il expose a fait l'objet d'études universitaires étudiant sa validité par la modélisation ou par la confrontation à des cas réels, certaines concluant à sa validité complète ou partielle. Présentation de la thèse[modifier | modifier le code] Explication du principe[modifier | modifier le code] Ces dernières hypothèses ne sont qu'une interprétation non systématiquement retenue du principe de Peter. ↑ Laurence J.
Johann Roduit: L'homme qui voulait devenir cyborg: conférence transhumaniste
Conférence « Global Future 2045 » LINCOLN CENTER, NEW YORK. Le temps d'un week-end, la ville qui ne dort jamais a rêvé de devenir immortelle. A Manhattan du 15 au 16 juin 2013, on pouvait assister à la conférence « Global Future 2045 : vers une nouvelle stratégie pour l'évolution humaine » (voir également le slideshow ci-dessous). Au sein du prestigieux Lincoln Center était réuni tout le gratin du transhumanisme anglophone. Les deux jours furent donc bien chargés avec l'intervention d'une vingtaine d'orateurs, tous spécialistes dans leur domaine. Dans les couloirs du Lincoln Center, on pouvait également rencontrer le robot du Dr. Les deux jeunes suisses que nous sommes avions parfois l'impression d'évoluer dans un monde parallèle, en même temps que de rencontrer bien des humains tout à fait humains, avec ou sans prothèse. Dmitry Itskov : mystérieuse nouvelle figure du transhumanisme mondial Mais le but principal de la conférence était de parler du projet Avatar 2045 de Dmitry Itskov.
Technologies - Nanotechnologies et nanosciences - Nanosciences et nanotechnologies, quelques repères
Les nanosciences et les nanotechnologies peuvent être définies comme étant les sciences et les technologies des systèmes nanoscopiques. Elles se réfèrent à une même échelle, le nanomètre, soit le milliardième de mètre. Ces « sciences » ont émergé dans les années 80 avec la mise au point de nouveaux outils d’observation à l’échelle atomique, en l'occurrence les microscopes à effet tunnel, qui ont permis de franchir un pas décisif dans l’observation et le déplacement des atomes. Aujourd'hui, les nanosciences regroupent les recherches visant à comprendre et mettre en œuvre les phénomènes, lois physiques et propriétés apparaissant dans les objets, dispositifs et systèmes dont au moins une dimension est nanométrique. Elles constituent une base de connaissances sur les phénomènes nouveaux et spécifiques liés à cette échelle. Une échelle : le nanomètre © CEA Les nanotechnologies, un phénomène mondial A l’heure actuelle, les nanotechnologies sont utilisées dans un grand nombre de produits.