Quand la technologie remplace la discussion… La lecture de la semaine, il s’agit d’un article de USA Today publié le 30 décembre dernier, sous la plume de Sharon Jayson. Il m’est arrivé par un auditeur de Montréal, que je remercie au passage. Et il s’intitule : “2010, l’année où la technologie a remplacé la discussion”. L’article commence par constater que les Américains sont connectés à un niveau sans précédent. 93 % d’entre eux utilisent des téléphones portables ou des outils de connexion sans fil… Les avantages sont évidents : on peut rester en contact avec ses amis et sa famille, et utiliser à bon escient les moments d’attente, par exemple, pour discuter avec eux. Des textos échangés pendant un dîner au post écrit sur Facebook pendant les heures de travail, en passant par les mails qu’on lit pendant un rendez-vous, la révolution de la connectivité distrait notre attention, en plus de créer une forme d’angoisse sociale. Je trouve assez intéressant l’écart entre le titre et ce que raconte le papier. Xavier de la Porte
Utilisation d'Internet et relations sociales 1Comme le point de départ de cette recherche est la polarisation des discours sur l'Internet, nous avons d'abord essayé de dégager, des multiples opinions émises, de quelques résultats d'enquêtes les principaux enjeux de l'effet du réseau des réseaux sur le social. Le discours pessimiste 2Le discours pessimiste insiste sur le fait que les technologies de la communication sont à la source d'une idéologie centrale qui conduit à la désinformation des citoyens et qui est, de surcroît, « probablement devenue la grande superstition de notre temps » (Ramonet, 1997 : 7). Ce discours parle aussi d'un antihumanisme de la révolution technologique : on s'interroge sur l'avenir de la vie humaine dans un environnement où le progrès technologique tend vers le développement des machines « intelligentes » (Breton, 2000 ; Joy, 2000 ; Jonas, 1990). 3Les auteurs critiques dénoncent vigoureusement les effets négatifs des technologies de l'information et de la communication (TIC) sur le lien social.
InternetActu | InternetActu.net sur LeMonde.fr Les réseaux sociaux : nos amis ou nos ennemis? - PédagoTIC Les réseaux sociaux tels Twitter, Facebook ou encore MySpace prennent de plus en plus d'importance dans nos vies. Bien sûr, il y a des points positifs et négatifs à leur utilisation. En ce qui concerne les points positifs, on peut se tenir au courant de ce qui se passe dans la vie des gens que l'on fréquente, partager notre vécu avec nos amis, retrouver des amis d’enfance avec qui nous avions perdu contact pour une raison ou pour une autre. Les réseaux sociaux font partie de notre vie de tous les jours. Nous écrivons tout sur Facebook; nos humeurs, nos fiertés ou encore nos goûts pour tout. Le partage des informations sur les réseaux sociaux et les conséquences qui peuvent en découler Les écrits De nos jours, il est tellement simple et automatique de partager nos pensées tout comme notre vécu sur les réseaux sociaux. Les preuves numériques Les photos personnelles prises dans un cadre non officiel peuvent souvent être compromettantes, si elles sont sorties de leur contexte d'origine.
Réseaux sociaux : de nouveaux dangers pour nos enfants ? Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Olivier Dumons L'intégralité du débat avec Jacques Henno, auteur du livre Les 90 Questions que tous les parents se posent. Ganon : Pourquoi considérez-vous que ces réseaux puissent être un danger ? Bonjour. lebaro : Pourriez-vous lister les dangers que représentent les réseaux sociaux pour les enfants ? Premier danger : être victime d'un prédateur sexuel.Deuxième danger : le harcèlement de la part d'autres enfants. Le premier danger est réel, mais ne doit pas être exagéré. Le harcèlement : les réseaux sociaux permettent d'échanger des messages. Le vol d'identité : ce phénomène comporte plusieurs degrés. Y passer trop de temps : comme tout outil interactif (le surf, les jeux vidéo...), les réseaux sociaux sont extrêmement chronophages. Comment se protéger ? La pédophilie : les réseaux sociaux du type Facebook permettent de préciser les règles de confidentialité de son profil. Oui, pourquoi pas ? Oui, mais on ne sait pas dans quelle proportion.
Les effets néfastes des réseaux sociaux sur les enfants et les jeunes adultes | Google+ Le Dr. Larry D. Rosen, professeur de psychologie à l’Université de Californie a présenté à la 119ème convention annuelle de « l’American Psychological Association » la semaine dernière, une étude appelée : « Poke moi ou comment les réseaux sociaux peuvent à la fois aider et blesser les enfants ». Il y étudie les effets de la technologie sur les gens et notamment les enfants depuis plus de 25 ans et les résultats sont étonnants. La communauté scientifique ne fait que commencer à analyser les effets à court terme et à long terme des nouvelles technologies et notamment des réseaux sociaux sur le comportement humain de l’enfance à l’age adulte. Les adolescents et les jeunes adultes qui sont connectés en permanence sur les réseaux sociaux sont plus nombreux en proportion à présenter des désordres psychologiques comme la paranoia, les tendances agressives et les comportements anti-sociaux. Néanmoins, toutes les conclusions n’ont pas été négatives. Le Dr. [sources : Science Daily, LA Times]
Internet nous rend-il seul ? Non ! « Nous vivons dans un isolement qui aurait été inimaginable pour nos ancêtres, et pourtant nous n’avons jamais été plus accessibles » via les technologies de la communication et les médias sociaux, estime l’écrivain Stephen Marche pour The Atlantic. La montée de la solitude ? Selon lui, nos médias sociaux interfèrent avec nos amitiés réelles. Image : Rittenhouse Square (Philadelphie), photographié par Oren Livio pour La vie sociale d’un espace urbain connecté (.pdf). 25 % des gens observés avec leurs machines dans le parc ne l’avaient jamais visité avant que l’internet n’y soit disponible. Mais si nous sommes seuls, c’est aussi parce que nous voulons être seuls. Facebook nous isole-t-il ? Reste à savoir si l’internet rend les gens solitaires ou si les gens solitaires sont attirés par l’internet… Moira Burke (@grammarnerd) de l’Institut d’interaction Homme-Machine de l’université Carnegie Mellon est en train de réaliser une étude longitudinale sur 1200 utilisateurs de Facebook.
Critiques de Facebook Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le réseau social Facebook a essuyé un bon nombre de critiques et controverses incluant la vie privée, la sécurité infantile et l'incapacité de supprimer un compte sans préalablement en supprimer le contenu manuellement. En 2008, plusieurs compagnies ont retiré leurs publicités du site car elles étaient dangereusement exposées à plusieurs groupes ou individus[réf. nécessaire]. Les pages d'utilisateurs, groupes et forums ont été critiqués à cause de sujets parfois hautement sensibles. Plusieurs censures ont été imposées dans et en dehors du site[réf. souhaitée]. Doutes[modifier | modifier le code] Liberté d'expression (vis-à-vis de l'employeur d'un utilisateur)[modifier | modifier le code] Concurrence malhonnête[modifier | modifier le code] Le 12 mai 2011, le journal The Daily Beast a révélé un accord visant à discréditer Google. Respect des conditions d'utilisation[modifier | modifier le code] Vie privée[modifier | modifier le code]
L'humain augmenté est-il un être diminué ? (Bienvenue dans le monde des rats) Les inventions modernes sont toujours étonnantes : des chercheurs français viennent de mettre au point un dispositif appelé « Flyviz » qui permet un élargissement du champ de vision à 360 ° grâce à un casque supportant une caméra dirigée vers un miroir hémisphérique. Cette vision panoramique qui permet de voir simultanément devant et derrière comme les mouches aura sûrement des applications pour les militaires ou la vidéo surveillance, même si l’on se surprend à penser que cela évoluera peut-être un jour vers une machine à explorer le temps qui permettrait d’embrasser d’un simple regard le passé comme le futur. D’autres inventions permettent déjà aux aveugles de voir, aux sourds d’entendre, et aux handicapés de marcher ce qui est quasiment la réalisation concrète d’une prophétie biblique (Ésaïe : chapitre 29, verset 18). Télé, bagnole et autres prothèses du sujet moderne D’ailleurs chacun peut à présent constater que ces « automates intelligents » (?) 2 Jean-J.
InterNations: le réseau social des expatriés Les réseaux sociaux on en voit de partout : pour ceux qui voyagent, pour les gamers, pour les familles et voilà maintenant pour les expatriés. Le concept dans le fond est très intéressant. Comment connecter des gens qui sont hors de leurs frontières et qui ont des intérêts et des problématiques bien communes. Les points forts : L[On peut indiquer clairement le lieu où l’on se trouve et le pays de rattachement que l’on souhaite.]l L[Le focus est mis sur l’expatriation.]l L[Le people search se fait en fonction des pays.]l Les points négatifs : L[L’aspect expatriation n’est pas assez mis en valeur.
Quand la technologie devient l’architecte de notre intimité « Combien de fois par jour vérifiez-vous votre e-mail ? Dès votre réveil ? Avant de vous coucher ? On ne présente plus l’ethnographe et psychologue Sherry Turkle directrice du département sur la technologie et l’autonomie du MIT et auteur de nombreux livres dont La vie à l’écran sur l’identité à l’heure de l’internet (1995), ou La simulation et son malaise (2009). Image : Sherry Turkle photographiée par Jean-Baptiste Labrune en mars 2009. Notre attention et nos sentiments entrent en conflit avec les machines Turkle y parle de ces élèves du secondaire qui craignent d’avoir à passer un coup de fil à quelqu’un, de ces enfants des écoles élémentaires désemparés quand leurs robots jouets de compagnie en viennent à mourir. Certes, la technologie, malgré ses défauts, rend la vie plus facile. Les sentiments que les machines nous font ressentir ne sont pas les mêmes que ceux que nous ressentons en temps réel, dans l’intimité du face à face. « Mais pouvons-nous vraiment changer nos habitudes ?
Les points négatifs des réseaux sociaux by Aya Boutajrit on Prezi Facebook est de nous faire seul? - Stephen Marche Yvette Vickers, a former Playboy playmate and B-movie star, best known for her role in Attack of the 50 Foot Woman, would have been 83 last August, but nobody knows exactly how old she was when she died. According to the Los Angeles coroner’s report, she lay dead for the better part of a year before a neighbor and fellow actress, a woman named Susan Savage, noticed cobwebs and yellowing letters in her mailbox, reached through a broken window to unlock the door, and pushed her way through the piles of junk mail and mounds of clothing that barricaded the house. Upstairs, she found Vickers’s body, mummified, near a heater that was still running. Her computer was on too, its glow permeating the empty space. The Los Angeles Times posted a story headlined “Mummified Body of Former Playboy Playmate Yvette Vickers Found in Her Benedict Canyon Home,” which quickly went viral. Also see: Live Chat With Stephen Marche The author will be online at 3 p.m.
Quand l'e-commerce investit les réseaux sociaux À l’origine, les réseaux sociaux numériques étaient des plateformes permettant aux individus de prendre la parole, discuter, partager des informations et des idées. Devant le succès de Facebook et consorts, les marques ont petit à petit investit ces réseaux pour se rapprocher des individus. L’occasion pour beaucoup d’entreprises de se faire connaître, améliorer leur image de marque ou obtenir un feedback des consommateurs. Les réseaux sociaux ont très vite accompagné les marques, en déclinant des solutions publicitaires bon marché et de plus en plus abouties. Mais une nouvelle étape est en train d’être franchie : l’intégration du e-commerce au sein même des réseaux sociaux. Pinterest : les épingles e-commerce débarquent sur iOS Le 2 juin, Pinterest annonçait l’arrivée prochaine des « buyable pins » (épingles e-commerce, qui donnent la possibilité aux utilisateurs d’acheter facilement un produit repéré sur Pinterest).