Faster, Please: Breaking Down Barriers to the Internet of Things | Innovation Insights The Internet fridge is here today ;-). What’s taking everything else so long? Image: anthonyjhicks/Flickr Like something out of a sci-fi movie, the Internet of Things promises to transform our daily lives. If buzz alone could manifest the Internet of Things, it would already be a done deal. Technology, it turns out, isn’t one of them. Instead, the biggest barriers to the Internet of Things are the closed systems that dominate today’s technology landscape. For these companies, and many others like them, staking out your ground and competing for customers drives innovation, but it also walls in users. This doesn’t mean users should be forced to leave their cherished iPhones or beloved Droids—or whatever their devices, software, and services of choice may be—on the recycling heap. Beyond APIs, an industry push for open standards would also make sharing data far easier and more frictionless. All signs point to a bright future for the Internet of Things, but skepticism remains.
Pourquoi l'internet nous aspire irrésistiblement dans un trou noir Temps de lecture: 2 min «Regarder ma page Facebook ne prend qu'une minute». Qui n'a pas entendu prononcer ses mots chaque jour par des dizaines de personnes et ne les a pas prononcé soi même… pour au final passer des heures à regarder des vidéos de chats, à commenter la qualité d'un déjeuner, à chercher sur Google le dernier gossip et à lire sur Slate un article… intéréssant. Scientific American explique qu'il n'y a aucune raison de se sentir coupable et que cela nous arrive à tous parce que cela tient à la nature de l'internet et à la façon dont il est structuré et au comportement de notre cerveau. C'est pour cela notamment que les humains développent des addictions, notre cerveau est conçu pour rechercher des opportunités et des expériences inattendues. «L'internet n'est pas addictif de la même façon qu'une substance pharmacologique» explique Tom Stafford, un spécialiste des sciences cognitives de l'Université de Sheffield au Royaume-Uni.
Internet des objets: la start-up française MyFOX lève 3,2 millions d'euros MyFOX, start-up française spécialisée dans l’internet des objets, vient de boucler un tour de table de 3,2M € auprès d’un pool d’investisseurs comprenant COGEPA, Orkos Capital, Jaïna Capital et ses propres fondateurs. MyFOX s’est notamment spécialisée dans les solutions de sécurité en lançant en 2009 un système d’alarme et vidéosurveillance accessible directement sur smartphone. La start-up s’est aussi diversifiée dans la domotique au travers de solutions de contrôle du foyer à distance (volets, chauffage, lumières…) depuis un smartphone, un ordinateur ou une simple télécommande. Cette levée devrait permettre à MyFOX d’enrichir son offre en renforçant ses investissements en R&D et de soutenir son développement international indique Jean-Marc Prunet, son président.
Internet et Google vont-ils finir par nous abrutir ? Voici la traduction d’un article assez passionnant qui a connu un bel impact dans la sphère anglophone au moment de sa mise en ligne cet été. Son titre choc Is Google Making Us Stupid ? est un peu trompeur car il s’agit bien moins de charger l’emblématique Google que de s’interroger sur les transformations profondes induites par internet et les nouvelles technologies, transformations qui peuvent aller jusqu’à modifier nos perceptions, nos modes de pensée, voire même notre cerveau. Prenons le Framablog par exemple. Il possède, merci pour lui, d’assez bonnes statistiques d’audience globales, mais lorsque l’on se penche sur la moyenne du temps passé par page, c’est la grosse déprime car cela ne dépasse que trop rarement les deux minutes, intervalle qui ne vous permet généralement pas d’y parcourir les articles du début à la fin. En décidant d’en achever la lecture bien avant la conclusion, peut-on affirmer que plus de la moitié des visiteurs ne les trouvent pas intéressants ?
Li-Fi, la technologie alternative au Wi-Fi ? Transmettre sans fil du contenu multimédia par la lumière ? Le Li-Fi, vous connaissez ? C’est en regardant un reportage télé que je suis tombé par hasard sur cette technologie de communication sans fil encore méconnue du grand public… Cette techno prometteuse pourrait se présenter dans le futur comme une véritable alternative au bon vieux Wi-Fi qui a envahi nos maisons, nos lieux publics et qui nous fait passer un tas d’ondes électromagnétiques à travers la tête… Le Li-Fi, acronyme de « Light Fidelity », est donc une technologie de communication à distance sans fil basé sur la lumière LED visible. Cette innovation repose sur la transmission de données numériques à distance par modulation de la lumière à une fréquence tellement élevée qu’elle n’est pas perceptible par l’œil humain. Ces modulations sont tout simplement interprétée comme du langage binaire composé de 0 et de 1. Coté sécurité de l’information, c’est assez simple… Il n’y a pas de mot de passe. Image à la une : Ubimind.net
«La connexion permanente? Nous adorons cela!» Le Nouvel Observateur Pour Jean-François Fogel et vous, nous vivons le temps de la connexion permanente, et la condition humaine s'en trouve changée. Bruno Patino On commence à mesurer ce qu'entraîne le fait de vivre connecté en permanence à un réseau. Je dis on commence, car internet vient juste de changer. On voit aujourd'hui que le média a connu une mutation: internet est devenu un espace social. Dire que le trafic croît sur internet est fondé, mais c'est ignorer l'essentiel: internet a changé. Qu'est-ce qui a provoqué la mutation d'internet? Tout s'est amorcé en une vingtaine de mois, entre 2005 et 2007, quand émergent YouTube, Facebook, Twitter et les applications des smartphones. En l'occurrence, un ensemble d'usages apparaissent en même temps et créent un espace social. "No more words", série du photographe Alessandro Rampazzo (Sipa) La vie sociale n'a pas attendu le numérique pour exister. Oui, mais elle n'a jamais vécu à ce rythme et dans une telle ampleur. Et la contrepartie ?
Sortir de la tyrannie du présent La quantité massive de données dont nous disposons sur tous les sujets, des sciences sociales aux systèmes environnementaux, nous laisse espérer la possibilité de mieux comprendre le monde dans lequel nous vivons. Mais les arbres ne cachent-ils pas la forêt ? Le mathématicien Samuel Arbesman (@arbesman) affirme dans Wired qu'il nous faut désormais compléter ces big data par les "long data" : des informations sur les phénomènes lents, se développant sur le très long terme. Pour cela, nous devons collecter et surtout interpréter des données s'étendant sur plusieurs siècles, voire des millénaires. Un exemple de ce genre de travail, cité par Arbesman, est l'oeuvre Jared Diamond, auteur de Guns, Germs and Steel (traduit en français sous le titre De l’inégalité parmi les sociétés - Wikipédia). Si ces "long data" peuvent présenter un grand intérêt pour les historiens, sont-elles vraiment importantes pour qui cherche à envisager le futur ? Vers la psychohistoire - et au-delà ! Rémi Sussan
Internet ne nous séduit pas seulement par ses contenus, mais par sa structure La lecture de la semaine nous provient de The Atlantic, sous la plume de Megan Garber (@megangarber) et s’intitule « comme vous n’avez pas de lion à fuir, vous avez cliqué sur ce lien ». « Vous voici à nouveau sur internet, commence Megan Garber. Vous voilà à nouveau en train de traîner dans le World Wide Web. Mais pourquoi êtes-vous ici ? Je veux dire, est-ce que vous savez vraiment pourquoi vous êtes ici ? Il est facile d’attribuer le magnétisme continu exercé par le web à la combinaison entre la puissance de la « relation humaine » et des « vidéos de chats ». Image : Screen Blast par Ayton Gray. C’est l’hypothèse de Tom Stafford, un chercheur en sciences cognitives de l’université de Sheffield, en Grande-Bretagne. Donc oui, la prochaine fois que vous vous demanderez si vous passez trop de temps sur Facebook ou autre, rappelez-vous cela : vous perdez votre temps parce que votre cerveau le veut. Xavier de la Porte
DBpedia Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. DBpedia est un projet universitaire et communautaire d'exploration et extraction automatiques de données dérivées de Wikipédia. Son principe est de proposer une version structurée et sous forme de données normalisées au format du web sémantique des contenus encyclopédiques de chaque fiche encyclopédique. DBpedia vise aussi à relier à Wikipédia (et inversement) des ensembles d'autres données ouvertes provenant du Web des données : DBpedia a été conçu par ses auteurs comme l'un des « noyaux du Web émergent de l'Open data »[2] (connu également sous le nom de Web des données) et l'un de ses possibles points d'entrée. Historique[modifier | modifier le code] Le projet a été lancé par l'université libre de Berlin et l'université de Leipzig, en collaboration avec OpenLink Software. Structure du dépôt de données[modifier | modifier le code] Représentation en carte heuristique des relations entre DBpedia et divers autres projets du Web.
Twitter : le nouveau régime attentionnel du web La lecture de la semaine est un éditorial paru dans le numéro de printemps de l’excellente revue américain N+1. Il est intitulé « Please RT », soit, en néo-français « retweeter s’il vous plaît ». « Il est possible d’avoir un avis clair sur Twitter quand on n’y est pas. L’usager de Twitter, lui, aura des sentiments plus mêlés. Image : Le Twitter Stream Graph autour de l’usage du mot clef #gym dans Twitter montre les mots clefs relatif dans le temps dans le flux des 1000 derniers tweets publiés sur Twitter. En revanche, consultez votre fil Twitter au mauvais moment, ou envoyez un tweet débile et c’est un gouffre infini de narcissisme qui s’ouvre alors. La croissance de Tweeter s’inscrit dans le cadre d’une réduction générale de la langue, induite par Internet, pour le meilleur et pour le pire. Entrons maintenant dans Twitter. Cela signifie que Twitter, officiellement plate-forme de micro-blogging – fonctionne en pratique, le plus souvent, à l’inverse du blog. Xavier de la Porte
[LeWeb'12] SigFox, le « Google » des objets connectés de demain ? Il disent ne pas avoir de concurrent. Ni en France, ni dans le monde. SigFox, une société 100% française fondée en 2010 par Christophe Fourtet, se positionne comme « le premier opérateur cellulaire bas débit dédié au « machine to machine » et à l’internet des objets. SigFox revendique 2M d’euros de CA, ses clients sont des grands comptes (Suez, Assurances MMA, EDF etc…). Le PDG de Sigfox, Ludovic Le Moan, est l’ex-fondateur de Goojet, un site de widgets orientés news sur mobile.