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L'obsolescence programmée, bientôt interdite ?

L'obsolescence programmée, bientôt interdite ?
Le groupe écologiste du Sénat a déposé, le 18 mars, une proposition de loi pour lutter contre l'obsolescence programmée et faciliter la réparabilité des produits. Elle pourrait être intégrée à la loi de consommation, prévue avant l'été. Alors que les associations de défense de l'environnement et des consommateurs dénoncent l'obsolescence programmée depuis des années, une proposition de loi, déposée le 18 mars par le groupe écologiste du Sénat, vise à lutter contre ce phénomène et à organiser une économie de la réparation. Le texte vise d'abord à donner une définition à l'obsolescence programmée, la plus large possible pour englober les différents types d'obsolescence (matérielle, logicielle…) des produits. Durées légales de garantie et de conformité Explications de Jean-Vincent Placé, auteur de la proposition de loiMarie Jo Sader Le texte propose d'étendre la durée légale de conformité à trois ans en 2014, quatre ans en 2015 et cinq ans en 2016, contre deux actuellement. Related:  Contre l'obsolescence programmée : recyclage & récupération

Comment lutter contre l’obsolescence programmée ? Rafaele Rivais a relayé sur son blog SOS Conso, samedi 20 avril, un article largement repris et débattu au sujet de l’obsolescence programmée, notion selon laquelle la durée de vie des produits serait volontairement programmée pour être écourtée. Mais alors que le sujet est de nouveau au cœur de l’actualité, quels sont les outils à disposition des institutions publiques et des citoyens pour ne pas subir l’obsolescence des produits ? Les différents types d’obsolescence Il est courant de différencier plusieurs types de « désuétude planifiée ». D’après un rapport d’information déposé par la mission d’information sur la gestion durable des matières premières minérales au nom de la Commission du développement durable et de l’aménagement du territoire et présenté par les députés M. Christophe Bouillon et M. L’Ademe résume ces différents aspects en deux catégories d’obsolescence : Au niveau institutionnel Au niveau de la société civile

Constat d'échec de la réforme scolaire | Daphnée Dion-Viens Au début 2012, les chercheurs Jean-François Cardin et Érick Falardeau ont interrogé 427 enseignants du primaire et du secondaire pour savoir ce qu'ils pensaient de la réforme, rebaptisée «renouveau pédagogique» en cours de route. Signe qu'il s'agit toujours d'un «sujet sensible» dans les corridors des écoles, plusieurs commissions scolaires ont refusé que leurs enseignants participent à cette enquête, ce qui n'a toutefois pas empêché les chercheurs d'en arriver à des données «valables sur le plan méthodologique», affirment-ils. Résultat : les profs interrogés dressent un portrait sombre de la réforme, qui n'a pas permis aux élèves de mieux réussir alors qu'il s'agissait pourtant de l'un des objectifs centraux de ce vaste chambardement pédagogique. «On pense que ces résultats sont très représentatifs du portrait global. Élèves en difficulté Les enseignants ne croient pas non plus que l'intégration des élèves en difficulté dans les classes régulières a été un succès.

Qu’est ce que la performance de l’entreprise ? La performance de l’entreprise est fondée sur le couple valeur-coût. Les deux termes sont indissociables car il ne s’agit, ni de minimiser les coûts, ni de maximiser la valeur produite (réponse aux besoins d’un client ou d’un groupe social), mais d’optimiser le rapport entre les deux. On peut définir la performance dans l’entreprise comme étant tout ce qui, et seulement ce qui, contribue à améliorer le couple valeur-coût, c'est-à-dire à améliorer la création nette de valeur. Par contre, l’action qui contribue à diminuer le coût ou à augmenter la valeur, isolement, n’est pas forcement une performance sauf si cela améliore le ratio valeur/coût ou le solde valeur -coût. Cependant, le couple valeur-coût n’apparaît que lorsque des produits et des services sont mis en vente. Il apparaît donc trop tard pour aider à piloter les activités de l’entreprise. Il faut donc traduire le couple valeur-coût en objectif stratégiques plus concrets et d’en concevoir les évolutions futures.

Prêt à jeter Mardi 24 janvier 2012 à 20h35 Un produit usé = un produit vendu ! Dans les années 1920, des industriels américains ont trouvé la formule magique pour soutenir la consommation : l’obsolescence programmée. Fini les bas en nylon qui résistent à tout et les ampoules qui durent cent ans, un bon produit est un produit jetable. Tourné aux quatre coins du monde, Prêt à Jeter est une enquête sur les bases de notre économie moderne - consommation, gaspillage et pollution. © Article Z Insolite :Prêt à jeter raconte également l’histoire de la Centennial Light. Dans une société où la croissance est tirée par la consommation, les produits durables sont une catastrophe ! Pour rentabiliser les machines et soutenir la consommation, on a contraint les ingénieurs à réduire la durée de vie des produits. "À l'époque, le développement durable n'était pas au centre des préoccupations", rappelle Warner Philips, arrière-petit-fils des fondateurs de la marque du même nom.

Marcel Gauchet : "Une pédagogie vraiment éclairée est à inventer" Directeur d'études à l'Ecole des hautes études en sciences sociales (EHESS), rédacteur en chef de la revue Le Débat, Marcel Gauchet est un des meilleurs analystes de la société française. En tant qu'historien et observateur, il s'intéresse à la transmission, et analyse la réforme de l'école lancée par Vincent Peillon. La loi d'orientation et de programmation sur l'école a été adoptée, mardi 19 mars, à l'Assemblée nationale. Votre regard ? Marcel Gauchet Les priorités retenues me semblent les bonnes : l'école primaire, le temps scolaire, la formation des enseignants. Pour la même raison, la réforme des rythmes scolaires me paraît essentielle. Dans le même style, on peut au...

Comment évaluer les risques de l'entreprise ? - gestion administrative financiere A peine la moitié des entreprises françaises évaluent l'ensemble de leurs risques tous les ans. Or les experts sont formels : seule une stratégie globale des risques, bien maîtrisée et régulièrement actualisée, permet de gérer le développement de l'entreprise et d'assurer sa pérennité. Administrateur NetPME , mise à jour le A peine la moitié des entreprises françaises évaluent l'ensemble de leurs risques tous les ans. Le monde change. Mais au fait, qu'est ce qu'un risque ? Les grandes familles de risques Les risques stratégiques : Ils sont liés au déploiement d'une mauvaise stratégie, à l'absence de veille concurrentielle. Les risques opérationnels : Ils touchent au modèle économique de l'entreprise, à son fonctionnement, à sa chaîne de valeur (la production, les ventes, les achats, etc.). Les risques humains : Le capital humain est une des composantes du patrimoine de l'entreprise. Les risques financiers : Les plus dangereux sont souvent les plus méconnus.

Comment protéger les consommateurs de l’obsolescence programmée La nouvelle loi sur la consommation s’applique aux achats réalisés depuis le 13 juin. Elle vise notamment à freiner « l’obsolescence programmé », la durée de vie de plus en plus courte des biens d’équipement électroniques et électroménagers. Les consommateurs bénéficieront d’une garantie prolongée sur leurs achats et d’une meilleure information sur les possibilités, ou non, de réparer une défaillance. Des avancées qui demeurent cependant bien timides au vu de l’ambition initiale de la loi. Et si la « class action », l’action collective de consommateurs contre un fabricant, devient légale, elle ne pourra pas concerner la protection de l’environnement ni de la santé. Le lobbying industriel est passé par là. Benoît Hamon a laissé une loi derrière lui avant son transfert du ministère de la Consommation à celui de l’Éducation. L’obsolescence programmée, fantasme ou réalité ? Nous changeons de smartphone en moyenne tous les 18 mois. Pratique commerciale trompeuse Rachel Knaebel

Annick Delhaye: L'éducation à l'environnement et au développement durable: nouveau gadget ou priorité pour tout le gouvernement? Annick Delhaye, Vice-présidente du Conseil Régional de Provence-Alpes-Côte d'Azur, déléguée au développement soutenable, à l'environnement, à l'énergie et au climat Alain Chabrolle, Vice-président du Conseil Régional de Rhône-Alpes, délégué à la santé et à l'environnement Philippe Meirieu, professeur à l'université LUMIERE-Lyon 2, Vice-président délégué à la formation tout au long de la vie de la Région Rhône-Alpes, président du Conseil fédéral d'EELV Plus de mille acteurs de la société civile, du monde associatif, avec les partenaires sociaux, les collectivités territoriales, le secteur privé et l'État, ont participé, à Lyon1, aux troisièmes Assises nationales de l'Éducation à l'Environnement et au Développement Durable (EEDD). Ce succès témoigne de l'importance qu'a pris l'EEDD, laquelle n'est nullement un nouvel appendice ajouté, ces dernières années, aux "savoirs sérieux" enseignés dans les établissements scolaires.

Fiche notion Les Français sont-ils sortis de l'hyperconsommation ? Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Audrey Garric Les Français sont-ils prêts pour l'économie circulaire ? C'est la question à laquelle a tenté de répondre l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Ademe), dans une étude commandée au Centre de recherche pour l'étude et l'observation des conditions de vie (Crédoc) et publiée mardi 17 juin à l'occasion du lancement des premières assises de l'économie circulaire à Paris. Ce rapport, qui compile et analyse une cinquantaine d'enquêtes menées auprès de la population au cours des vingt-cinq dernières années, montre une prise de conscience écologique des consommateurs et une évolution de leur comportement. Cette évolution est particulièrement visible dans le domaine de déchets, dont la quantité est en baisse depuis le début des années 2000. Au-delà du tri, les Français limitent également la quantité d'emballages en amont. Allonger la durée de vie des produits est une autre illustration de l'économie circulaire.

La vision de l’éducation de l’UNESCO pour l’après-2015 | Education Il s’est exprimé lors de la Consultation mondiale sur l’éducation dans l’agenda du développement post-2015 qui s’est ouverte le 18 mars 2013, à Dakar, au Sénégal. Le premier principe est que le droit à une éducation de qualité est un droit humain fondamental consacré par les cadres normatifs et intégré dans la législation de la plupart des pays. Le second principe est que l’éducation est un bien public. L’État doit être le gardien des principes de l’éducation en tant que bien public, et accorder une attention particulière à la promotion de l’égalité. M. Les leçons à tirer Le Sous-Directeur général a également souligné qu’il est nécessaire d’examiner ce que les dernières décennies nous ont enseigné et de nous appuyer sur ces enseignements avant d’aller de l’avant. Quatre approches de base L’UNESCO envisage quatre approches de l’agenda post-2015 : La contribution de l’UNESCO L’UNESCO contribue à la préparation de l’agenda de l’éducation post-2015 de multiples façons.

Améliorer les performances de votre entreprise Le pilotage de la performance selon SAS consiste pour une entreprise à tirer profit de ses ressources (humaines, financières et technologiques) pour atteindre ses objectifs stratégiques à court, moyen et long termes. Il requiert une approche destinée à optimiser la création de valeur au sein de l'entreprise, notamment : Une maîtrise des coûts qui ne soit pas effectuée au détriment de la croissance. Du fait de la nature des objectifs que se donnent les entreprises (à échéances annuelles voire trimestrielles), le défi consiste à parvenir aux résultats escomptés à court terme dans le respect des initiatives de croissance stratégiques de l'entreprise.Une analyse des sources de dépenses et de bénéfices (ou de valeur). Sans cette connaissance, les responsables ne sont pas en mesure d'allouer les ressources nécessaires ni d'identifier les points à améliorer. Le savoir-faire SAS à votre service Produits associés Les particularités de SAS Le pilotage de la performance peut revêtir plusieurs formes.

Partout dans le monde, des dizaines de milliers de voitures non vendues sont abandonnées comme de vulgaires tas d'ordures. C'est vraiment honteux ! Alors que nombreuses sont les personnes qui ne parviennent pas à s'offrir de voiture, des milliers de véhicules sont carrément jetées à la poubelle par les constructeurs auto, résultat d'une production excessive. En procédant ainsi, les entreprises peuvent continuer de faire tourner leurs usines à plein régime, sans être obligées de les fermer. D'un autre côté, limiter le nombre de voitures sur le marché (en se débarrassant de l'excès de production ) leur permet de conserver des tarifs élevés. Et le pire, c'est que ces quelques photographies ne représentent qu'une infime fraction des nombreuses structures similaires qui existent à travers le monde. Toutes ces voitures ne seront probablement jamais utilisées et pourriront sur place... Ci dessous, un circuit d'essai de Nissan. Petit à petit, des terrains sont rachetés au fur et à mesure que les vehicules s'accumulent et que les parkings se remplissent... Aujourd'hui, il y a plus de voitures dans le monde... que d'êtres humains !!!

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