Bilan de la Seconde Guerre mondiale
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La Seconde Guerre mondiale fut le conflit militaire le plus meurtrier de l'histoire. Plus 60 millions de personnes ont été tuées, ce qui représentait plus de 2,5% de la population mondiale à l'époque. Cet article tente de dresser un bilan humain et matériel de cette guerre. Bilan humain[modifier | modifier le code] Comme le montre ce graphique, plus de la moitié des victimes furent des civils En 1945, de nombreuses régions sont détruites en Europe et plusieurs millions de personnes sont mortes ou blessées. Pertes militaires en Europe[modifier | modifier le code] Graphique représentant les pertes militaires en Europe selon le front de combat. Au total, selon les estimations, environ 17 877 000 de militaires sont morts sur les champs de bataille européens, dont 10 774 000 du côté des alliés et 7 103 000 du côté des forces de l'Axe. Pertes civiles[modifier | modifier le code] Bilan matériel[modifier | modifier le code]
Pertes humaines de la Première Guerre mondiale
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les pertes humaines de la Première Guerre mondiale s'élèvent à environ 18,6 millions de morts. Ce nombre inclut 9,7 millions de morts pour les militaires et 8,9 millions pour les civils. Les Alliés de la Première Guerre mondiale comme les Empires centraux perdent plus de 9 millions de vies. Classification des statistiques[modifier | modifier le code] Le nombre des pertes estimées pour la Première Guerre mondiale varie énormément. Pertes par pays[modifier | modifier le code] Pertes militaires alliées par pays. Sources du tableau[modifier | modifier le code] Les principales sources utilisées pour les pertes civiles et militaires sont les suivantes : (en) Le rapport 2006-2007 de la Commonwealth War Graves Commission[26] est la source pour les pertes militaires du Royaume-Uni, l'Australie, la Nouvelle-Zélande, le Canada, l'Afrique du Sud et le Raj britannique. Pertes humaines selon les frontières modernes[modifier | modifier le code] Madagascar: 2 500
Anschluss
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L’ ou [ Note 1 ] , [ Note 2 ] est l’annexion de l’ Autriche par l' Allemagne nazie le 12 mars 1938 . Les événements de 1938 ont marqué le point culminant des pressions transnationales pour unifier les populations allemandes et autrichiennes au sein d’une même nation. Alors que le chancelier espérait un résultat favorable au maintien de l’indépendance de l’Autriche, le parti nazi autrichien organisa un coup d'État , planifié de longue date, le 11 mars 1938 , peu avant le référendum qui fut annulé. Si les Alliés de la Première Guerre mondiale étaient, en théorie, responsables du respect des termes du traité de Versailles et du traité de Saint-Germain-en-Laye , qui prohibaient une union entre l’Allemagne et l’Autriche, l'Anschluss ne suscita que peu de protestations de la France ou du Royaume-Uni , protestations qui furent d'ailleurs uniquement diplomatiques et n'eurent aucun effet. Du XIX e siècle à la fin des années 1920 [ modifier ]
Blitzkrieg
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Opération Barbarossa : les principes de mobilité et d'effet de surprise, qui caractérisaient jusqu'ici les engagements stratégiques de la Wehrmacht sous le terme de Blitzkrieg, semblent encore prévaloir pendant l'été et l'automne 1941. L'armée allemande apparaît encore invaincue ; le cours des choses va se corser pour elle dès l'hiver devant Moscou. Le Blitzkrieg (signifiant en allemand « guerre éclair ») est une stratégie offensive visant à emporter une victoire décisive par l'engagement localisé et limité dans le temps d'un puissant ensemble de forces mécanisées, terrestres et aériennes dans l'optique de frapper en profondeur la capacité militaire, économique ou politique de l'ennemi. Définitions historiques[modifier | modifier le code] Description[modifier | modifier le code] Perspective allemande[modifier | modifier le code] Avant même que la rupture soit complètement obtenue, la phase d'exploitation est engagée.
Traité de Versailles
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le traité de Versailles est un traité de paix signé le 28 juin 1919 entre l'Allemagne et les Alliés à l'issue de la Première Guerre mondiale. Choix du lieu[modifier | modifier le code] Le lieu de la signature du traité permet à la France d'effacer symboliquement l'humiliation de la défaite lors de la guerre franco-allemande de 1870. C'est en effet dans la même galerie des Glaces, au château de Versailles, qu'avait eu lieu la proclamation de l'Empire allemand, le 18 janvier 1871. Choix de la date[modifier | modifier le code] La signature du traité de Versailles le 28 juin 1919 commémore le 28 juin 1914, date de l'attentat de Sarajevo, cause de l'ultimatum austro-hongrois adressé à la Serbie, dont le refus a déclenché la Première Guerre mondiale. Conditions de la rédaction et de la signature du traité[modifier | modifier le code] On[Qui ?] L'affaire de Fiume[modifier | modifier le code] Contenu[modifier | modifier le code]
Première Guerre mondiale
La première base présente plus de 1,4 million de fiches individuelles numérisées de militaires décédés au cours de la Grande Guerre et ayant obtenu pour la plupart la mention "Mort pour la France". La deuxième recense les fusillés en vertu d’une décision de la justice militaire et les exécutés sommaires au cours du conflit. La troisième comprend quelque 74 000 fiches individuelles numérisées de soldats ayant appartenu à l’aéronautique militaire. La quatrième base présente les images numérisées des journaux des marches et opérations, des carnets de comptabilité en campagne, des journaux de bord, etc. de toutes les unités militaires engagées durant la Première Guerre mondiale. Les 5e et 6e fonds sont accessibles sous forme là encore numérisée, la collection des historiques régimentaires de ces unités, ainsi que les 107 volumes des Armées françaises dans la Grande Guerre (AFGG). Enfin, le dernier ensemble est relatif à Georges Clemenceau, ministre de la Guerre et président du Conseil.
Maquette de l'Acropole
Sur une longueur de 300 m. à la base et de 170 m.au sommet, large de 156 m. s'élève l'Acropole d'Athènes. Sur une simple butte se dresse un des sites les plus glorieux de notre histoire. C'est Périclès au Vième siècle avant J.-C., alors que la démocratie athénienne allait s'étendre sur le monde grec, qui fut l'instigateur d'une ville ornée de temples, théâtres et odéons. Entre 449 et 431 le Parthénon, les Propylées, l'Athéna Nike et de l'Érechteion commencèrent à voir le jour. Le site vous montre l'Acropole telle qu'elle était, intacte jusqu'en 267 après J. La maquette que je vous présente est donc une reconstitution, le plus fidèle possible, des splendeurs de l'Acropole sans que je puisse y mettre les dorures et la beauté telles que les voyaient les contemporains. Sur cet éperon rocheux s'élève le soleil d'une civilisation qui continue à briller jusqu'à nous.
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