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Gigabot : la plus grande imprimante 3D destinée aux particuliers

Gigabot : la plus grande imprimante 3D destinée aux particuliers
Coïncidence ou véritable désir de faire connaître à tous cette nouvelle technologie, vous aurez pu constater qu’il ne se passe pas un jour sans que l’industrie annonce de nouvelles avancées en matière d’impression 3D. Aujourd’hui, un projet Kickstarter est à la recherche de fond pour proposer au grand public une imprimante 3D grand format baptisée Gigabot. Conçut par Re:3D et capable de concevoir des objets d’un volume maximal de 216000 cm³ (soit des objets de 600x600x600 mm maximum) posé sur un plateau d’un peu moins de 60 cm de large, l’imprimante 3D Gigabot devrait permettre la réalisation de pièces de grande taille sans pour autant manquer de précision. Ceci grâce à la technologie FFF (Fused Filament Fabrication) permettant d’utiliser des fils de PLA ou d’ABS dans des diamètres allant de 1,75 à 3 mm d’épaisseur. Enfin, pour voir la bête en action, glisser simplement dans la suite.

Vers l'impression 3D de tissu imitant le vivant Photo : Université Oxford Des matériaux synthétiques ressemblant à des tissus vivants ont été créés à l'aide d'une imprimante en trois dimensions par des chercheurs britanniques. Le Pr Hagan Bayley et ses collègues du département de chimie de l'Université d'Oxford estiment que cette percée pourrait éventuellement avoir des applications médicales dans l'administration de médicaments ou le remplacement de tissus endommagés. Explications Ce nouveau type de matériau mis au point est formé de milliers de gouttelettes d'eau encapsulées chacune dans un film de graisse et reliées entre elles en réseau. « Nous avons montré qu'il est possible de créer des réseaux de dizaines de milliers de gouttelettes reliées entre elles par de petits orifices, comme des pores des protéines qui forment des passages à travers tout le réseau, et tels des nerfs pouvant transmettre des signaux électriques à l'ensemble de la structure. » — Pr Hagan Bayley

L’imprimante 3D, ce gadget qui change le monde Imprimante 3D de la marque Makerbot Le salon des techniques de l'information et de la communication (Cebit) se déroule cette semaine à Hanovre en mettant à l'honneur l'économie du partage. On entend beaucoup parler de l'émergence de cette économie, mais ce partage croissant de connaissances, de ressources, de contacts, d'échanges ou d'emprunt d'objets peut-il changer le monde ? Quels sont les nouveaux espaces d'innovation ? Bienvenue dans l'industrie du bricolage Dans Makers, la nouvelle révolution industrielle, l'américain Chris Anderson estime que l'impression 3D et la multiplication des possibilités données à chacun de bidouiller par lui-même et en réseau, de manière libre et ouverte, dessinent les contours d'un nouveau modèle économique de fabrication. Oui mais voilà : quand on y regarde de plus près, il est important de distinguer les vecteurs de cette révolution annoncée. Une impression pas nette En plastique... Il y a makers et hackers Image : Le Monde Enthousiasmant, non ?

Rapid Prototyping Center: Stereolithography Stereolithography is a manufacturing process that uses a UV laser to create successive cross-sections of a three-dimensional object within a vat of liquid photopolymer. The cross-sections build layers typically of 0.005 inches or 0.006 inches. A platform is placed at the top of the vat filled with the polymer (an epoxy resin). Before the build begins, the platform is moved to a point just below the surface of the resin. Before the part begins to build, supports are built between the platform and the part, to ensure easier removal of the part. The platform is then removed and the part is further processed. When the curing process has finished, the part can be furthered polished and processed, if so desired.

Imprimantes 3D Dimension, prototypage et fabrication rapide, impression 3D Bienvenue sur Cresilas Votre design 3D devient réalité avec l'impression 3D Service locatif en impression 3D personnelle pour prototypage rapide Dreambox : une imprimante 3D en libre service Démocratiser l'usage de l'imprimante 3D, c'est ce que souhaitent les créateurs de la Dreambox, une imprimante trois dimensions qui fonctionne en libre service. C'est un produit qui nous vient directement des Etats-Unis. Derrière ce prototype d'imprimante 3D autonome nommé Dreambox, se cachent trois ingénieurs issus de l'université Berkeley, David Pastewka, Richard Berwick et Will Drevno. Si le concept de l'imprimante 3D est connu depuis un moment (une parenthèse cocorico pour citer l'entreprise française Sculpteo), ce n'est pas non plus un service à la portée de tout un chacun, comme peut désormais l'être le domaine de l'impression photo. C'est pourquoi ce trio de Berkeley s'est mis en tête de produire une machine complètement automatisée, pour imprimer des documents en trois dimensions, afin de "pallier à l'impossibilité d'imprimer sur le campus [de Berkeley] et de se passer des délais de deux à quatre semaines pour un service d'impression 3D en ligne".

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