Divertissement sous la Rome Antique Divertissements dans la Rome Antique Les jeux publics ou "ludi" Les ludi est le terme employé pour désigner les jeux publics à Rome: spectacles théâtraux, épreuves sportives et concours. Ces jeux se déroulaient lors des fêtes en l'honneur des dieux; ils furent institués pour gagner leur bienveillance ou pour détourner leur colère. Ce sont les magistrats (préteurs ou édiles) qui étaient chargés de leur organisation. Sous la République Les ludi les plus anciens sont les courses de chars (ludi circenses) célébrant Mars ou Consus, sous le contrôle des magistrats. Les ludi Apollinares, en l'honneur d'Apollon, furent instaurés lors de la seconde guerre punique (212 av. Sous la République également, la chasse au gros gibier fit son apparition dès 186 av. Sous l'Empire Les jeux mentionnés ci-dessus continuèrent sous l'Empire et furent enrichis par les jeux suivants: La célébration de tels spectacles entraîna la construction de nombreux édifices dans toutes les villes de l'Empire. Les jeux privés
Ancient Roman Sport Stars: Chariot Racers Posted on 28. Jan, 2014 by Brittany Britanniae in Latin Language, Roman culture Good Day Readers! So, let’s talk about some sports since the Olympics and the Super Bowl are just around the corner. While the Olympic Games were “the” competition of Ancient Greece; the chariot races were the oldest and most popular spectacle of Ancient Rome. An Average Race Model of Rome in the 4th century AD, by Paul Bigot. They normally began with a pompa (procession) which started atop the Capitoline Hill and went through the Forum and Sacred Way and back towards Form Boarium, The carceres (starting gates) of the Circus Maximus (which could hold 250,000 people) abutted the Forum Boarium. Ground plan of the Circus Maximus, according to Samuel Ball Platner, 1911. Once the pompa was finished. Technique Roman drivers steered their chariots using their body weight. Racers or Charioteers Mosaic from Lyon illustrating a chariot race with the four factions: Blue, Green, Red and White. Winners & Famous Charioteers
The Olympic Games in Ancient Rome With the close of the modern Olympic Games in Sochi, let us take a look at their beginnings. The Olympic Games began in Ancient Greece in honor to the supreme god Zeus. The game was one of four PanHellenic festivals held in Greece. The three other games which were the Nemean (like the lion), Isthmian, and Pythic Games; each having their own special crown of leaves for their victors. They are discussed here. However, the Olympic Games were the most famous: The sanctuary’s legend is in the picture link. The Olympic Games, originally created to honor Zeus, was the most important national festival of the ancient Greeks, and a focus of political rivalries between the nation-states. Ruins of the Temple of Hera at Olympia. For the Ancient Romans, the Olympic Games were part of the grandeur of Ancient Greece and their Golden Age. The statue known as the Augustus of Prima Porta, 1st century. Bust of Nero at the Musei Capitolini, Rome. About the Author:Brittany Britanniae
The Who, What, When, Where and Why of the Ludi Plebeii Posted on 13. Nov, 2013 by Brittany Britanniae in Latin Language, Roman culture In understanding the culture and lifestyles of the ancient Romans, we should look to their holidays to both their gods, monuments, and national victories. An amazing list of Roman festivals can be found here. Drawing of the fragmentary Fasti Antiates Maiores (ca. 60 BC), a Roman calendar from before the Julian reform, with the seventh and eighth months still named Quintilis (“QVI”) and Sextilis (“SEX”), and the intercalary month (“INTER”) in the far righthand column (see enlarged) The Ludi Plebeii comes from the two words ludi (meaning play, games, etc.) and plebeii (meaning a “pleb” or plebian: a commoner person as in comparison ta member of the royal or upper class). The ludi or game factor of the festival was because this celebration had both theatrical performances( such as comedy, satire, tragedy plays) and athletic competitions (running, chariot racing,etc) Circus Flaminius Share this Post! Hello There!
La gladiature (MEMO) La désacralisation des ''munera'' Le recrutement L’''auctoratus'' Les chevaliers Les ''ludi'' Les gladiateurs nomades Surnom et armaturæ L'organisation Types Cursus et combinaison de combat Chasseurs Héros de l'arène Vie et mort Repères historiques Vocabulaire relatif à la gladiature Idées reçues Gladiateurs célèbres Dans l'art Les gladiateurs (du latin: gladiatores signifiant «combattant à l'épée», ou «épéiste») étaient des combattants professionnels, esclaves ou non (esclaves affranchis pour leurs exploits ou engagés volontaires, en quête d'une vie meilleure grâce à des victoires bien rémunérées) qui se battaient entre eux ou contre des fauves, à l'origine pour honorer la mémoire d'un mort, puis de plus en plus pour le divertissement du public. A Rome, le plus ancien combat de gladiateurs mentionné dans les textes se déroule en 264 av. Pollice verso ou Bas Les Pouces de Jean-Léon Gérôme, 1872. D'origine étrusque, les combats de gladiateurs avaient chez eux une signification religieuse. L’auctoratus
Noctes Gallicanae - Munera gladiatoria Noctes Gallicanae décembre 2013 Organisation des spectacles Les gladiateurs Une journée à l’amphithéâtre Le public Jugements et opinions sur les combats de gladiateurs « Achille célébra par des concours les funérailles de Patrocle ; les peintures des tombes étrusques représentent des jeux funèbres. « Alors le peuple devient le véritable destinataire de ces spectacles, plus que la mémoire du défunt : « donner des gladiateurs » devient le meilleur moyen de se rendre populaire ; de « jeux funèbres », les gladiateurs deviennent ainsi un « cadeau » que l'on fait au peuple, un munus : voilà comment ce mot a pris le sens de « spectacle de gladiateurs ». Les combats de gladiateurs sont-ils, à l’origine, une forme de sacrifice humain ? Pour les Romains, la réponse ne fait aucun doute. Le grammairien Servius, né vers 370, nous a laissé un précieux commentaire des vers 62 à 68 du chant III l’Énéide : Ergo instauramus Polydoro funus, et ingens aggeritur tumulo tellus; stant Manibus arae Servius écrit : 264.
LES JEUX À ROME - LES COMBATS DE GLADIATEURS Il serait trompeur de réduire les combats de gladiateurs dans la Rome antique à de simples épreuves sportives, indépendamment de leur aspect sanguinaire indiscutable. Car quand les dignitaires romains offrent au peuple les spectacles de l'arène, ils font étalage de leur puissance et de leur richesse. Ils s'assurent aussi une certaine paix sociale, en maintenant la plèbe hors du jeu politique. Les combats de gladiateurs (gladius, en latin, signifie « glaive ») venus d'Étrurie (l'Étrurie était le territoire des Étrusques, il correspond en gros à l'actuelle Toscane) nous plongent dans un contexte de foule bruyante, massée sur les gradins où la passion s'empare du public. Tout comme aujourd'hui, il y avait les stars, les entraîneurs, les produits dérivés... et tout comme aujourd'hui, le peuple, tenu à l'écart des débats publics, contemplait déjà, dans ces jeux de la mort, toute la puissance de l'Empire... A - Les jeux, instrument politique B - Les jeux, véritable passion pour le peuple 27.
Le cimetière des gladiateurs (Ephèse) La face cachée des gladiateurs - Vu 459 fois. Pendant très longtemps, l'univers des gladiateurs est demeuré mystérieux pour le commun des mortels. En définitif, nous ne connaissions d'eux que la face la plus célèbre : celle de combats sanglants dans les arènes romaines qui sont passés à la postérité. Depuis quelques années, nous pouvons en savoir beaucoup plus sur leurs us et coutumes grâces surtout au travail acharné de quelques chercheurs qui ont consacré cinq années de leurs vies respectives à cette tâche immense. Pour ce faire, ils se sont d'abord penchés d'un peu plus près les os de gladiateurs. C'est à Ephèse (Turquie), que débute ces investigations, dans une arène qui pouvait contenir jusqu'à vingt cinq mille personnes. La médecine légale fera le reste. Avant toute chose, il fallait s'assurer qu'il s'agissait bien d'un cimetière de gladiateurs. La face cachée des gladiateurs a été vue 459 fois. Complément : gladiateur 0 commentaire(s)
Histoire du cirque 4/4 La place du cirque dans l'Antiquité romaine Pour terminer cette semaine consacrée au cirque, nous nous intéressons à la Rome antique, là où le terme de cirque ne recouvrait pas la même réalité que dans l'Europe des XIX e et XX eme. Tout d'abord, nous expliquons pourquoi le cirque n'est pas le lieu des supplices de chértiens ni des combats de gladiateurs. Le programme du spectacle, au Circus Maximus de Rome par exemple, en est bien connu : après la pompa, défilé d'introduction au spectacle , celui-ci continue par des courses de quadrige, puis par des spectacles de voltige équestre avant les exercices du corps ( course, boxe, lutte). A Rome , le cirque peut contenir 150.000 spectateurs qui supportent une des quatre factions ( bleue, verte, blanche, rouge) représentées sur la piste. Mais qu'en est-il ailleurs qu'à Rome ? La semaine historique d'Emmanuel Laurentin retrouver ici
Le régime secret des gladiateurs de la Rome antique <div class="notice" id="noscript"><div class="error">Pour regarder cette vidéo, vous devez activer JavaScript.</div><a href=" target="_blank">Comment activer JavaScript</a><img height="100%" src=" width="100%"></div> Partagez cette vidéo ! Code d'export responsive Code d'export fixe Si comme leurs contemporains, les gladiateurs ne mangeaient presque pas de viande, ils utilisaient un breuvage spécial pour réparer et renforcer leurs os. La plupart des sportifs ont leur petite idée de ce qui constitue le petit déjeuner des champions, mais qu’en était-il de ceux dont les épreuves impliquaient une part de combat à mort ? Au menu de l’orge, presque pas de viande et… un revigorant à base de cendres, d'après des travaux publiés le 15 octobre dans la revue en ligne PLoS ONE. Sur les 53 squelettes retrouvés, 22 appartenaient à des gladiateurs.
Vidéo: le quartier des gladiateurs de Carnuntum comme si vous y étiez - Science & Vie Les géoradars ont fait sortir de terre l'antique capitale de la Pannonie (aujourd'hui en Autriche). Ecole des gladiateurs, amphithéâtre, boutiques de souvenirs, tavernes, boulangeries... Une formidable reconstitution en 3D fait revivre le quartier des gladiateurs de Carnuntum. Voir à travers les murs! 100 % des plans de la ville antique révélés au lieu de 1,5% L'extrême précision des instruments spécialement conçus pour ces "a permis de révéler 100 % des plans de la ville antique, alors qu'avec les techniques traditionnelles on n'en connaissait que 1,5 % ", s'enthousiasme le directeur des recherches Wolfgang Neubauer. Du pain et des jeux! Un peu comme dans un péplum, ce petit film donne à voir ce à quoi pouvaient ressembler les activités de ce quartier et retrace le parcours que les spectateurs empruntaient pour se rendre aux jeux: "La voie reliant la ville à l'amphithéâtre était jalonnée de boutiques de souvenirs, de tavernes et de boulangeries.
2000 ans de fake-news : idées reçues et préjugés sur la gladiature – Actualités des études anciennes En répondant à l’invitation du Carnet de recherche de la Revue des Études Anciennes, Brice Lopez est intervenu le Mercredi 24 Octobre 2018 à propos des idées reçues et des préjugés sur la gladiature. De la série Spartacus : Blood and Sand à Tertulien, les fantasmes les plus fous n’ont cessé d’alimenter l’imaginaire collectif sur les combats de gladiateurs. Il est essentiel de remonter le fil de l’histoire pour comprendre pourquoi et comment nos contemporains peuvent avoir une image aussi déplorable des ces affrontements, qui ont connu un immense succès dans l’Antiquité. Cette vision de la gladiature peut aujourd’hui être mise en miroir avec des milliers de documents archéologiques qui sont autant de témoignages édifiants, non seulement sur la notoriété des gladiateurs mais aussi sur l’importance économique du phénomène dans tous les secteurs marchands de l’Antiquité. Ces documents sont la représentation de la « mondialisation » des combats de gladiateurs sous le Haut-Empire romain.