Le cerveau : de Hamlet à l’imagerie cérébrale La Semaine du Cerveau (link is external)est devenue le plus grand évènement scientifique grand public après la Fête de la Science. Du 13 au 19 mars 2017, pour sa 19e édition, dans plus de 30 villes françaises, des dizaines de milliers de personnes iront à la rencontre de centaines de chercheurs bénévoles pour échanger, pour mieux connaître le cerveau et pour s'informer sur l'actualité de la recherche en neurosciences. La Semaine du Cerveau (link is external) est une manifestation internationale d’information grand public, gratuite, coordonnée en France par la Société des Neurosciences (link is external), sous l’égide de la Fondation Dana Alliance, et en partenariat avec La Fédération pour la Recherche sur le Cerveau (link is external), les grands organismes de recherche (INSERM, CNRS, INRA) et d’éducation (Universcience, Ministère de l’Education Nationale) et des entreprises privées (Cerveau & Psycho, Casden, Science et Vie TV).
Les ondes cérébrales ? | Gestion du stress, mieux dormir, relaxation et meditation Nos ondes cérébrales et les états d’ondes cérébrales ne sont pas très connus par le grand public. En effet, peu de communication est faite sur les recherches sur notre cerveau et son fonctionnement. Mais en fait, il est important de savoir qu’en changeant notre état de conscience, ou plutôt en modifiant les ondes produites par notre cerveau nous pouvons changer efficacement notre conscience et notre expérience de la vie. A propos de la stimulation et des ondes cérébrales La stimulation auditive et visuelle (AVS) est une méthode de développement personnel qui a évolué pendant plus de deux décennies à partir de l’étude et l’utilisation de biofeedback, une procédure de formation qui peut permettre à une personne de modifier les réponses physiologiques permettant d’induire l’état d’esprit désiré. Dans le biofeedback, le but de l’individu est délibérément de tenter de se calmer délibérément ou de réduire son activité mentale. Quelles sont les différentes ondes cérébrales? (1-3 Hz).
Conscience and Consciousness | Academic Philosophy for a General Audience L'étonnante plasticité du cerveau humain Tous les mois dans Le Figaro , des membres de l'Académie des sciences répondent aux grandes questions de l'actualité scientifique. Pierre-Marie Lledo, neurobiologiste au CNRS et à l'Institut Pasteur vous répond. Avec ses 86 milliards de cellules nerveuses et ses millions de milliards de connexions, le cerveau de l'homme moderne est une merveille de complexité qui n'a pourtant rien d'immuable et de figé comme le sont les composés d'un ordinateur. Si connexions, mémoire et langage il y a, ceux-ci sont faits de chair vive: matière changeante construite pour le changement et qui n'existe elle-même que par le changement. Cela veut dire que cet organe incarne un devenir: il confère la faculté d'accomplir demain des opérations que nous sommes incapables de réaliser aujourd'hui. La première singularité concerne la lente croissance de notre cerveau qui nécessite plusieurs décennies pour s'accomplir. Programmés pour apprendre » Le cerveau humain a rétréci depuis Cro-Magnon
Raconte-moi les arbres ! En partenariat avec Le Monde, retrouvez chaque jour les articles Planète et Sciences dans le quotidien et sur LeMonde.fr Les travaux scientifiques en attestent depuis déjà quelques années, tant pour les arbres que pour les plantes d’une manière générale, et des livres le racontent, comme celui de Peter Wohlleben qui, à la manière d’un conte, nous plonge dans la vie d’une forêt. Comment pensent les plantes et les arbres ? Quelles sont leurs interactions avec l’environnement ? La forêt de Peter Wohlleben Ont-ils une sensibilité particulière, une intelligence, une mémoire ? Les phrases de nos invités Peter Wholleben : it would'nt be my job, it would be my hobby" (the work with trees)Jacques Tassin : "La vie est la liberté s'insinuant dans la nécessité". Les liens pour en savoir plus Burger King, « roi de la déforestation ».Les ONG pointent du doigt le rôle de la chaîne américaine de fast-food et son manque d’exigence vis-à-vis de ses fournisseurs. 21/03 : Journée internationale des forêts.
Les réseaux de la mémoire : voyage au coeur du cerveau avec Mapping Memory du National Geographic Comment nos perceptions se transforment-elles en souvenirs ? Quelles zones du cerveau sont activées lorsque nos sens lui transmettent sons, odeurs, images fixes et animées ? Comment s’opère la coordination des toutes les régions sollicitées par la pensée et le raisonnement ? Mapping Memory (en anglais), animation en 3D proposée par le National Geographic, répond à toutes ces questions et surtout, vous permet de voir de vos propres yeux s’animer les zones sollicitées par la mémoire immédiate et la mémoire de travail. Plusieurs écrans et animations sont également consacrés à la face obscure de la mémoire : l’oubli. Cette animation fait partie d’un dossier complet sur la mémoire.
Panpsychism is a crazy theory about consciousness — and it's probably true Sign Up for Our free email newsletters Common sense tells us that only living things have an inner life. Rabbits and tigers and mice have feelings, sensations, and experiences; tables and rocks and molecules do not. Panpsychists deny this datum of common sense. According to panpsychism, the smallest bits of matter — things such as electrons and quarks — have very basic kinds of experience; an electron has an inner life. The main objection made to panpsychism is that it is "crazy" and "just obviously wrong." No doubt the willingness of many to accept special relativity, natural selection and quantum mechanics, despite their strangeness from the point of view of pre-theoretical common sense, is a reflection of their respect for the scientific method. I maintain that there is a powerful simplicity argument in favor of panpsychism. In fact, the only thing we know about the intrinsic nature of matter is that some of it — the stuff in brains — involves experience. Panpsychism is crazy.
Mémoire Dossier réalisé en collaboration avec le Pr. Francis Eustache, Directeur de l'unité Inserm-EPHE-UCBN U1077 "Neuropsychologie et neuroanatomie fonctionnelle de la mémoire humaine" – Octobre 2014 La mémoire repose sur cinq systèmes de mémoire © Inserm, G. Auzias/S. Cette représentation de neuro-imagerie est un exemple de la technique dite de recalage interindividuel guidé par les sillons (DIffeomorphic Sulcal-based COrtical ou DISCO). La mémoire se compose de cinq systèmes de mémoire impliquant des réseaux neuronaux distincts bien qu’interconnectés : La mémoire de travail (à court terme) est au cœur du réseau. Cet ensemble complexe est indispensable à l’identité, à l’expression, au savoir, aux connaissances, à la réflexion et même à la projection de chacun dans le futur. La mémoire de travail La mémoire de travail (ou mémoire à court terme) est en fait la mémoire du présent. 7, le nombre magique Le chiffre 7 serait le "nombre magique" de la mémoire de travail. La mémoire sémantique Actualités
Why our brains may be 100 times more powerful than believed A new study out of the University of California Los Angeles (UCLA) has found that one part of the neurons in our brains is more active than previously revealed. The finding implies that our brains are both analog and digital computers and could lead to better ways to treat neurological disorders. The focus of the study was the dendrites, long branch-like structures that attach to a roundish body called the soma to form neurons. It was previously believed that dendrites were nothing more than conduits that sent spikes of electrical activity generated in the soma to other neurons. But the study has shown that the dendrites themselves are highly active, sending spikes of their own at a rate 10 times that previously believed. The finding runs counter to the long-held belief that somatic spikes were the main way we learn and form memories and perceptions. "Dendrites make up more than 90 percent of neural tissue," said UCLA neurophysicist Mayank Mehta, the study's senior author.
Comment le cerveau s’adapte à toutes les situations? 02.06.2014 - Communiqué Neurosciences, sciences cognitives, neurologie, psychiatrie © CC BY-SA 2.0 by ZeroOne Lorsque l’on est face à une situation incertaine, changeante voire nouvelle, notre cerveau opte, après un moment de réflexion, pour une solution plutôt qu’une autre. C’est le raisonnement par lequel l’Homme s’adapte à de telles situations, que vient de décrypter l’équipe d’Etienne Koechlin, directeur du laboratoire de Neurosciences Cognitives (Inserm/ENS). Les résultats sont publiés dans la revue Science Express le 29 mai 2014. La prise de décision a lieu grâce à l’activité d’une zone cérébrale du lobe frontal appelée cortex préfrontal. Dans cette étude publiée dans Science Express, les chercheurs du laboratoire de neurosciences Cognitives (Inserm/ENS) ont analysé l’activité cérébrale de 40 jeunes individus (18-26 ans) en bonne santé soumis à un protocole inspiré du jeu de société Mastermind. L’étude révèle le rôle clé joué par deux régions.
Why life on Earth was a sure thing By Rowan Hooper WHAT if life on Earth was inevitable – and arose merely as a consequence of the laws of physics? Perhaps it would encourage alien hunters in their search for life elsewhere in the universe. The notion that life is bound to emerge has been given renewed credence by an experiment that has run parts of the key metabolic reaction known as the Krebs cycle in reverse. In this direction it makes simple biomolecules from carbon dioxide, sunlight and two compounds thought to have been present in the primordial soup. Almost all organisms on Earth use the Krebs cycle to produce energy by breaking down carbohydrates, liberating carbon dioxide in the process; it is one of the most ancient and fundamental of all biochemical reactions. The Harvard researchers mixed a chemical called oxaloacetate with particles of the zinc sulphide mineral sphalerite, and irradiated them with UV light.
Cerveau : se partager pour mieux penser Non, les gauchers n’ont pas le cerveau à l'envers des droitiers ! À l’occasion de la Semaine du cerveau, le point sur ce que l’imagerie cérébrale révèle, ou dément, sur les asymétries du cerveau. Plus que la parole, le rire ou la religion, le fait de nous répartir aussi inégalement en droitiers et en gauchers distingue l’espèce humaine de toutes les autres. On liait depuis deux siècles cette asymétrie manuelle à la spécialisation de l’un de nos hémisphères cérébraux dans les activités linguistiques. Revisitant les asymétries du cerveau avec les plus récentes techniques d’imagerie cérébrale, les chercheurs du Groupe d’imagerie neurofonctionnelle de Bordeaux (GIN)1 remettent en question certaines idées préconçues sur ce phénomène. Par leurs travaux novateurs, ils espèrent élucider les causes de la spécialisation hémisphérique et comprendre ce qu’elle a apporté à l’esprit humain. Derrière une fausse symétrie, une vraie spécialisation Gaucher ou droitier, la parole naît plutôt à gauche B.
Au plaisir de vous revisiter a bientôt Merci Soleil by magnoli Mar 30
Merci, nous sommes sur le même chemin. Namaskar. by surfpix Mar 29
J'aime ce que vous publier ça me parle Namaste Merci by magnoli Mar 29