Tristesse Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Sépulcre (scène de l'onction du corps du Christ), 1672, montrant Marie-Madeleine en pleurs. Physiologie[modifier | modifier le code] Les expressions faciales de la tristesse exposant des petites pupilles sont significativement jugées plus intenses, et encore plus si les pupilles diminuent davantage[3]. Chez l'enfant[modifier | modifier le code] La tristesse fait partie de l'enfance. La tristesse est un processus normal chez l'enfant lorsqu'il est séparé de sa mère dans le but de devenir plus indépendant. Guérison[modifier | modifier le code] Adolescente triste. Lorsque certains individus se sentent tristes, ils préfèrent se retirer de leur entourage et, de ce fait, arrivent plus facilement à en sortir. Notes et références[modifier | modifier le code] ↑ (en) Jellesma F.C., & Vingerhoets A.J.J.M. (2012). (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Sadness » (voir la liste des auteurs)
Joie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Joie de vivre (sculpture de Richard MacDonald, 2002). La joie est une émotion ou un sentiment de satisfaction spirituelle, plus ou moins durable, qui emplit la totalité de la conscience. Elle se rapproche de ce qui forme le bonheur. Elle se distingue des satisfactions liées au corps (les plaisirs), qui n'affectent qu'une partie de la conscience. Philosophie[modifier | modifier le code] La joie est une notion qui désigne, dans son sens le plus courant, le sentiment d'une personne en présence d'un bien qui lui convient. Cicéron en a une conception plus proche du sens courant : pour lui, la joie est un état de l'âme, qui, confrontée à la possession d'un bien, n'en perd pas pour autant la sérénité. Au XXe siècle, les courants philosophiques que sont le personnalisme et l'existentialisme approfondissent à nouveau la notion philosophique de joie. La joie d'une mère devant son enfant. Religion[modifier | modifier le code] joie, sur le Wiktionnaire
Trouble bipolaire ou dépression? Dépression et épisodes maniaques Dans le trouble bipolaire, les phases de dépression alternent avec les épisodes maniaques. Au cours d'un épisode maniaque, le patient est anormalement gai, euphorique. Il a des idées de grandeur, croit qu'il va devenir un grand écrivain, chercheur, homme politique..., parfois ne dort que peu ou plus... Ses idées se bousculent, il passe du coq à l'âne, est survolté, se met à faire des achats impulsifs et excessifs. Autant dire que la vie sociale et profesionnelle devient impossible. Un diagnostic difficile à poser La grande majorité des troubles bipolaires débutent par un épisode dépressif, ce qui complique généralement l'établissement du diagnostic de trouble bipolaire. Comment identifier une dépression bipolaire? Un certains nombres d'indications peuvent orienter vers un trouble bipolaire (aussi appelée "dépression bipolaire"): Importance du bon diagnostic
L’Internet des objets - Définir l’internet des objets 1L’internet des objets est une notion complexe. Entre les puces RFID, les solutions de nommage ou middlewares, l’internet des objets est composé de nombreux éléments complémentaires ayant chacun leurs propres spécificités. Pour mieux appréhender la notion, nous proposons de définir les grands principes de l’IdO tels qu’ils apparaissent aujourd’hui à la lecture des recherches et des rapports réalisés sur la question. 2Si tout le monde ou presque est d’accord pour dire que l’IdO est, sinon l’internet du futur, du moins une dimension fondamentale de l’internet de demain, il n’existe pas de définition standard, unifiée et partagée de l’internet des objets. Certaines définitions insistent sur les aspects techniques de l’IdO, tandis que d’autres se concentrent plutôt sur les usages et les fonctionnalités. Conceptuellement : l’apparition d’identités nouvelles pour les objets 1 Anonyme. 2008. Techniquement : extension du nommage et convergence des identifiants Une proposition de définition
Trouble obsessionnel compulsif Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Ne doit pas être confondu avec Tic. Les symptômes peuvent s'exprimer de façon très variable d'un patient à l'autre (incluant phobie de la saleté, lavage des mains, vérifications répétées, obsessions sexuelles). Approximativement, entre un tiers et la moitié des adultes présentant un TOC rapportent que les premiers symptômes sont apparus dans l'enfance, ce qui suggère un continuum des troubles de la personnalité tout au long de la vie. Malgré ces comportements irrationnels, le TOC est parfois associé à une intelligence supérieure à la moyenne[1]. Dans le DSM-V, le TOC ne fait pas partie des troubles anxieux[2]. L'origine neurophysiologique du TOC reste mal comprise. Épidémiologie[modifier | modifier le code] Nombre d'individu atteints de troubles obsessionnels-compulsifs dans le monde sur 100 000 habitants en 2002. Aucune donnée Moins de 45 45-52.5 52.5-60 60-67.5 67.5-75 75-82.5 82.5-90 90-97.5 97.5-105 105-112.5 112.5-120 Plus de 120
Robert Plutchik Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Robert Plutchik, né le 21 octobre 1927 et mort le 29 avril 2006, est un professeur et psychologue américain. Il fut professeur émérite de l'Albert Einstein College of Medicine et professeur auxiliaire de la University of South Florida. Il obtient son Ph.D. de l'université Columbia en 1952. Il est l'auteur ou coauteur de plus de 260 articles, de 45 chapitres et de 8 livres, ainsi que le rédacteur-réviseur de 7 livres. Ses recherches ont porté sur les émotions, le suicide et la violence, ainsi que la psychothérapie[1]. Théorie des émotions[modifier | modifier le code] La théorie psycho-évolutionniste de Plutchik sur les émotions de base repose sur dix postulats : Roue des émotions de Plutchik[modifier | modifier le code] Roue des émotions de Plutchik Robert Plutchik a aussi créé une roue des émotions pour illustrer diverses émotions motivatrices et nuancées. Œuvres[modifier | modifier le code] Notes[modifier | modifier le code]
Intelligence émotionnelle La mise en forme de cet article est à améliorer (octobre 2022). La mise en forme du texte ne suit pas les recommandations de Wikipédia : il faut le « wikifier ». Comment faire ? Les points d'amélioration suivants sont les cas les plus fréquents. Pour une aide détaillée, merci de consulter Aide:Wikification. Si vous pensez que ces points ont été résolus, vous pouvez retirer ce bandeau et améliorer la mise en forme d'un autre article. L'intelligence émotionnelle (IE) fait référence à la capacité d'une personne à percevoir, comprendre, gérer et exprimer ses propres émotions, ainsi que celles des autres, afin de résoudre les problèmes et réguler les comportements liés aux émotions[1],[2]. Bien que le terme soit apparu pour la première fois en 1964[3], il a gagné en popularité dans le best-seller L'Intelligence émotionnelle[4], écrit par le journaliste scientifique Daniel Goleman en 1995. Différents modèles ont été élaborés pour mesurer l'IE. Histoire[modifier | modifier le code]
1 personne sur 20 a déjà vécu un ou des symptômes psychotiques Dans une étude menée avec 8580 personnes de 16 à 74 ans, 5.5% d'entre elles avaient déjà vécu des symptômes psychotiques tels que des pensées paranoïdes, des hallucinations, l'impression que les pensées subissent une interférence extérieure ou l’impression de vivre une expérience étrange. Les facteurs qui ont été identifiés comme étant liés à ces symptômes étaient la dépendance à l'alcool ou aux drogues, des événements stressants récents et des habiletés intellectuelles moins développées. Pour ce qui est de la dépendance aux drogues, les symptômes psychotiques étaient le plus souvent liés au cannabis. Cette étude, publiée dans le British Journal of Psychiatry, montre selon l'auteure que les symptômes psychotiques existent dans la population comme un continuum plutôt que comme un critère de diagnostic catégorique. Voyez également: Quels sont les troubles psychotiques? Qu'est-ce que la schizophrénie? Qu'est-ce que le trouble délirant? Psychomédia avec source: Psycport
Market Your Business the Marvel Comics Way After toiling for years as an anonymous comics writer, Stan Lee had a once-in-a-lifetime idea. He dreamed up a brand new type of superhero team. Heroes with insecurities, fears, jealousies, and flaws. In other words, real human beings. Stan Lee called his creation the Fantastic Four. But what should have been Marvel’s greatest triumph nearly sunk the company. The Marvel method saves the day. Instead of giving up, our friendly neighborhood comic book visionary devised his second once-in-a-lifetime idea: He created a system. Rather than writing a full script for each new issue, Stan began putting together one-and-a-half page outlines. Stan Lee’s method was so efficient that it allowed Marvel to easily handle the demand and bring on a whole bunch of new titles. Why should we care about a comic book publisher in the digital age? Today everyone should be a creative content producer, no matter what industry you’re in. Now interruptive marketing is a cause of resentment. Now you do too.
The Antipsychiatry Coalition Travail de deuil Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le travail de deuil est une expression créée par Sigmund Freud dans l'article Deuil et mélancolie en 1915[1]. Il s'agit du processus intrapsychique consécutif à la perte d'un objet d'attachement, d'un être cher. De ce point de vue, toute perte peut nécessiter un travail de deuil. Le deuil[modifier | modifier le code] Article détaillé : Deuil. La mort de l'autre nous renvoie à l'idée de notre propre mort et à l'angoisse qu'elle provoque. « Le deuil est un processus humain provoqué par toute rupture, toute perte significative dans le champ de nos investissements. — Janine Pillot, Le travail de deuil Le deuil est un état affectif douloureux provoqué par la mort d'un être aimé. « Le deuil est régulièrement la réaction à la perte d'une personne aimée ou d'une abstraction mise à sa place, la patrie, la liberté, un idéal, etc. » — Sigmund FREUD, Deuil et mélancolie Schéma de l'attachement[modifier | modifier le code] Risque de sentiment de solitude
Colère Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Étymologie[modifier | modifier le code] En français, colère descend du grec kholê, la bile, dont vient également le nom choléra. Elle serait causée par l'échauffement de cette bile dans la théorie des humeurs. Biologie[modifier | modifier le code] La colère provoque plusieurs modifications physiologiques préparant le corps au mouvement et à la réaction. Psychologie[modifier | modifier le code] La psychologie a bien montré, et expérimente chaque jour, les effets nocifs de la censure de la colère, qui enferme l'individu dans des zones de non-dits et parasite la relation à soi-même et aux autres. Si la colère est une forme d'expression licite contre l'indignation et l'injustice, elle est parfois incontrôlable. Morale[modifier | modifier le code] Dans la tradition catholique, la colère fait partie des sept péchés capitaux, avec l'acédie (ou la paresse spirituelle), la gourmandise, l'orgueil, la luxure, l'avarice et l'envie. Sénèque (v. 4 av.
La perversion à travers les âges Les pervers font le mal pour le mal, jouissent de l’angoisse qu’ils suscitent chez autrui et défient les normes morales d’une société par leurs conduites « déviantes ». Mais est-on pervers de la même façon au Moyen Âge qu’au XXIe siècle ? Violeur d’enfants, mari manipulateur, homme politique aux mœurs légères… Désormais, pas une semaine sans que le mot « pervers » soit utilisé à tort et à travers dans les médias pour désigner à la vindicte publique des individus dont le comportement déviant scandaleux, grotesque ou abject nous donne à voir dans un miroir grimaçant ce que nous nous évertuons à cacher sans cesse : la part obscure de nous-mêmes (1). Mais où commence la véritable perversion ? L’existence du mot « pervers » est attestée en 1190 et dérive de « pervertere » : retourner, renverser, inverser, commettre des extravagances. >> L’existence du mal chez un individu relève-t-elle de l’ordre divin ? L’homme médiéval appartient corps et âme à Dieu. >> Le libertin est-il un pervers ?