Sur le téléphone, la santé s'annonce comme un important facteur de revenus La demande d'applications santé augmente avec la promesse d'un meilleur suivi et d'une diminution des erreurs. Autant d'opportunités financières pour les différents acteurs. Les pouvoirs publics, les opérateurs de téléphonie mobile et le secteur médical ont tout à gagner à parier sur la "mSanté", c'est-à-dire à généraliser les applications via le mobile et les tablettes. C’est le constat d’une étude menée par Arthur D. A la fois dans les pays développés … Dans les pays développés, c’est l’explosion de la vente de smartphones et de tablettes qui pousse à la fois les opérateurs, l’Etat et les services de santé à se tourner vers des solutions de santé mobile. …Mais également dans les pays émergents Passer par le mobile pour former ou soigner est également l’une des solutions à laquelle les pays émergents pourraient avoir recours.
Centres de santé : un public défavorisé à l’état de santé dégradé Les chercheurs se sont appuyés sur un échantillon de 21 centres de santé (CDS), essentiellement municipaux, implantés dans 11 communes et, plus particulièrement en région parisienne, où ils sont issus d’une histoire remontant au lendemain de la seconde guerre mondiale. Avec pour caractéristique commune d’être situés dans des territoires considérés comme défavorisés. Public plus précaire – Plus de 10 000 patients de plus de 18 ans, volontaires, ont participé à l’enquête de l’Irdes. Le constat n’étonnera personne : les personnes qui frappent à la porte d’un CDS sont plus pauvres et plus malades que la moyenne… Les chiffres détaillés le confirment.
Comment la Finlande peut améliorer notre santé Jenni Viitanen, chercheure à l'Institute for Public Policy Research North vient de publier une tribune dans le Guardian qui prend modèle sur la Finlande. Cet exemple sera sans aucun doute parlant pour le public français. Les inégalités de santé britannique sont les pires d'Europe. On trouve en Grande-Bretagne les inégalités géographiques dans l'espérance de vie de sa population les plus frappantes d'Europe. Face aux inégalités de santé persistantes, le gouvernement de coalition a peut-être raison de s'interroger sur l'efficacité des campagnes de santé publique. Le projet de la Carélie du Nord montre comment la géographie de l'inégalité peut être vaincue en engageant le cœur et l'esprit des populations locales. Le message-clé était autour de la question du choix de mode de vie, tels que le tabagisme ou l'exercice, un équilibre approprié entre le sel, les graisses saturées, les fruits et légumes frais. L'initiative a été accueillie par des sentiments mitigés.
Comment pensent les optimistes | Actualité | LeFigaro.fr - Santé On a longtemps cru que la capacité de voir la vie du bon côté était un talent donné au hasard. Ce n'est pas forcément vrai. Dans notre environnement morose (les Français ont récemment décroché la palme du pays le plus pessimiste, loin derrière les Irakiens ou les Nigérians), il faudrait mettre les optimistes, ces spécimens rares, sous verre. Pourtant, ceux qui diffusent enthousiasme et espoir autour d'eux sont plus souvent objets de moquerie. On relève essentiellement leur côté naïf, «à côté de la plaque» avec, en plus, une tournure d'esprit qui ne dépend pas d'eux mais semble une grâce tombée du ciel. Depuis une vingtaine d'années, la psychologie positive s'attachant à décrypter le fonctionnement des «personnalités qui réussissent», il devient possible de comprendre avec plus de précision comment pensent et vivent les adeptes du «verre à moitié plein». Pour Philippe Gabilliet, psychosociologue professeur à l'ESCP Europe et auteur d'un Éloge de l'optimisme (Éd.
Des débuts encourageants pour les contrats locaux de santé Créés par la loi HPST du 21 juillet 2009, les contrats locaux de santé (CLS) ont pour principal objectif de lutter contre les inégalités territoriales et sociales de santé en soutenant la coordination des actions engagées sur un territoire donné (quartier, ville, intercommunalité…). Signé entre l’agence régionale de santé (ARS) et les collectivités volontaires, le CLS est la déclinaison, sur le terrain, du projet régional de santé (PRS) établi par l’ARS. Outil de coordination - Il peut s’appliquer à des thématiques très variées : « Santé et habitat », « santé mentale », « accès aux soins », vieillissement »… « Il ne s’agit pas d’un dispositif supplémentaire », a insisté Valérie Jurin, présidente du réseau français des Villes-Santé (RFVS) de l’OMS, « mais bien d’un outil de coordination ». A ce jour, environ 70 CLS ont été signés, dont 80 % en Ile-de-France, le premier CLS engagé à Marseille ayant servi de laboratoire à la mise en place des suivants.
Santé au travail : "Un euro investi en prévention permet d'économiser deux euros de réparation" - Éditions Weka Weka : Nicolas Renner, à qui s’adresse le nouveau service documentaire Santé Sécurité au travail en collectivité territoriale ? Nicolas Renner : À trois publics principaux : les directeurs des ressources humaines (DRH) de collectivités territoriales, les membres de comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT) et les préventeurs. Il concerne principalement les collectivités de plus de 100 – 150 agents mais reste tout à fait pertinent pour de plus petites collectivités. Et notamment, pour les collectivités de 50 à 200 agents pour lesquelles la mise en place d’un CHSCT devient obligatoire à partir de décembre 2014. Weka : À quels besoins des collectivités répond ce nouveau service d’informations ? Weka : C’est une problématique majeure pour les collectivités territoriales ? Nicolas Renner : Oui, et elles n’en sont pas toujours conscientes. En moyenne, un accident de service coûte environ 5 000 euros, et une maladie professionnelle 23 000 euros. [*page*]
En 2050, les villes produiront leurs fruits et légumes - Info sciences - Sciences & Santé - France Info Louis van Proosdij Duport » Santé Service : quand les protocoles ignorent l’humain, ou histoire de la dégradation des soins fondamentaux Mise-à-jour du 26/06/2011 -> Santé Service : Bilan à 10 jours, et interlocuteur de qualité Écrire ces lignes m’est insupportable, tant la violence de ce que je vis depuis deux semaines m’a sérieusement ébranlé, tout ceci me replongeant dans les pires moments de ma vie, 27 ans en arrière. Mais c’est en décrivant l’épreuve, en faisant fi de ma pudeur et de ma grande discrétion que j’ai une chance d’être entendu, et éventuellement que ça serve à d’autres. (ceux qui me connaissent peuvent sauter ces paragraphes pour aller directement plus bas à l’envers du décor) Je suis entrepreneur, âgé de 43 ans, j’ai créé ma première entreprise à l’âge de 20 ans, j’ai également tenu des postes de direction entre deux aventures entrepreneuriales, et je me consacre depuis 5 ans à ma nouvelle startup. Je travaille beaucoup, souvent jusqu’à 15 ou 16 heures par jour, souvent 7 jours sur 7. Je crois être un professionnel reconnu et respecté. L’envers du décor : Aux bons soins de Santé Service : Toilette au lit :
"Les maisons de santé sont l'avenir en milieu rural", estime Xavier Bertrand S’engager à exercer dans des déserts médicaux en échange d’une allocation durant les études : en Bourgogne, région médicalement sous-dotée, treize futurs médecins ont opté pour le contrat d’engagement de service public (CESP), dispositif incitatif mis en place à la rentrée 2010. Dans cette région, le CESP est un succès puisque sur les 14 contrats qu’elle proposait, l’Agence régionale de santé (ARS) de Bourgogne en a signé 13. Sandrine, qui termine sa 6e année de médecine à Dijon, est l’une des bénéficiaires de ce contrat, accessible de la 2e à la 8e année. Titulaire d’un doctorat de biochimie, cette jeune femme de 30 ans, originaire d’Orléans, s’est réorientée vers la médecine car elle estimait le secteur de la recherche « bouché ». Sandrine a perçu 1.100 euros net par mois cette année et continuera de percevoir cette somme durant ses trois prochaines années d’internat. En contrepartie, « j’aurai donc quatre ans à faire dans une zone sous-médicalisée.
Association Sante Environnement de France - Santé et biodiversité: y a t-il un lien? La réponse de la Ligue Roc et de l'ASEF Écrit par L. Ferrer & Dr P. Halimi Créé le mardi 23 novembre 2010 09:13 En 2010, c’était l’année de la biodiversité. La biodiversité: menace ou assurance vie de l’homme? Généralement, on perçoit la «nature sauvage» comme une menace pour la santé. Pourquoi est-ce une menace ? Lien entre maladies infectieuses et animaux sauvages? On sait depuis longtemps que le contact avec des animaux sauvages ou domestiques peut être à l’origine de nombreuses maladies infectieuses : rat et peste, moustiques et fièvres, etc. - Phase sporadique : quelques cas isolés (ex : SRAS). - Phase d’anadémie : maladie non contagieuse, mais se diffuse via une source de contamination commune à l’ensemble des malades (ex: intoxication alimentaire) - Phase d’épidémie : la maladie devient contagieuse (ex: Sida) Quels sont les risques réels aujourd’hui? En Europe, les zoonoses sont rares. Que fait-on aujourd’hui pour préserver la santé humaine ? La biodiversité : atout pour la santé ? Forêts, je vous aime ! - La déforestation
Le conseil régional de Bretagne critique le projet régional de santé Le projet régional de santé (PRS) de Bretagne, véritable feuille de route de la politique de santé élaborée par l’Agence régionale de santé pour les années 2012-2016, n’a pas convaincu les conseillers régionaux. Réunie en session le 4 février à Rennes, l’assemblée à majorité de gauche a émis un avis défavorable à l’encontre de ce volumineux document de plus de 800 pages. Trois conseils généraux sur quatre (à majorité socialiste) – Ille-et-Vilaine, Côtes d’Armor et Finistère -, ont également émis un avis défavorable. Humain oublié - Le PRS, en Bretagne comme dans de nombreuses régions à majorité de gauche, fait sans doute les frais d’une lecture très politique à quelques mois d’échéances électorales majeures. Parmi les griefs les plus importants formulés par la région, celle-ci pointe la dimension technocratique du document et « des oublis de taille », comme la santé au travail, la santé scolaire, universitaire, et les schémas départementaux.
Un nouveau squelette pour remarcher - robotique, santé Marcher, c’est le rêve douloureux de toutes les personnes en chaise roulante après une atteinte à la moelle épinière. Pouvoir se lever de son lit, aller dans la cuisine, se promener dans un parc, ou aller travailler comme tout le monde apparaît pour eux comme un paradis perdu. Ekso Bionics, une entreprise californienne, prévoit de mettre sur les marchés américains et européens, dès cette année, un exosquelette capable de changer la vie de ces personnes handicapées. Issue de recherches militaires menées à l’université de Berkeley, cette start-up a mis au point un robot de seulement 20 kilos, très sophistiqué, capable de supporter le poids d’une personne et de gérer son équilibre en mouvement pendant la marche. Le robot d'Eksobionics Pour l’instant, il est prévu qu’un médecin assiste son patient en contrôlant pas à pas les mouvements. Et les ingénieurs prévoient déjà d’ici 2013 l’étape suivante, c’est-à-dire un robot capable de redonner son autonomie de marche à la personne blessée !
article intéressant. A lire ! by esmars Nov 3