Le blog de Daniel Gostain Comme vous le savez peut-être, depuis plus de vingt ans, je m'intéresse au personnage qu'est le clown dans son regard sur le monde, en particulier depuis quelque temps dans son regard sur l'acte d'apprendre. Jusqu'à présent, je l'ai fait dans son rapport aux savoirs à travers cette "Encyclopédie clownesque des savoirs", projet bien avancé dans son idée (et ce n'est pas fini). Les clowns se mettaient dans la peau de personnages-savoirs pour y vivre leurs émotions, leurs envies, leurs peurs, offrant ainsi un regard de proximité complice à l'enfant apprenant. Aujourd'hui, j'ai, avec mes partenaires clowns, Marie-France (alias Chabotte Tripouille) et Christophe (alias Pépito), choisi d'explorer un nouveau versant de l'apprentissage, celui de l'"empêchement à apprendre". Et si on donnait ça aux clowns ! Et si on offrait aux élèves cette sensibilité clownesque, pour leur permettre de réfléchir à ce qui fait obstacle pour apprendre, et -rêvons un peu - à ce qui pourrait faire dés-obstacle.
La neuropédagogie : la gym du cerveau pour apprendre plus facilement | euronews, science Cela ressemble à une partie de colin-maillard, mais c’est un cours de lecture. A tâtons, ces élèves de maternelle apprennent à lire avec leurs doigts. En plus de leurs oreilles et de leurs yeux, ils utilisent le toucher. Cette méthode bouscule les codes et pourtant, elle aide les enfants à mieux apprendre. Spécialiste du cerveau des tout-petits, Edouard Gentaz est convaincu que l’apprentissage de la lecture doit se faire en trois dimensions. Professeur de psychologie du développement, directeur de recherche au Laboratoire de Psychologie et Neurocognition du CNRS à Grenoble, il explique comment se fait l’apprentissage de la lecture dans le cerveau des enfants : “Le grand défi pour les enfants de grande section maternelle est de comprendre le lien entre la forme visuelle d’une lettre, qui est traitée dans les zones visuelles (du cerveau), avec les sons correspondants, qui sont traités dans les zones auditives. Et dans la tête des enfants, ça marche.
How The Memory Works In Learning How The Memory Works In Learning By Dr. Judy Willis, M.D., M.Ed. Teachers are the caretakers of the development of students’ highest brain during the years of its most extensive changes. As such, they have the privilege and opportunity to influence the quality and quantity of neuronal and connective pathways so all children leave school with their brains optimized for future success. This introduction to the basics of the neuroscience of learning includes information that should be included in all teacher education programs. Teaching Grows Brain Cells IQ is not fixed at birth and brain development and intelligence are “plastic” in that internal and environmental stimuli constantly change the structure and function of neurons and their connections. It was once believed that brain cell growth stops after age twenty. High Stress Restricts Brain Processing to the Survival State Memory is Constructed and Stored by Patterning Memory is Sustained by Use The Future References Ashby, C.
Neurosciences et apprentissages Les neurosciences constituent l'une des branches de la recherche médicale qui intéresse le plus le grand public. Nous fondons d'énormes espoirs dans la recherche sur le fonctionnement du cerveau, qui bénéficie de financements importants. Mais il n'est pas plus raisonnable de fonder l'espoir d'une société idéale ayant vaincu la maladie et, pourquoi pas, la mort, sur les neurosciences que sur les technologies numériques. Mais peut-on vivre et avancer sans cet espoir ? Sans doute pas. Il ne faudrait pourtant pas confier toute sa destinée d'apprenant et, plus largement, d'être humain, à la puissance de l'esprit. Ces caractéristiques semblent aujourd'hui pouvoir se déployer dans un espace numérique moins normé que l'espace physique, qui devient le terrain de jeu sans limites de notre esprit. Illustration : Lightspring, Shutterstock.com Exige-t-on trop des neurosciences? 5 mai 2013 Quand on fait dire n'importe quoi aux neurosciences L'appel du ventre 6 mai 2013 Mémoire, plagiat et réseaux sociaux