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Dix raisons d'être pour la neutralité du Net

Dix raisons d'être pour la neutralité du Net
Neutralité du Net par-ci, neutralité du Net par-là. Ces derniers temps, on entend de plus en plus parler de ce principe, à l’origine réservé au cercle d’e-initiés. Hier encore sur France Inter, ou il y a quelques semaines au Grand Journal: la notion a quitté son nid douillet mais limité de techniciens du réseau pour venir chatouiller le grand public. Il faut dire que les frasques de Free avec la publicité ou YouTube, ainsi que la volonté fraîchement affichée du gouvernement, confirmée par le Conseil national du numérique, d’inscrire la notion dans la loi, lui a donné un sacré coup de notoriété. On va pas se cacher derrière notre petit doigt. publicité Au même titre qu'un autre, je suis censée pouvoir accéder à tous les contenus disponibles en ligne, mais aussi et surtout en publier. En dehors de quelques ajustement techniques nécessaires à la maintenance du réseau, les opérateurs n’ont pas à tripatouiller le contenu qui passe dans leurs tuyaux, au seul prétexte qu’ils en ont la charge.

Why Did Sandberg’s Book Rile So Many Women? Neutralité du Net: pourquoi ça traîne La neutralité du Net va-t-elle être une nouvelle fois renvoyée aux calendes grecques? Présenté comme un sujet phare du séminaire numérique du jeudi 28 février, le sujet n'a toujours pas fait l'objet d'un avis du Conseil national du numérique (CNNum), fraîchement réinstallé. Pourtant, le cénacle chargé d'orienter le pouvoir sur les questions numériques s'était vu confier le bébé par Fleur Pellerin à l'issue d'une table ronde sur le sujet, organisée en janvier dernier. publicité Problème: le Conseil, qui devait initialement rendre son avis aux alentours du 25 février, a demandé du rab face à ce dossier éminemment brûlant. Un dossier éminemment brûlant Aux fondements même du réseau, le principe de la neutralité affirme en effet que tout contenu envoyé dans les tuyaux du Net doit être traité de la même façon. Bref, pas simple. Mais, un membre du Conseil nous l'assure, le report n'est «pas lié à des questions politiques mais logistiques». Le gouvernement dans l'embarras À lire aussi sur Slate.fr

Chaire Alter-Gouvernance – recherche sur la gouvernance des entreprises et la responsabilité sociale des entreprises Internet doit rester neutre Le 16 janvier, dans les pages du quotidien Libération Fleur Pellerin, ministre de l'Economie numérique et Neelie Kroes, la Commissaire européenne en charge de la Société numérique, s'attaquaient ouvertement au principe de neutralité d'Internet. Mais ne nous y trompons pas, ce qui peut apparaître comme une proposition alléchante pour certains ménages français et européens marque en fait l'ouverture d'une boîte de Pandore qui pourrait directement restreindre leurs libertés publiques et numériques. publicité Dans sa définition, la neutralité du Net ou la neutralité du réseau garantit l'égalité de traitement de tous les flux de données sur Internet. Or, favoriser l'émergence d'un Internet à deux ou plusieurs vitesses reviendrait dans les faits à créer une fracture numérique durable entre les internautes quant à leur capacité d'accès et d'expression sur le réseau. Une question déjà rabâchée La question de la neutralité du Net n'est donc pas nouvelle. Les scénarios Sandrine Bélier Devenez fan sur

Attention, danger! Le Parlement américain veut tuer Internet La Chambre des Représentants américaine a voté le 8 juin la loi Cope ("Communication Opportunity, Promotion and Enhancement Act"), et notamment son volet sur la neutralité sur Internet... La Chambre des Représentants américaine a voté le 8 juin la loi Cope ("Communication Opportunity, Promotion and Enhancement Act"), et notamment son volet sur la neutralité sur Internet. Ce principe, tenant plus de la "common law" et de la netiquette que de la loi, permettait de garantir aux utilisateurs américains d’Internet un traitement égal et neutre de toutes les données passant sur le réseau, sans distinction de poids, de provenance ou de nature (texte, image, voix, vidéo…). avoir accès au contenu légal de leur choix, avoir accès aux services et applications légaux de leur choix, connecter les terminaux de leur choix profiter de la concurrence entre fournisseurs d’accès, de services et d’applications.

Numérique: le changement, c'est quand? A l’arrivée du nouveau gouvernement, je me suis dit qu’il fallait leur laisser du temps. Que ça ne servait à rien de partir bille en tête. Et puis, j’y croyais un peu. On revenait quand même de vachement loin. publicité Et puis j’ai attendu. Et puis j’ai vu. Pendant la campagne, Internet et l’informatique ont été complètement absents des programmes. Et puis, les mois passant, on a compris que c’était simplement parce que le gouvernement n’a pas de projet, alors que précisément le numérique pourrait être le levier d’une vision d’avenir. Nos confrères de Slate.com font actuellement des articles pour dire qu’Obama doit avoir une vision pour son mandat. Pour l’instant, les principaux dossiers liés au numérique sont partagés entre deux ministres, Aurélie Filippetti et Fleur Pellerin qui, en prime, ne s’apprécient pas des masses. Filippetti, ou la gauche réac 1. On ne va pas réexpliquer le principe, mais prenons simplement la déclaration de la ministre sur France Inter en octobre dernier: 2. 3.

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