background preloader

Emploi : Réseaux sociaux : les entreprises s'y mettent aussi

Emploi : Réseaux sociaux : les entreprises s'y mettent aussi
Danone, LVMH, BNP Paribas, Orange ou Alcatel se sont lancés. Mais en général ces plates-formes restent encore avant tout des outils de recrutement. La question n'est plus pourquoi, mais comment? Comment faire pour installer un réseau social d'entreprise, cet annuaire interne enrichi qui permet aux salariés de créer leur communauté et d'échanger savoirs et savoir-faire? Les sociétés ont longtemps hésité. «Elles se demandent maintenant comment procéder?» Le top départ date de 2008 et le véritable tournant de fin 2010. Pour autant l'évolution se fait lentement. Si les directions ne le font pas, les collaborateurs passent à l'acte. Nicolas Rolland, directeur de la prospective sociale du groupe Danone, n'est pas convaincu. Présent dans plus de 90 pays, Danone avait un besoin professionnel de développer les relations entre collaborateurs. Sur les 40 000 personnes connectées, 30 000 ont enrichi leur profil et 10 000 l'utilisent régulièrement. Deux enjeux majeurs

http://www.lefigaro.fr/emploi/2013/03/25/09005-20130325ARTFIG00397-reseaux-sociaux-les-entreprises-s-y-mettent-aussi.php

5 mythes sur les réseaux sociaux d'entreprise « Zyncro Blog France: le blog de l'Entreprise 2.0 Zyncro Blog France Temps de lecture estimé : 5 minutes À combien d’entre vous est-il arrivé de présenter à la direction un projet de réseau social d’entreprise, et se lancer dans une lutte sans fin pour la convaincre ? Et bien aujourd’hui, nous vous apportons quelques arguments de réponses qui vous serviront lorsqu’on vous dira « ce projet n’a aucun avenir » ou « Laissez-nous, les réseaux sociaux, c’est une perte de temps ».

Compte-rendu de la matinée "Réseau social d'entreprise" de l'ADBS Alain Garnier, CEO de Jamespot et auteur de l’ouvrage « Le réseau social d’entreprise« , a démarré la matinée en présentant les scénarios d’usage et les spécificités de cet outil. Il a tout d’abord donné quelques chiffres sur le retour sur investissement d’un RSE, tirés d’une étude menée par Jive en 2011. L’étude indique notamment que les réseaux sociaux d’entreprise permettent une amélioration de 37% de la productivité, grâce à une réduction du temps de recherche d’information de 32%, à une diminution de 27% des mails et de 26% des réunions. Les RSE améliorent d’autre part la communication client avec en particulier une croissance de la confiance client et l’amélioration de l’image de marque (+31%), une augmentation des feedbacks et des idées clients (+34%), une réduction des appels de support (-27%), une augmentation du trafic sur les sites de l’entreprise (+34%), etc.

Les Réseaux sociaux d’entreprise, outils collaboratifs pour plus d’intelligence collective RSE, pour recréer le lien dans l’entreprise En l’espace de quatre ans, les réseaux sociaux sont devenus des supports naturels de partage de l’information. Il était normal que les outils de la sphère personnelle s’invitent dans la sphère professionnelle. Facebook, Twitter, Tumblr, Pinterest et bien d’autres font aujourd’hui partie de notre quotidien, que ce soit à la maison comme au travail. Le RSE est un Facebook interne dont l’accès est contrôlé. Il implique des règles et une charte éditoriale à respecter.

Réseau Social d’Entreprise / Facebook : points communs et différences par @edouaud #e20 01net. le 12/09/12 à 09h20 Il est très facile de critiquer Facebook en mettant en avant son inutilité plutôt que la valeur que ce réseau crée pour désormais presque un milliard de personnes à travers le monde. Quelqu'un n’utilisant pas (ou peu) Facebook en a l’image que décrivent si bien certains humoristes. Le sketch de Jérôme Commandeur, qui a déjà quatre ans, reste d’actualité. Plus récemment, une excellente fausse pub pour l’iPhone 5 pourrait tout aussi bien s’appliquer à Facebook.

Le réseau social d'entreprise en 2014 : des mirages à la réalité #RSE Les promoteurs des réseaux sociaux d’entreprise font souvent dans l’incantatoire. « Essayer un RSE, c’est l’adopter ! » Ben non. J’ai assisté le 20 mars dernier à une table ronde L’intranet 2.0 : l’état de l’art 2014 lors du Salon Solutions Intranet et Collaboratif, qui m’a inspiré quelques réflexions. Attention, ce qui suit n’est pas le reflet des discours plutôt mesurés et souvent intéressants que j’ai pu entendre à cette occasion. Mais le décalage entre les discours ou supports marketing et la réalité du terrain n’en finit pas de se creuser. La vie rêvée des RSE

La vraie nature des réseaux sociaux d'entreprise Certains auteurs académiques ainsi que de nombreux praticiens, entretiennent une certaine confusion entre les termes de « réseaux sociaux » et de « communautés de pratiques », en particulier au sein des grandes entreprises, à l'intérieur desquelles ils se déploient. En réalité ces deux termes qui peuvent souvent se combiner bénéfiquement, ne se recouvrent pas totalement. De manière à éclairer cette distinction, convoquer le sociologue américain Mark Granovetter, qui distinguera dans une contribution fondatrice en 1973, dans l'American Journal of Sociology, la nature et les caractéristiques des liens forts et des faibles. La force des liens faibles Il y écrit notamment que la force d'un lien apparaît comme la résultante d'une « combinaison de la quantité de temps, de l'intensité de l'émotion, l'intimité et les services réciproques qui caractérisent un lien ».

Le changement, ça prend du temps Démoralisante l'adoption des réseaux sociaux d'entreprise ? Tout dépend comment les chiffres sont interprétés. La dernière étude de Jane McConnell, Digital Workplace in the Connected Organization, montre que parmi les entreprises les plus avancées, 21% indiquent que la moitié de leurs collaborateurs se servent des réseaux sociaux internes chaque semaine et 24% chaque mois. Si on prend en compte l'ensemble des 314 organisations européennes, nord-américaines et asiatiques interrogées dans le cadre de l'étude, les pourcentages chutent.

"Une communauté sur Lady Gaga est légitime dans certains réseaux sociaux d’entreprises", selon Denis Monneuse L’Usine Nouvelle - Y’a-t-il un modèle idéal pour déployer un réseau social d’entreprise (RSE), une manière de faire qui réussirait à tous les coups ? Denis Monneuse - Dans ma note pour l’Institut de l’Entreprise, je distingue deux stratégies "extrêmes". D’un côté ce que j’ai appelé l’open bar, qui consiste à tout faire pour que le maximum de personnes s’inscrivent en même temps sur le réseau social. L’écueil de cette stratégie c’est qu’effectivement on observe un engouement immédiat, mais ensuite le taux d’utilisation baisse, les communautés qui se sont créées ne sont pas très actives. Pour éviter cela, d’autres promeuvent une stratégie virale, dans laquelle on cherche à identifier des leaders dans l’entreprise qui vont d’abord utiliser l’outil. Ils en deviennent en quelque sorte le porte-drapeau.

Le réseau social d'entreprise comme outil collaboratif, Michael Page Selon le Journal du Net, 75% des groupes du CAC 40 disposent d’un Réseau Social d’Entreprise (RSE), une plateforme d’entreprise à mi-chemin entre un Intranet et un réseau social classique. Un Réseau Social d’Entreprise se veut participatif et collaboratif. S’il se dit social, il se distingue néanmoins des réseaux sociaux plus traditionnels tels que Facebook ou Twitter, dans la mesure où l’accès à la plateforme est limité aux salariés de l’entreprise et les thématiques abordées sur le réseau à usage strictement professionnel. Contrairement à l’Intranet où la communication se fait de manière verticale (un groupe de salariés comme les RH ou la communication interne diffuse des informations à l’ensemble du personnel), le RSE a pour objectif d’intégrer chacun des collaborateurs dans le processus de partage de l’information et d’en faire un potentiel contributeur.

Related: