Calculer la TVA
Pour déterminer le montant à reverser, comprendre combien vous en avez réglé sur votre achat, une calculatrice qui vous donnera en pourcentage un montant HT et TVA incluse, que vous avez à acquitter ou que vous venez de payer ! Un bon moyen de contrôle, pratique et facile d’utilisation, qui vous simplifiera la vie, efficace si vous cochez le taux d’application en vigueur ! Nous vous conseillons également ( Calculatrices & Outils )... Calculatrice credit Le meilleur moyen de connaître les mensualités que vous allez mettre en place et leur durée, en fonction de la somme que vous empruntez et aussi du taux d’intérêts qui vous a été accordé par la banque ! Calcul votre crédit Calculer votre IMC Le calcul qui tient compte de votre taille et de votre poids, vous donnant ainsi un indice en rapport avec votre masse corporelle qui est alors décrétée fluette, parfaite ou sujette à l’embonpoint ! Calcul de votre IMC Perdre du poids Calcul perte de poids
Facture : les mentions obligatoires
Comme on le sait, la délivrance d'une facture est obligatoire, au-delà d'un certain montant. La facture doit comporter un certain nombre de mentions obligatoires. Définition Comme on le sait, une facture est un document officiel émis par un professionnel sur un papier à en-tête de son entreprise, qui détaille les conditions de délivrance d'une marchandise ou d'une prestation de service. Ce document est de nature à la fois juridique, fiscale et comptable. Ce document comptable constitue une preuve de vente pour le vendeur, et une preuve d'achat pour l'acheteur. La facture obligatoire La délivrance d'une facture est obligatoire dans les cas suivants. Quand il s'agit d'une vente ou d'une prestation de services entre professionnels. Les mentions obligatoires Une facture doit comporter obligatoirement les mentions suivantes : Dans certains cas, le vendeur ou le prestataire peut être adhérent d'un centre de gestion agréée. Exemple Annulation ou rectification d'une facture Pour PC Windows ou Mac
Obligations comptables et fiscales des entreprises LégiFiscal
Principes généraux ¶ Les obligations comptables sont précisées dans le code du commerce. Les commerçants personnes morales doivent selon l’article L 123-12 du code de commerce : Procéder chronologiquement à l’enregistrement comptable des opérations affectant le patrimoine de l’entreprise. Les livres obligatoires retracent ces enregistrements, à l’appui de pièces justificatives. Les mêmes règles s’imposent pour les commerçants personnes physiques. Les livres obligatoires ¶ Les livres obligatoires comprennent : Les comptes annuels ¶ Les documents de synthèse ¶ Trois documents de synthèse sont obligatoires en fin d’exercice : le bilan, le compte de résultat et l’annexe. Pour les nécessités de la gestion, l’entité peut établir des situations, c’est-à-dire des bilans et comptes de résultat intermédiaires (semestriels, trimestriels voire mensuels). Dépôt au greffe du tribunal de commerce ¶ Cas général Les micro-entreprises Les petites entreprises Délai de conservation ¶ Le plan de compte du PCG ¶
Bénéfices industriels et commerciaux (BIC) : régimes fiscaux et déclarations - professionnels
Dans certains cas, un coefficient multiplicateur de 1,20 doit être appliqué au montant des bénéfices industriels et commerciaux. Cela vise le professionnel soumis à un régime réel d'imposition qui se trouve dans l'un de ces 2 cas : Il n'est pas adhérent d'une association agréée (AA) : Une association agréée dispose d'un numéro d'agrément qui est différent de ses numéros d'immatriculation. L'agrément lui permet notamment d'employer du personnel sous certaines conditions, et de bénéficier de subventions publiques ou d'augmenter sa capacité juridique., directement ou par l'intermédiaire d'une société ou d'un groupement soumis au régime fiscal des sociétés de personnesIl ne fait pas appel aux services d'un expert-comptable ou d'une société membre de l'ordre des experts-comptables, ayant signé une convention avec l'administration. Seul le résultat de l'exploitation soumis au barème progressif de l'impôt est majoré.
TVA | impots.gouv.fr
Quelles déclarations dois-je déposer ? Le reversement de la TVA s’effectue à l’aide de déclarations dont la forme et le rythme de dépôt dépendent de votre régime d’imposition. Vous relevez de la franchise en base (FB) Si votre chiffre d'affaires exprimé hors taxe n'excède pas : 85 800 € ou 94 300 € en cas de dépassement : pour les professionnels de l'achat revente, de la vente à consommer sur place et de la fourniture de logement (y compris les activités de location de gîtes ruraux, de meublés de tourisme et de chambres d'hôtes) ; 34 400 € ou 36 500 € en cas de dépassement : pour les prestataires de services et les loueurs en meublés (à l'exception des locations visées ci-dessus). Si vous relevez du régime de la franchise en base, vous n’êtes pas soumis à la TVA sur vos opérations, vous ne collectez pas de TVA auprès de vos clients, vous ne déduisez pas non plus la TVA que vous avez supportée sur vos achats ou immobilisations. En revanche, vous pouvez opter pour le paiement de la TVA.
Quel régime fiscal choisir pour votre entreprise ? | Le portail des ministères économiques et financiers
2 types d’imposition : l'impôt sur les sociétés ou l'impôt sur le revenu En fonction du statut de votre entreprise, vous pouvez être soumis à 2 types d'imposition : l'impôt sur le revenu ou l'impôt sur les sociétés. Retrouvez plus d'informations sur le site de l'Agence France Entrepreneur Lire aussi : Création d'entreprise : les démarches à effectuer Type d'imposition : le choix de l'impôt sur le revenu Si vous choisissez d’être imposé sur le revenu, les bénéfices sont à inscrire dans votre déclaration de revenus dans la catégorie « Bénéfices industriels et commerciaux » (BIC) si l’activité est industrielle, commerciale ou artisanale ou « Bénéfices non commerciaux » (BNC) si l’activité est de nature libérale. Le taux d’imposition qui vous sera appliqué dépend de vos autres revenus et de votre situation familiale. Lire aussi : Quel statut juridique choisir pour son entreprise ? Type d'imposition : le choix de l'impôt sur les sociétés Le régime d'imposition de la micro-entreprise
Les différents régimes fiscaux : la fiche complète pour tout comprendre
Le choix du régime fiscal d’une entreprise dépend notamment du statut juridique de celle-ci. Plusieurs critères permettent à l’entrepreneur de définir le régime fiscal adapté à sa situation. Lors de la création d’une entreprise, l’entrepreneur et ses éventuels associés ont le choix entre trois régimes fiscaux, l’impôt sur le revenu, l’impôt sur les sociétés ou encore la micro-entreprise. Le régime d’imposition définira alors les obligations de déclaration et les règles d’imposition des bénéfices. Sommaire : L’Impôt sur le Revenu (IR) Le régime de l’impôt sur le revenu, plus fréquemment appelé IR, considère que les bénéfices de l’entreprise sont des revenus. L'impôt sur le revenu est un impôt personnel : il va concerner les revenus d'une personne physique. Dans le cas d’une activité libérale, le dirigeant ou les associés déclarent leur revenu dans les bénéfices non commerciaux, ou BNC. Pour résumer : Revenu net imposable / parts du quotient familial Barème de l'impôt sur le revenu pour 2019 :