bmdesignerweb : @ngev @yannick_petit à un...
Nicolas Sarkozy veut « une réforme avant la fin de l'année »
Après la visite d’une PME locale – et au passage une leçon de pédagogie à ses ouvriers sur la nécessité d’une réforme des retraites –, le président de la République avait rendez-vous avec les élus des environs. Différents thèmes touchant la ruralité (mot d’ordre de ce déplacement) ont été abordés, parfois de manière lapidaire, comme le très haut débit et les campements illégaux notamment. Cofinancements : et le tourisme ?Actualité oblige, Nicolas Sarkozy a évoqué la réforme territoriale, vantant d’abord les atouts du futur conseiller territorial : « C’est la même personne qui porte la politique départementale et la politique régionale. » Il n’est pas revenu sur le principe de la réforme des cofinancements, continuant à citer comme exemple d’exceptions le sport et la culture… mais omettant (intentionnellement ?) Services publics : raisonner au niveau départemental« Il faut faire de meilleurs services publics mais avec des moyens qui ne sont pas inextinguibles.
Open data : le chemin vers une vraie démocratie citoyenne
Dominique Cardon est sociologue au Laboratoire des usages d’Orange Labs et chercheur associé au Centre d’études des mouvements sociaux (CEMS/EHESS). Ses travaux portent sur les relations entre les usages des nouvelles technologies et les pratiques culturelles et médiatiques. Il est notamment l’auteur de La démocratie Internet : promesses et limites (Le Seuil, 2010) et de Médiactivistes avec Fabien Granjon (Presses de Sciences Po, 2010) Vidéo réalisée par David Bornstein. Montage : David Bornstein & Pauline Peretz. Si la vidéo ne s’affiche pas ci-dessus, vous pouvez essayer de la voir sur Dailymotion. Pour citer cet article : Ivan Jablonka & Pauline Peretz, « Open data : le chemin vers une vraie démocratie citoyenne. Nota bene : Si vous souhaitez critiquer ou développer cet article, vous êtes invité à proposer un texte au comité de rédaction.
TICMooc : un cours sur l’intégration des outils numériques en enseignement
TICMooc est un mooc (cours en ligne gratuit et ouvert à tous) sur l’intégration des outils numériques en enseignement au service des apprentissages des élèves qui se prépare pour l’automne prochain. Il est dès maintenant possible de s’y inscrire. L’acronyme « Mooc » vient de Massive Open Online Course. Un cours en ligne ouvert. En bref, c’est un cours qu’on peut suivre à distance (qui qu’on soit, d’où qu’on soit) et il est totalement gratuit. Tel qu’indiqué sur le site, « TICMooc est une initiative d’enseignants pour des enseignants qui souhaitent intégrer les outils numériques à leur enseignement au service des apprentissages des élèves. » D’ailleurs, les responsables se disent des « artisans » du Mooc et tentent une première édition. Parmi les tuteurs, on compte des gens de la France et du Québec.
MOOC et méta-MOOC sont sur le réseau… | Cinémadoc
En ce moment, les cours en ligne ouverts à tous (MOOC) ont la cote et provoquent par-là même des éloges disproportionnés (enfin le savoir est mis à disposition de tous!) et des critiques plus ou moins argumentées (par exemple ou encore et pour une veille active). Les principales critiques portent à la fois sur le fait que ces cours reproduisent en ligne la domination des grandes universités anglophones et sur le fait qu’ils perpétuent le principe d’une transmission unidirectionnelle du professeur-expert (les « têtes parlantes ») vers des étudiants-ignorants. Malgré leur succès (lié dans cette perspective à leur gratuité, à la convergence des médias numériques et à un effet de mode), les MOOC constitueraient en quelque sorte une régression par rapport aux tentatives précédentes de cours en ligne. Il manquerait à ces projets une réflexion sur ce que signifie enseigner en ligne à une cohorte composée de plusieurs milliers d’étudiants. Cette note constitue aussi un retour sur expérience.
bmdesignerweb : @R_Bachelet @jpberthet Oui...
Les limites du non-remplacement d’un fonctionnaire sur deux pointées dans un rapport parlementaire
Les chiffres sont connus : les dépenses de personnel de l’Etat représentent pas moins de 118 milliards d’euros annuels (pensions comprises), soit 40 % du budget général de l’Etat, et la règle du non-remplacement d’un fonctionnaire sur deux depuis le début de la législature n’a permis que de contenir la progression moyenne à 1 % par an. Pourquoi ? « L’application mécanique de la règle se traduit différemment d’un ministère à l’autre. On est aussi allés au-delà des 50 % d’économies réalisées revenant au personnel sous forme de retours catégoriels », constate Charles de la Verpillière (UMP, Ain), l’un des trois auteurs du rapport de la Mission d’évaluation et de contrôle (MEC) sur la soutenabilité de l’évolution de la masse salariale de la fonction publique. Des données obsolètes - Face à ce constat, la mission avance « des propositions techniques, de bonne gestion, car le cadre politique est fixé jusqu’en 2012 », juge Charles de la Verpillière. Quelle stratégie pour l’après-2012 ?
Open Data (1/4) : Où en est-on
Claire Gallon de LiberTIC, l’association nantaise de promotion de l’ouverture des données publiques (@LiberTIC), et Charles Nepote du programme Réutilisation des données publiques de la Fondation internet nouvelle génération (Fing) (@CharlesNepote, @la_fing), principaux coorganisateurs de la Semaine européenne de l’Open Data qui avait lieu à Nantes du 21 au 26 mai 2012, ont commencé par poser un état des lieux assez complet du mouvement de réutilisation des données publiques. Ce que l’Open Data a réalisé Le mouvement pour la réutilisation des données publiques est un mouvement mondial né début 2009 et qui a connu une forte accélération en 2010-2011, estime Charles Nepote. Image : la carte de France de l’Open Data maintenue par LiberTIC, version 4, mise à jour janvier 2012. Pourtant “si le mouvement commence à se structurer, force est de reconnaître que nous en sommes encore au temps des pionniers”, souligne Charles Nepote. Les défis à venir de l’Open Data En effet. Hubert Guillaud
Khan Academy en Français | Cours de Maths Gratuits !
Le futur de l’enseignement supérieur est dans la formation de communautés d’apprentissage en réseau
Beaucoup de mouvement sur la planète MOOC dans les derniers jours. D’abord, on apprend par l’entremise du Figaro étudiant que la prestigieuse École Polytechnique en France offrira trois cours en français sur Coursera dès la rentrée d’automne 2013. Un peu plus tôt en février, le blogue de Coursera avait publié un billet dans lequel on annonçait que la plateforme aux trois millions d’utilisateurs mettait le cap sur la francophonie. Le Wall Street Journal annonçait quant à lui au début février que Coursera avait ajouté 29 institutions participant à son offre de cours et EdX (700 000 utilisateurs), six institutions dont l’Université McGill, première au Québec si je ne m’abuse, à tenter l’aventure des dispositifs commerciaux leaders de « l’industrie des MOOCs ». « La téléprésence n’est pas plus la présence incarnée nécessaire à l’expertise que la syntaxe d’un ordinateur n’est du sens. Le nouveau modèle d’affaire des universités est là. C’est ce que je ne nous souhaite pour bientôt. N.B.
bmdesignerweb : @ActionsFLE ça ne passe pas...