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La légende de Gauvain

La légende de Gauvain
Vendredi 5 octobre 5 05 /10 /Oct 11:57 Gauvain est le fils aîné du roi Lot d’Orcadie et d’Anna (parfois appelée Morgause) qui est la demi-sœur d’Arthur. Gauvain est donc le plus âgé des neveux d’Arthur. Il aida son oncle dès le début de son règne, notamment contre la rébellion des grands seigneurs qui refusèrent qu’Arthur soit leur roi. Parmi ces seigneurs se trouvait le père de Gauvain, qu’il provoqua en duel pour l’obliger à reconnaître la légitimité d’Arthur, ce qu’il réussi brillamment. Peu de temps après, n’ayant pas de fils, Arthur désigna Gauvain comme héritier du trône ce qui marqua le début d’une longue entente entre les deux individus qui restèrent proche jusqu’à la mort de Gauvain. Gauvain est l’un des personnages centraux de la légende arthurienne. Le neveu préféré du roi avait un caractère un peu rustre au premier abord. Partager l'article ! inShare

La légende de Lancelot Lancelot est le fils du roi Ban de Benoïc et de la reine Elaine. Alors que Lancelot était encore qu’un tout jeune enfant, le roi Ban perdit la bataille qui l’opposait au roi Claudas, et dut alors s’échapper. Gravissant une colline, il ne pût s’empêcher de regarder en arrière pour voir une dernière fois sa cité, et la voyant en flamme il ne sut résisté à la douleur et mourut sur le coup. Sa femme voyant la scène, posa le bébé à terre et courut auprès du roi Ban. Quand le moment fut venu, Viviane fit venir Lancelot à la cour du roi Arthur pour qu’il soit adoubé, ce qu’Arthur consenti volontiers. Très vite Lancelot acquis une très forte réputation au sein des chevaliers de la Table Ronde. Son premier exploit fut de conquérir la Douloureuse Garde, seulement quelques jours après avoir été adoubé. Une de ses aventures les plus célèbres est l'enlèvement de la reine par Méléagant qui pensait être le plus puissant des chevaliers. Ainsi les années passèrent.

L'essentiel sur les romans de Chevalerie au Moyen Age Dominante culture Les romans de chevalerieL’essentiel Merveilleux chrétien et merveilleux celtique Dans les romans de chevalerie, le merveilleux chrétien et le merveilleux celtique sont étroitement mêlés.qui constitue le merveilleux chrétien, ce sont les interventions et volontés de Dieu : ainsi les chevaliers les plus célèbres (Arthur, Perceval, Lancelot...) doivent leur destin exceptionnel au fait qu'ils ont été élus : choisis par Dieu.Par ailleurs, c'est l'enchanteur Merlin qui révèle à Arthur sa destinée, c'est par un exploit relevant de la magie qu'Arthur est désigné comme le roi légitime des Bretons : c'est ce qu'on appelle le merveilleux celtique, celui des légendes bretonnes. L’idéal chevaleresque Le monde de la chevalerie est un monde héroïque. L’univers épique L’épreuve de l’amour

La légende du roi Arthur Pour ses nobles seigneurs dont chacun s'estimait le meilleur et dont nul ne savait qui était le moins bon, Arthur fit faire la Table ronde sur laquelle les Bretons racontent bien des récits. Les seigneurs y prenaient place, tous chevaliers, tous égaux. Wace, Le Roman de Brut, ca. 1155 La légende du roi Arthur et de ses chevaliers s'est constituée et développée durant des siècles. L'aventure est l'élément essentiel de ce grand mythe qui traverse le Moyen Âge : les chevaliers partent prouver leur courage, et surtout, avec la Quête du Graal, éprouvent leur foi et leur vertu… Les exploits du roi Arthur, de Merlin, de Lancelot ou de Perceval continuent, par-delà les siècles, à fasciner notre imaginaire, et les chevaliers de la Table ronde nous apparaissent aujourd'hui comme des chercheurs de Connaissance, lancés dans une quête initiatique. Mais d'où viennent ces chevaliers mythiques ? Le symbole de l’idéal chevaleresque La Quête du Saint-Graal, vers 1220-1230

Roman de chevalerie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Romance. Un roman de chevalerie est une œuvre romanesque, le plus souvent en prose, inspirée ou adaptée des romans courtois et des chansons de geste en vers des XIe et XIIIe siècles. Les premiers romans de chevalerie ont été Lancelot du Lac et Yvain ou le Chevalier au lion, tous deux de Chrétien de Troyes, au XIIe siècle. Le roman de chevalerie a eu un regain de faveur au XVIIIe siècle, en particulier en France avec les adaptations du comte de Tressan, intitulées Extraits de romans de chevalerie, outre sa nouvelle traduction d'Amadis de Gaule.

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