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Effondrement du système bancaire : le compte à rebours vient de commencer

Effondrement du système bancaire : le compte à rebours vient de commencer
A moins de ne plus jamais avoir besoin de crédit ou de découvert ou se faire un capital (retraite etc ;..) et donc de revenir aux vieilles méthodes (« bas de laine ») et donc d’accepter de différer ses achats (maison, voiture etc...) d’accepter aussi que son argent ainsi économisé se dévalue (quoique maintenant, les taux d’intérêts versés aux épargnants ne sont vraiment plus indexés sur le coût réel de la vie) que, même dans une banque éthique, tout placement comporte un risque. Nous ne sommes pas au bout de nos peines.. car la plupart des banques en plus d’investissements dans des entreprises, de prêts aux particuliers, rachètent de la dette à très haut risque... A certaines, elle est imposée... Donc le système qui était déjà à la base fragile bien que reposant sur des garanties (hypothèques par exemples), l’est devenu encore plus lorsque ces mêmes garanties étaient surévaluées (crise des subprimes).. Par compte, là ou le bât blesse c’est au niveau des comptes courants..

Les idées fausses, ça suffit ! ATD Quart Monde vous offre un an d’abonnement à Feuille de Route, le mensuel d’actualités contre la misère. Pour bénéficier de cet abonnement d’un an, cliquez ici Commandez le livre "En finir avec les idées reçues sur les pauvres et la pauvreté" Nous vous invitons à déconstruire des préjugés et des stéréotypes répandus sur la pauvreté et les pauvres, afin que ceux-ci cessent d’être les boucs émissaires des maux de nos sociétés et qu’ils deviennent au contraire des partenaires à part entière dans la construction d’un monde plus juste. Voici quelques-unes de ces idées reçues. Travail réalisé par ATD Quart Monde et la MRIE, Mission Régionale d’Information sur l’Exclusion en Rhône-Alpes. 1) Sur la pauvreté en général « Les pauvres coûtent cher à la société » Oui, et plus que l’on ne pense (et ils rapportent aussi !). 2) Sur les minima sociaux « La France distribue des minima sociaux élevés. » Faux. « Il n’y a pas assez d’argent dans les caisses pour augmenter les minima sociaux » Faux. Faux. Faux.

Zoom sur l'entrepreneuriat social L'entrepreneuriat social est un concept récent. Apparu dans les années 1990 en Europe et aux Etats-Unis, il désigne toute entreprise dont la vocation consiste à conjuguer efficacité économique et finalité sociale. Cependant, la compréhension de l'entrepreneuriat social diffère quelque peu de chaque côté de l'Atlantique. Reconnaître une entreprise sociale Le réseau de recherche européen sur l'entrepreneuriat social, l'EMES (Emergence of Social Enterprises, littéralement « émergence des entreprises sociales »), a établi quatre critères transverses de reconnaissance d'une entreprise sociale : une activité continue de production de bien et/ou de services un degré d'autonomie élevé un niveau de prise de risque économique significatif au moins un emploi rémunéré Ces critères sont assortis de cinq indicateurs, qui attestent de la dimension sociale de l'entreprise : Des structures et des activités variées Dans le champ de l'entrepreneuriat social se retrouvent des sociétés de formes variées.

Les CCI s’investissent dans l’économie sociale et solidaire Publié le 26/07/13 dans les actualités | Générale La première réunion de la Commission régionale de l’Economie Sociale et Solidaire vient de se tenir à la CCI de Région. En effet, les CCI du Languedoc-Roussillon, et c’est assez rare pour être signalé, ont décidé de s’investir dans ce pan de l’activité qu’est l’ESS(Economie Sociale et Solidaire). C’est Andréa DIAZ-GONZALEZ, élue de la CCI de Perpignan et elle même chef de plusieurs entreprises de l’ESS, qui a présidé cette réunion qui rassemblait des élus et des collaborateurs de l’ensemble du réseau consulaire. Plusieurs axes de travail et plan d’actions ont été arrêtés : Ainsi les Chambres de Commerce et d’Industrie accompagnent-elles les différents aspects de l’économie locale.

Innovation sociétale: comment concilier travail et solidarité en entreprise Carrière ou engagement solidaire? De plus en plus de salariés refusent de choisir. A tous les niveaux de l'entreprise, la soif de sens au travail se fait sentir, souligne André Sobczak, directeur de recherche à l'école de commerce Audencia. Les moyens d'action existent. En voici trois. 1. Il permet aux salariés de mettre leurs expertises professionnelles ou personnelles au service de causes et d'associations. Mettre à jour la comptabilité d'Handibot, un programme de robot-peintre pour personnes handicapées, rechercher des artisans retraités pour l'Outil en main, association initiant les 9-14 ans aux métiers manuels... De façon plus large, le mécénat de compétences permet aux collaborateurs d'offrir leurs savoir-faire professionnels ou personnels à des causes d'intérêt général, "sans aucune perte de rémunération et sur leur temps de travail", relève Jean-Michel Pasquier, fondateur de Koeo, plate-forme dédiée à cette pratique. 2. 3. "Arrête de râler et bouge-toi!"

développement durable en entreprise Notre association accompagne depuis 2006 des entreprises régionales, par le repérage, la promotion et la valorisation des bonnes pratiques managériales, environnementales et économiques. Petits-déjeuners thématiques, actions collectives, promotion des pratiques d’achats responsables, bien-être en entreprise, trophées du Développement Durable sont autant de travaux que nous engageons collectivement dans un souci de progression du tissu économique, de responsabilité sociétale et de recherche de performances. GRANDDE association loi 1901 | siège : c/o EANA Parc de l’Abbaye 76210 Gruchet le Valasse webmaistre | informations légales | accueil | un site Tout pour le Mieux, moteur Voxalia Oubliez le développement durable et l’économie verte, voici l’économie circulaire Tribune On a eu le recyclage, le développement durable, l’économie verte, l’écologie industrielle, le « Green New Deal »... Voici venir l’économie circulaire. C’est le mot à la mode. C’est l’un des cinq thèmes de la deuxième conférence environnementale, organisée par le gouvernement ces 20 et 21 septembre. Si le mot paraît nouveau, le concept est ancien. Making of Eugène Bin est un pseudonyme. L’économie circulaire consiste à assurer une utilisation optimum des ressources en réduisant les besoins et en réintégrant les déchets dans des boucles : celle de la réutilisation (réparer ou reconditionner un objet plutôt que le jeter) ; celle du recyclage (récupérer la matière). L’idée est de recréer de la valeur avec les déchets, donc de l’activité et des emplois, généralement de proximité. La grande, la moyenne et la petite boucle On le dit souvent, les déchets ne sont que la partie émergée d’un iceberg de richesses gaspillées. La grande boucle consiste à préserver le plus possible le produit.

Recommerce Solutions revient sur ses levées de fonds - Marketing Professionnel - Marketing professionnel – Le marketing pour les professionnels Créée en 2009, Recommerce Solutions est l’acteur n°1 du marché des produits électroniques d’occasion en France, et opère au niveau européen pour le compte de partenaires renommés, des services innovants de rachat, reconditionnement et vente de terminaux mobiles, en particulier les téléphones et les tablettes. L’entreprise réalise l’ensemble de ses activités dans une démarche éthique et développement durable et ses fondamentaux sont la technologie et l’innovation. Recommerce Solutions a été plusieurs fois récompensée comme l’une des meilleures startups « CleanTech » françaises. En janvier 2013, la société a finalisé une levée de fonds de 7,1M€ afin d’accélérer son développement international et d’accroître son avance technologique. Diane THOMAS, Chief Business Development Officer & Associée de Recommerce Solutions témoigne sur ses tours de table et ses levées de fonds via l’appui de fonds d’investissement. Quelles furent les principales étapes de votre levée de fonds ? (c) ill.

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