Un nouveau procédé de lissage révolutionne l'impression 3D Austin Wilson et Neil Underwood de Caroline du Nord ont inventé un nouveau procédé permettant de totalement lisser les impressions en 3D en utilisant de l'acétone. Ce processus, en plus de l’obtention d’une finition d’excellente facture, permet également de contourner tout un tas de complexes brevets propres au polissage. La technique reste perfectible et demande encore quelques modifications mineures. Comment fonctionne-t-il ? Depuis leur premier succès, le duo a fait des expériences en contrôlant les plages de température et les durées d’exposition, mais il subsiste encore quelques réglages.
L'impression en 3D bientôt dans votre salon Le procédé devrait rapidement se démocratiser avec l'arrivée sur le marché d'imprimantes 3D très performantes à moins de 2000 dollars (1600 euros environ) d'ici à 2016, selon le cabinet Gartner. L'impression 3D a le vent en poupe. Elle est même présentée par certains comme la prochaine révolution industrielle. Grâce à cette technologie, il est possible de réaliser des objets en très petite série, voire à l'unité. Le principe de l'impression 3D peut être comparé à celui de l'impression jet d'encre. L'impression 3D «va permettre de relocaliser» «L'impression 3D va rapidement être disponible dans des kiosques ou des boutiques, créant de nouvelles opportunités pour les détaillants et d'autres business», prédit Pete Basiliere, analyste chez Gartner. Un des vecteurs de développement de l'impression en 3D passe par la baisse des prix des imprimantes 3D. » Une arme à feu faite maison avec une imprimante 3D » Des oreilles artificielles obtenues grâce à la 3D
Gigabot : la plus grande imprimante 3D destinée aux particuliers Coïncidence ou véritable désir de faire connaître à tous cette nouvelle technologie, vous aurez pu constater qu’il ne se passe pas un jour sans que l’industrie annonce de nouvelles avancées en matière d’impression 3D. Aujourd’hui, un projet Kickstarter est à la recherche de fond pour proposer au grand public une imprimante 3D grand format baptisée Gigabot. Conçut par Re:3D et capable de concevoir des objets d’un volume maximal de 216000 cm³ (soit des objets de 600x600x600 mm maximum) posé sur un plateau d’un peu moins de 60 cm de large, l’imprimante 3D Gigabot devrait permettre la réalisation de pièces de grande taille sans pour autant manquer de précision. Ceci grâce à la technologie FFF (Fused Filament Fabrication) permettant d’utiliser des fils de PLA ou d’ABS dans des diamètres allant de 1,75 à 3 mm d’épaisseur. Enfin, pour voir la bête en action, glisser simplement dans la suite.
L’imprimante 3D, ce gadget qui change le monde Imprimante 3D de la marque Makerbot Le salon des techniques de l'information et de la communication (Cebit) se déroule cette semaine à Hanovre en mettant à l'honneur l'économie du partage. On entend beaucoup parler de l'émergence de cette économie, mais ce partage croissant de connaissances, de ressources, de contacts, d'échanges ou d'emprunt d'objets peut-il changer le monde ? Quels sont les nouveaux espaces d'innovation ? Sont-ils portés par l'ambition de bâtir un monde plus viable ? Bienvenue dans l'industrie du bricolage Dans Makers, la nouvelle révolution industrielle, l'américain Chris Anderson estime que l'impression 3D et la multiplication des possibilités données à chacun de bidouiller par lui-même et en réseau, de manière libre et ouverte, dessinent les contours d'un nouveau modèle économique de fabrication. Oui mais voilà : quand on y regarde de plus près, il est important de distinguer les vecteurs de cette révolution annoncée. Une impression pas nette En plastique...
Déjà des imprimantes 3D personnelles à moins de 800 euros Ce nouvel objet va-t-il envahir nos bureaux beaucoup plus vite qu'on ne l'aurait pensé ? Lorsque nous avions parlé des imprimantes 3D en 2008, pour évoquer une révolution communiste en marche, nous avions fait ce parallèle avec l'évolution du prix des imprimantes papier pour montrer que le coût actuellement inabordable de l'impression d'objets pourrait rapidement baisser : Le prix d'une imprimante personnelle est passé d'environ 1000 euros en 1982 à 300 euros en 1997... et seulement 20 euros aujourd'hui pour les moins chères. C'est-à-dire que le prix de l'imprimante personnelle a été divisé par 50 en une seule génération (et ceci sans même tenir compte de l'inflation). Aujourd'hui, Desktop Factory propose déjà des imprimantes 3D personnelles à moins de 5000 dollars. Nous sommes aujourd'hui 9 ans avant cette dernière date de prédiction, et déjà les imprimantes 3D personnelles tombent sous la barre des 1000 euros.
L’impression 3D est-elle le moteur de la fabrication de demain ? - Blogs InternetActu.net markerbot-278x300 “Il y a une sorte de pensée magique chez les geeks aujourd’hui autour de l’impression 3D”, s’énerve Christopher Mims pour la Technology Review. Alors que les imprimantes 3D deviennent accessibles aux amateurs – la Thing-o-Matic de MarkerBot ne coûte que 1 100 dollars – et que Pirate Bay estime que les “physibles” – les plans d’objets qu’on peut réaliser via des machines 3D et qui s’échangent dès à présent sur The Pirate Bay – sont la nouvelle frontière du piratage, des penseurs comme Tim Maly pensent que nous approchons de la fin de “l’expédition”. C’est-à-dire qu’il sera bientôt plus coûteux d’expédier une pièce depuis la Chine ou de n’importe quel endroit où elle est fabriquée, que de la fabriquer soi-même. Les promesses de l’impression 3D “Ce n’est pas seulement prématuré, c’est absurde”, rétorque Christopher Mims. Pourtant, Christopher Mems ne porte pas un regard hautain sur l’impression 3D. Et Christopher Mims de détailler les progrès qu’il y a encore à accomplir.
Impression 3D et société: applications et prospectives On a vu précédemment comment l’impression 3D, qui à l’origine servait une application industrielle, avait su se faire une place de choix dans l’art et du design. Dans quelles autres domaines la sculpture numérique est-elle déjà employée? Qu’en est-t-il pour ce qui concerne la vie quotidienne (oui oui nous ne vivons pas uniquement dans un monde fait d’œuvres d’art et de mobilier hors de prix!) La reproduction : sculpture numérique, patrimoine culturel et recherche La sculpture numérique est particulièrement utilisée dans le cadre de la reprographie de sculpture ou encore d’ornements décoratifs. Stéréolithographie de la structure interne de l’oreille d’un babouin fossilisé de 2,8 millions d’années En paléontologie, la stéréolithographie associée avec la tomodensitométrie (navré…encore un terme barbare), a ouvert de nouveaux champs de recherche. En médecine, les méthodes de « prototypage rapide » sont utilisés pour créer des prothèses sur mesure. Articles similaires:
Article de télérama sur l’impression 3d Voici l’article de Télérama sur l’impression 3d en général et Impression-3d.com en particulier: Frédéric Stucin pour Télérama En 1964, Arthur C. Clarke, l’auteur de 2001 : l’Odyssée de l’espace, prédisait qu’un jour, grâce à une machine qu’il appelait The Replicator, « les objets [seraient] aussi faciles à fabriquer qu’aujourd’hui les livres à imprimer ». Une machine à dupliquer à l’infini… Quel lecteur de Philip K. En fait, le principe ne relève plus de la science-fiction depuis un moment. A Paris, dans le 18e arrondissement, Guy de Saint Just, gérant de la société Impression-3d.com, s’est lancé il y a quelques mois dans l’impression 3D. Mais au-delà de ce marché de l’impression à la demande, encore à développer, la vraie révolution est encore à venir.
L’impression 3D, futur outil de marketing alternatif ? Je m’interrogeais il y a quelques jours sur ce que pourrait être la future marotte des marques en quête de nouveauté pour leurs opérations de marketing alternatif... Après la réalité augmentée, les flashmobs, les lipdubs, les projections 3D… et si elles commençaient bientôt à utiliser l’impression 3D (dont la définition wikepedia est disponible ci-dessous) ? Impression 3D : L’impression 3D, ou stéréolithographie, est une technique de production industrielle développée pour le prototypage rapide en plastique, cire ou métal1. Le procédé est étonnant, il implique de repartir avec un objet de la marque unique et 100% personnalisé (et créatif), et permettra j’en suis sûr de faire de jolies images, comme le montrent les vidéos ci-dessous… Exemple en Janvier 2011 où l’on propose aux touristes de Barcelone de devenir « leur propre souvenir » Autre exemple avec Fabricate Yourself Article inspiré par ce post d’Adverblog.