Conflit Israélo Palestinien infographies Toutes ces infographies sont sur le site Visualizing Palestine, un site dédié à la création de documents graphiques pédagogiques et percutants. N’hésitez pas de consulter ce site. • Je vous fais part de ces exemples très concrets et surtout vraiment d’actualité pour vous démontrer que, à travers l’utilisation des i-Viz (infographies), la compréhension cognitive est très précise lorsque la structuration de plusieurs données vous permettent de suivre l’actualité sur des conflits, avec notamment celui du conflit Israélo-Palestinien. • A l’instar de la fameuse émission de télé, « Le dessous des cartes« , diffusé sur Arte – l’utilisation d’infographies est très importantes et appréciées pour expliquer le monde. • Aujourd’hui, les journalistes conçoit de plus en plus d’article en étant accompagné par une infographie. • La méthode de l’utilisation des infographies pour les étudiants en histoire ou en géo-politique, permet d’avoir des outils plus cognitives et percutants. 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7.
INFOGRAPHIE ANIMÉE | Tout comprendre sur Daech, l'Etat Islamique Fermer Bonjour, Dans l’optique de l’amélioration constante de ses services, France Bleu souhaite recueillir votre avis sur l’évolution du site. Cette enquête ne vous prendra que quelques minutes et nous permettra d’améliorer notre site afin de mieux répondre à vos attentes. Cela vous permettra également d’être parmi les premiers à tester les nouveautés du site, en vous inscrivant à la fin de l’enquête. L’équipe de France Bleu Souhaitez-vous participer à cette étude ? Votre adresse e-mail fera l’objet d’une collecte dans le cadre d’un traitement informatique ayant pour finalité de vous informer, de vous donner accès et de recueillir votre avis sur les évolutions du nouveau site de France Bleu en avant-première.
Comprendre le conflit israélo-palestinien : explications et chronologie Explications du conflit israélo-palestinien, et israélo-arabe, à connaitre par coeur pour le programme d'histoire pour Sciences Po : >> Situation des Pays du Moyen-Orient, faits actuels et histoire pour comprendre les guerres au Moyen-Orient Situation de la Syrie : Capitale de la Syrie : Damas Population de la Syrie : 20 millions habitants Président de la Syrie : Bachar el-Assad Résumé de l'histoire de Syrie : En 1970, coup d'état de Hafez el-Assad avec le parti Baas (à l'origine, le parti Baas voulait l'unification de tous les États arabes) En 2000, son fils Bassar el-Assad lui succède. Situation du Liban : Capitale du Liban : Beyrouth Population du Liban : 4 millions Président du Liban : Michel Sleiman Situation de Israël : Capitale d'Israël : Jérusalem (non reconnue), Tel-Aviv (reconnue) Population d'Israël : 7,5 millions Président d'Israël : Shimon Peres (né en 1923, il a donc 89 ans en 2012, et a pour premier ministre Benyamin Netanyahou) Situation de la Jordanie :
Video Crise de Suez 1956 En réplique au refus anglo-américain de s'associer à l'URSS et à la Banque Mondiale pour financer l'ambitieux projet du barrage égyptien d'Assouan, Gamal Abdel Nasser nationalise le 26 juillet 1956 la Compagnie du Canal de Suez, contrôlée par les Britanniques. Anthony Eden, premier ministre anglais annonce des représailles militaires. Israël puis Paris qui a l'espoir de couper les bases arrières égyptiennes du FLN en faisant chuter Nasser se rallient à ce principe. Après une semaine de bombardement, le 5 novembre, 60 000 hommes débarquent en Égypte. Philippe Tétart Origine, puissance, financement : les clefs pour comprendre l’Etat islamique L’organisation, qui a revendiqué les attentats du 13 novembre, est une nébuleuse dont les contours sont difficiles à cerner. Le Monde.fr | 20.11.2015 à 16h31 • Mis à jour le 20.11.2015 à 20h20 | Par Mathilde Damgé L’organisation, qui a revendiqué les attentats du 13 novembre, est une nébuleuse dont les contours sont difficiles à cerner. Voici 5 points essentiels pour l’appréhender. 1. L’Etat islamique (EI), qui a revendiqué les attentats de Paris et de Saint-Denis du 13 novembre, est né de la guerre en Irak. L’appellation « Etat islamique » n’est véritablement apparue qu’en 2014, l’organisation s’étant d’abord appelée Etat islamique en Irak (EII), puis l’Etat islamique en Irak et au Levant (EIIL). En France, où l’EI n’est pas considéré comme un Etat, on l’appelle Daech, l’acronyme en arabe de « Daoula islamiya fi Al-Iraq wal-Cham », soit « Etat islamique en Irak et au Levant ». 2. Rakka, en Syrie, est présentée par l’EI comme le poste de commandement central de l’organisation. 3. 3. 4.
Quelles frontières pour l’État d’Israël ? L’oubli des frontières Un rapport pragmatique aux frontières Solidifier les lignes d’armistice des représailles violentes et leur renvoi systématique en territoire ennemi, après tout acte de sabotage commis en Israël (en octobre 1953, le raid contre le village cisjordanien de Qibya fit plus de 60 morts civils). Enfin, Israël constitua un véritable cordon sanitaire sur les pourtours de son territoire en faisant des frontières une « zone protégée » (de 10 à 25 km de large) dans laquelle de strictes mesures de sécurité s’appliquaient à l’encontre des seuls citoyens arabes qui étaient, à l’occasion, déplacés d’autorité. D’emblée, l’État d’Israël déploya une énergie considérable pour rendre étanches ses frontières contestées et protéger ainsi son territoire national. La reconfiguration des frontières Une introuvable frontière orientale ? Références • DEBIE F. et FOUET S., La Paix en miettes. • DIECKHOFF A., Les Espaces d'Israël. • FOUCHER M., Fronts et frontières.
Moyen Orient et Conflits by Hadrien Louarn on Prezi Juin 1967, une guerre de six jours qui n’en finit pas | Aggiornamento hist-geo Un nouveau texte dans le cadre du partenariat avec Orient XXI pour le concours Capes Agreg Rédacteur : Sylvain Chapel Non seulement, de l’aveu même de ses généraux, Israël n’était pas menacé de destruction en juin 1967, mais l’état-major de l’armée avait depuis longtemps préparé son plan de conquête de la Cisjordanie, de Jérusalem, de Gaza, du Sinaï et du Golan. Photo: De g. à dr. le premier ministre Levi Eshkol, Yigal Alon et les généraux Israel Tal et Yeshayahou Gavish visitant les troupes rassemblées dans le Neguev, le 25 mai 1967. Deux jours après la fin de la guerre de juin 1967, le premier ministre israélien, le travailliste Levi Eshkol, déclarait : « L’existence d’Israël ne tenait qu’à un fil. Pourtant, cinq ans plus tard, une série de généraux israéliens allaient vigoureusement et publiquement contredire cette assertion. Certes, ces propos datent de 1972, à une époque où enivrée par sa victoire massive et fulgurante de 1967, l’armée israélienne se sent invincible. Notes
Syrie, la guerre qui change le monde : trois cartes d'une guerre mondialisée 3 cartes pour comprendre comment le conflit syrien s'est mondialisé. A l'occasion de notre journée spéciale "5 ans de guerre en Syrie : Le conflit qui a changé le monde". 1- Le jeu des alliances entre Etats Survolez chaque pays pour obtenir des précisions quant à l'engagement de chacun sur le terrain syrien. Contrairement à ce qu'ont pu avancer le Roi Abdallah II de Jordanie ou Dmitri Medvedev en parlant récemment de "troisième guerre mondiale", le conflit syrien s'apparente davantage à une guerre civile identitaire mondialisée. L’assemblage hétéroclite d'Etats qu’est la coalition, sans forces déployées au sol, ne résiste pas à la pression des intérêts individuels de chacun, focalisé sur son partenaire privilégié : gouvernement irakien pour les Etats-Unis, front Al-Nosra pour la Turquie, Kurdes, tribus sunnites... A lire aussi : "La carte des réactions internationales à l'expansion du groupe "Etat islamique"", 23 septembre 2015, mise à jour le 2 décembre 2015 A écouter, à lire aussi :
Le fameux « pacte du Quincy » – Histoire géographie MOPI Nos candidats de la zone MOPI ont eu au bac, en série ES/L, à la session 2017, le document ci-dessous. Je voudrais y revenir afin d’apporter les éclairages nécessaires pour son utilisation en classe. Le pacte du Quincy Nombreux, y compris chez des historiens, pensent que cette célèbre rencontre, en février 1945, quelques jours après la conférence de Yalta, était l’occasion pour les Américains d’asseoir leur contrôle sur les ressources du royaume et pour ce dernier d’avoir en échange la protection militaire et politique de Washington. C’est le fameux « pacte du Quincy ». En réalité, il n’en est rien selon les sources à notre disposition, en particulier celles de l’interprète américain William A. – F.D.R. – Foreign Relations of United States, 1945, VIII, p. 2-3. Dans un contexte marqué par le recul de l’influence britannique dans la région, de bénéfiques concessions profitant aux sociétés américaines avaient été signées en 1933, 1938 et 1948. D’après Vincent Capdepuy Entendons-nous bien.
Norse Attack Map Retour à la Cisjordanie, par Dominique Vidal (Le Monde diplomatique, 2009) L’offensive israélienne de l’hiver 2008 contre la bande de Gaza ressemble beaucoup à la guerre du Liban de l’été 2006, dont elle confirme les cinq leçons. La première, c’est la puissance de destruction de l’armée d’Israël : sous couvert de répondre aux tirs de Qassam, qui avaient coûté la vie à 11 Israéliens en trois ans, elle a tué plus de 1 400 Palestiniens, dont plus de deux tiers de civils, en a blessé plus de 5 000, a détruit 4 000 immeubles et en a gravement endommagé 20 000… La deuxième, c’est l’incapacité d’Israël, malgré des semaines de bombardements et le recours massif à des armes interdites, à venir à bout de guérillas munies de roquettes. Affaibli militairement, le Hamas, comme hier le Hezbollah, reconstruira son arsenal. D’autant qu’il ressort politiquement grandi de l’épreuve, auréolé par sa résistance. La troisième, c’est la dégradation sans précédent de la perception d’Israël dans l’opinion mondiale. La quatrième, c’est le tournant qu’a pris l’histoire de ce conflit.