Illustris - Main M. Mestiri Planetesimo Da Wikipedia, l'enciclopedia libera. Un planetesimo è un oggetto roccioso primordiale alla base della formazione dei pianeti, asteroidi e del sistema solare. Formazione[modifica | modifica wikitesto] Una teoria largamente accettata, la cosiddetta Ipotesi Planetesimale di Viktor Safronov, afferma che i pianeti si formino grazie a granelli di polvere che collidono e si aggregano per formare corpi sempre maggiori. Raggiunte le dimensioni di un chilometro, possono attrarsi a vicenda tramite la propria forza gravitazionale, aggiungendo altra massa che contribuisce alla crescita degli oggetti fino a diventare dei proto-pianeti. Gli oggetti minori dei planetesimi, invece, seguono il moto Browniano oppure seguono movimenti turbolenti nel gas che causano collisioni che conducono alla loro aggregazione. Planetesimi nel nostro Sistema Solare[modifica | modifica wikitesto] Definizione[modifica | modifica wikitesto] Classificazione[modifica | modifica wikitesto]
Les magnifiques cheveux de Laurence Protoplanète Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une protoplanète est un embryon de planète qui se forme dans le disque protoplanétaire[1]. Formation des protoplanètes[modifier | modifier le code] Les protoplanètes se forment à cause des collisions qui se produisent entre les différents corps planétésimaux pouvant aller jusqu'à 1 kilomètre de diamètre qui s’attirent en raison de la gravité. Exemple[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code] Référence[modifier | modifier le code] ↑ [archive] Portail de l’astronomie
Le modèle de rutherford Le modèle de Rutherford En 1911, pour vérifier le modèle de Thomson, Ernest Rutherford (1871-1937) réalisa une expérience qui allait lui permettre d'élaborer un nouveau modèle de l'atome. Il bombarda une mince feuille d'or avec des particules α (atomes d'hélium qui ont perdu deux électrons). Pour expliquer les observations expérimentale Rutherford propose un nouveau modèle dans lequel l'atome n'est pas plein. La taille de l'atome est de l'ordre de 10-10m et celle du noyau de l'ordre de 10-15m. Ce modèle permet d'expliquer les observations faites lorsqu'on bombarde une feuille d'or avec des particules α. Ce modèle sera remplacé, deux ans plus tard, par le modèle de Bohr. Aller à la page d'accueil du site SciencesPhy © Olivier STOCK
Inflation cosmique Inflation cosmique (en beige), avant 10-32 seconde. L'inflation cosmique est un modèle cosmologique s'insérant dans le paradigme du Big Bang lors duquel une région de l'Univers comprenant l'Univers observable a connu une phase d'expansion très rapide qui lui aurait permis de grossir d'un facteur considérable : au moins 1026 en un temps extrêmement bref, compris entre 10-36 et 10-33 secondes après le Big Bang. Ce modèle cosmologique offre une solution à la fois au problème de l'horizon et au problème de la platitude. Cette phase d'expansion, nommée « inflation » en 1979 par son premier théoricien, le physicien américain Alan Guth[1], se serait produite très tôt dans l'histoire de l'Univers, à l'issue de l'ère de Planck ou peu après, de l'ordre de 10-35 seconde après le Big Bang. Contexte historique[modifier | modifier le code] L'explication du fait que l'Univers pût être homogène et isotrope était par contre inconnue. Principe général de l'inflation[modifier | modifier le code]
Bolshoi Simulation | Home Introduction: The Bolshoi Simulation Watch version with music Visualization of the dark matter in 1/1000 of the gigantic Bolshoi cosmological simulation, zooming in on a region centered on the dark matter halo of a very large cluster of galaxies. The Bolshoi simulation is the most accurate cosmological simulation of the evolution of the large-scale structure of the universe yet made (“bolshoi” is the Russian word for “great” or “grand”). The starting point for Bolshoi was the best ground- and space-based observations, including NASA’s long-running and highly successful WMAP Explorer mission that has been mapping the light of the Big Bang in the entire sky. Large cosmological simulations such as the Millennium simulation are now the basis for much current research on the structure of the universe and the evolution of galaxies and clusters of galaxies.
Big Bang et univers : Planck confirme le modèle cosmologique standard Les analyses définitives des données obtenues par le satellite Planck, appelées « données héritage », viennent d'être rendues publiques. Issues de l'étude du rayonnement fossile par les membres de la collaboration Planck, elles soutiennent très fortement le modèle de la cosmologie standard et la théorie du Big Bang. Quelques légères anomalies persistent cependant et elles pourraient nécessiter l'introduction d'une nouvelle physique, qui ne changerait de toute manière que de façon marginale ce modèle, d'après les cosmologistes. Si Georges Lemaître, Georges Gamow et l'injustement oublié Ralph Alpher étaient encore avec nous aujourd'hui, ils n'auraient aucune raison de changer les grandes lignes de la théorie du Big Bang, qu'ils ont avancée au cours de la première moitié du XXe siècle. La théorie du Big Bang plus solide que jamais Il n'est donc pas question de l'existence d'un instant initial qui peut ou ne pas avoir existé ni du fait que tout l'univers, ou pas, soit en expansion.
Notre Univers n'aurait pas besoin de Big bang pour exister La révolution informatique vient de faire une victime : le Big bang. Depuis une trentaine d'années les cosmologistes tentent d'approfondir ce modèle - ou Modèle standard - afin de résoudre ses imperfections, tandis que des hypothèses alternatives comme celle du Big bounce - Univers à rebonds - viennent régulièrement mais timidement le défier. Jusqu'ici ça se passait dans le domaine conceptuel, celui des équations et des arguments théoriques, sans qu'il soit possible de tester les hypothèses, par exemple par l'observation. La philosophie qualifie ces hypothèses d'"infalsifiables" matériellement- même si elles demeurent testables en principe... mais par une "entité" possédant des moyens technologiques méconnus des humains. C'est dans ce nouveau cadre qu'une équipe de chercheurs réputés vient de montrer que le Big bang n'est pas nécessaire pour créer notre Univers. La cosmologie face au mur Une violente inflation pour garantir la régularité L'inflation se poursuit. "Aussi lisse que de la soie"
Il y aurait un étrange alignement dans l'Univers L'Univers évoluerait le long d'un axe, et ce serait "l'axe du mal", selon les astronomes eux-mêmes ! "Ce 'mal' représente des lois physiques inconnues qui auraient pu engendrer l'Univers autrement que selon le 'bon vieux' modèle du big bang" , décrypte la cosmologiste Larissa Santos, professeure à l'université de Yangzhou (Chine). abonné Quant à cet axe, il a été découvert dès 1992 dans les premières mesures du fond diffus cosmologique du satellite Cobe, un rayonnement fossile émis dans toutes les directions il y a 380 000 ans, juste après le big bang - lorsque le jeune Univers, moins dense, libéra la lumière jusque-là piégée par les interactions avec la matière. Une orientation préférentielle du rayonnement fossile de l'Univers Après Cobe, ce fut au tour de WPAP, entre 2001 et 2010, puis de Planck, en 2013, d'en fournir la carte la plus précise à ce jour. Le signe possible d'une nouvelle physique Cet été, Science & Vie vous offre 60 nouvelles idées pour voir le monde autrement.
Notre univers a-t-il été créé en laboratoire ? Sommes-nous le résultat d’une expérience scientifique menée par une civilisation largement plus avancée que nous ? Notre univers a-t-il été créé en laboratoire ? Autant de questions que se pose le directeur du département d’Astronomie de l’université d’Harvard. Dans une tribune publiée dans le journal Scientific American, Avi Loeb met en avant la théorie qu’une civilisation ayant une technologie de gravité quantique avancée a pu s’élever au rang de civilisation de Classe A et créer notre univers. La classification des civilisations à l’échelle cosmique permet de différencier l’avancée technologique de ces dernières. Une civilisation de classe A, donc de classe supérieure, a les capacités technologiques de recréer les conditions cosmiques à l’origine de son existence et donc de créer en laboratoire un univers dans sa globalité. Pour le professeur d’Harvard, cette théorie est la seule qui puisse unifier «la notion religieuse d’un créateur avec la notion séculaire de la gravité quantique.»
Et si le Big Bang n’avait jamais eu lieu ? Grâce à ses instruments derniers cris, le télescope spatial James-Webb tente de repérer le point de départ de l’Univers, au plus près du Big Bang. Mais cette mission est susceptible de se heurter à un obstacle qu’aucune technologie ne peut résoudre : et s’il n’y avait pas eu de commencement ? C’est peut-être là d’où nous venons que se trouve la clé du mystère de la vie humaine, car le commencement conditionne ce qui suit. Le psychanalyste Otto Rank, étudiant proche de Freud, affirmait que la naissance était l’événement fondateur du développement de la psyché d’une personne. Comme la naissance pour l’être humain, on peut imaginer un moment primordial pour l’Univers. Au plus près de la genèse Peu de temps après, une autre équipe annonçait dans l’Astrophysical Journal avoir découvert la plus ancienne galaxie jamais détectée. La genèse n’a jamais semblé si proche. Si tout était concentré en point unique L’article a fait des vagues dans la communauté scientifique.
La quête des traces d'un univers précédent Cet article est extrait du mensuel Sciences et Avenir - La Recherche n°909, daté novembre 2022. Dans un futur extrêmement éloigné, l'Univers se sera tellement étendu et refroidi qu'il ne sera plus capable de former des galaxies ni de nouvelles étoiles. Il connaîtra alors une lente agonie marquée par la dislocation des superstructures et la décrépitude des dernières étoiles, englouties notamment dans de gigantesques trous noirs. Or, tandis que le cosmos continuera à jamais de s'étendre, suscitant toujours plus d'isolement, de vide et d'obscurité, sa température tendra inexorablement vers le zéro absolu (-273,15 °C), la plus basse possible. Lauréat en 2020 du Nobel de physique, le Britannique Roger Penrose défend depuis une dizaine d'années une tout autre hypothèse. Roger Penrose, un Nobel génial aux contributions éclectiques L'hypothèse de l'éternel retour C'est en 1922, il y a tout juste un siècle, que l'hypothèse d'une cosmologie cyclique a été pour la première fois formalisée.