Fiches pédagogiques de l'ONAC La tranchée symbolise la guerre dite de « position » et l’un des lieux d’affrontement durant ces quatre années de guerre. Description générale Les tranchées forment un système avec plusieurs lignes grossièrement parallèles et des boyaux étroits pour les communications. Elles sont construites en zigzag et sont interrompues par des obstacles de terre ou des chicanes pour éviter tout tir en enfilade. Entre les tranchées ennemies, c’est le « no man’s land ». Profonde de deux mètres, la tranchée dispose de banquettes surélevées pour les observateurs ou les tireurs. Vus d’avion, les tranchées et les boyaux constituent un système de circulation qui est ensuite répertorié sur des cartes. Les clichés photographiques montrent le quotidien de ces hommes soumis aux intempéries : pluie, neige, soleil, gel, etc. Les soldats ne sont généralement pas présents plus de six à huit jours en première ligne, ils rejoignent ensuite la zone de l’arrière-front. Des témoins racontent : Quelques définitions Coll.
Archives militaires de la guerre de Vendée conservées au Service historique de la Défense (Vincennes) L'inventaire des archives militaires de la guerre de Vendée conservées au Service historique de la Défense à Vincennes réunit quatre fonds d'archives. Trois sont contemporains de la guerre de Vendée (1793-1796) : la correspondance du ministère de la Guerre avec les armées de l'Ouest, les états de situation que ces mêmes armées ont adressés au ministère et les jugements des commissions militaires. Le quatrième fonds date de la Restauration (à partir de 1815) et contient des listes nominatives d'anciens combattants des armées royales dressées dans le cadre d'attribution de gratifications et de pensions. En complément, une vingtaine de mémoires manuscrits sont présentés. Au total, 78 articles conservés au Service historique de la Défense et concernant dans leur intégralité la guerre de Vendée ont été analysés et numérisés en 29.274 vues. Dans un guide des sources rédigé par J. Etats de situation Correspondance active et passive du ministère de la Guerre L'inventaire est très détaillé.
Médailles Militaires Le parcours du combattant de la guerre 1914-1918 Retracer le parcours du combattant (2) La mobilisation des classes 1911-1919 Le 1er août 1914, le gouvernement français décrète la mobilisation générale. Que s'est-il passé pour les 880 000 hommes alors au service militaire ? Et quand les classes suivantes furent-elles mobilisées ? Les classes 1911, 1912 et 1913 : Ces classes sont alors sous les drapeaux. La mobilisation trouve donc ces hommes à la caserne. En raison de la loi des trois ans de 1913, trois classes sont au service en août 1914. La classe 1911 depuis octobre 1912, les classes 1912 et 1913 depuis respectivement octobre et novembre 1913. "Art. 41 : la présente loi n'est pas applicable aux classes de 1910, 1911 et 1912, qui demeurent régies par la loi du 21 mars 1905". La classe 1911 devait donc être libérée en septembre ou octobre 1914, la classe 1912 en 1915. La majorité de ces hommes se retrouvèrent donc rapidement au front. Les classes 1914, 1915, 1916, 1917, 1918 et 1919 : Parfois la mention est tamponnée. Témoignages :
Bibliothèque numérique napoléonienne de la Fondation Napoléon, livre numérique, document numérisé, Histoire Premier Empire Thiers, thèse en ligne Quelques notices sur les premières années de Buonaparte, 1797 Correspondance de l'armée française en Egypte, interceptée par l'escadre de Nelson, 1798 Lettres et notes de Napoléon Bonaparte à Carnot, son ministre de l'Intérieur pendant les Cent-jours, 1819 Relation historique des évènements du 30 octobre 1836 : le prince Napoléon à Strasbourg, 1828 Histoire de la guerre de Russie en 1812, par M. Ferogio et Girard. Bénard. Goldworth. Young, Norwood. La Sabretache. Goldsmith. Anecdotes sur Buonaparte et son gouvernement, 1814 Paris, Saint-Cloud et les départemens ou Buonaparte, sa famille et sa cour, 1820 Volume 1 Volume 2 Volume 3 Thiers. Volume 2. Volume 3. Volume 4. Volume 5. Volume 6. Volume 7. Volume 8. Volume 9. Volume 10. Volume 11. Volume 12. Volume 13. Volume 14. Volume 15.Les cohortes ; Lutzen et Bautzen Volume 16. Volume 17. Volume 18.Restauration des Bourbons ; Gouvernement de Louis XVIII ; Congrès de Vienne Volume 19. Volume 20.
ARCHIVES MEDICALES des HOPITAUX MILITAIRES (1914-1918) - hopitauxmilitairesguerre1418.overblog.com Historique de la conservation des archives hospitalières militaires 14-18 – Statistique médicale de la guerre 14-18 – Bureaux d’archives des hôpitaux fermés (1917) Lors de la Première guerre mondiale il n’existait pas d’organisme central de conservation des archives médicales à l’instar du Service des archives médicales et hospitalières des armées (SAMHA de Limoges) actuel dont l’historique succinct, l’organisation et le fonctionnement ont fait l’objet d’un article de MM. Bessière et Merlet mis en ligne par le CRID 14-18 Mon objectif, au travers des notes qui suivent, est de présenter, après un rapide « survol » des origines, l’historique des archives médicales des hôpitaux militaires dans la Guerre 1914-1918, période qui n’a pas été développée par les précédents auteurs. L'ouvrage "Scandales Médicaux pendant la guerre" d'Henry de Golen (réédition 1933), avec enquête sur l'ouvrage et l'auteur. est paru en octobre 2017 I - Aux origines des archives hospitalières militaires. Contact SAMHA :
Centenaire de la Première Guerre mondiale: combien de «poilus» de votre département parmi les victimes? [CARTE INTERACTIVE] Temps de lecture: 8 min Sur la plaque, deux soldats, un fantassin et un fusilier-marin, regardent vers un horizon espéré radieux: l'oeuvre date de 1935, dix-sept ans après la «Der des Ders», dont les deux bornes, «août 1914-novembre 1918», encadrent leurs visages. En dessous, on peut lire: «Les anciens combattants bretons à leurs 240.000 morts» Ce chiffre qui orne la grande galerie de la cour d'honneur des Invalides, on le trouve aussi dans la basilique de Saint-Anne d'Auray (Morbihan), sous la plume d'un député ou dans des ouvrages grand public. Extrait du guide touristique Le Petit Futé consacré à la Bretagne. 240.000 Bretons tués sur un total de plus de 1,3 million de soldats morts pour la France durant la Première Guerre mondiale? Comme était fausse l'assertion, début 2013, d'un Jérôme Cahuzac, alors encore ministre du Budget, assurant sur Europe 1 que la Corse était «le département qui a payé en pourcentage le plus lourd tribut à la guerre de 14-18». Où habitaient les morts?
Service historique de la défense