Guides et Stratégies d'Études; Formations Conseils utiles:Les commandes pour imprimer et l'aperçu avant impression (print and print preview) ne montre que les sujets élaboréeset non pas la navigation, les avertissements, les bandeaux publicitaires, etc. Nouvelles et évènements d'octobre:Dix thèmes ont été ajoutés aux guides;Mon profil professionnel (en anglais) viens d'être créé a wwww.josfland.com. L'année 2011: 10,4 million de visiteurs ont consultés 21,7 million de pages en 39 langues. Septembre 2012: 1,2 million de visiteurs (un augmentation de 10%) ont consultés 2,3 million de pages. Cognition, cerveau, éducation. Une sélection de contributions et d'idées entre recherche et application Sciences cognitives et éducation. Journées organisées par le Ministère de l'EducationNationale avec la Chaire de Psyshcologie Expérimentale du Collège de France La recherche accorde une place de plus en plus importante à l'appréhension des mécanismes cognitifs appliqués à l'éducation et il paraît essentiel de confronter les résultats majeurs de ces études scientifiques aux pratiques d'enseignement en classe. En effet, connaître le fonctionnement psychique et cognitif de l'élève est fondamental pour l'enseignant en ce que cela lui permet d'adapter son enseignement et de créer des conditions optimales d'apprentissage. Consulter la page dédiée au séminaire sur le site web du CRDP de Paris Sciences cognitives et éducation. Programme Présentation (Jean-Michel Blanquer) vidéo Les grands principes de l'apprentissage (Stanislas Dehaene) vidéo support Quels sont les mécanismes par lesquels l’éducation modifie le cerveau de l’enfant? Notre système cognitif se caractérise par une double contrainte.
Connecté à vie : notre cerveau, le meilleur des réseaux (2/3) - Thema - Museum Copyright CNRS Photothèque/Université de Strasbourg - GRIGIS Antoine, mise en évidence par IRM (imagerie par résonance magnétique) de faisceaux de substance blanche dans un cerveau humain. Au même titre que le cerveau embryonnaire se débarasse d'un surplus de neurones « non cablés », le cerveau sélectionne les synapses les plus actives et donc les plus indispensables à son activité. Une quantité excessive de synapses peut en effet nuire à la qualité de la transmission de l'information car celles qui ne sont pas porteuses de sens produisent un bruit de fond parasite et gaspillent de l'énergie. Les synapses inutiles, reépérables par leur faible activité, sont sélectivement éliminées de façon à permettre aux neurones d'établir de nouveaux contacts. Source : Muséum de Marseilles Elle est indispensable à l'acquisition de nouveaux apprentissages et à l'entretien de nos capacités de réflexion et d'imagination. Ccc by-nc-nd Hé'louïse.
Les quatre piliers de l’apprentissage - Stanislas Dehaene L’enfant est doté d’intuitions profondes en matière de repérage sensoriel du nombre. Avant tout apprentissage formel de la numération, il évalue et anticipe les quantités. Apprendre à compter puis à calculer équivaudrait à tout simplement tirer parti de ces circuits préexistants, et, grâce à leur plasticité, à les recycler. Le maître-mot, alors, est la plasticité cérébrale. Les circuits cérébraux : des capacités disponibles dès l’origine Les circuits cérébraux qui sous-tendent les apprentissages ne sont d’ailleurs pas si variés. L’apprentissage de la lecture active une région spécifique, mais il mobilise et active aussi d’autres zones. Différentes zones du cerveau La zone de la lecture recycle un « algorithme » préexistant, celui de la reconnaissance des visages : au scanner, on voit nettement la même zone s’activer. Mais ce recyclage n’est pas une simple réutilisation. Comment alors passe-t-on d’une lecture ânonnante à une lecture fluide ? 1. 2. 3. 4. Stanislas Dehaene 1. 2. 3. 4.
4 informations à connaître par tous sur la manière dont le cerveau apprend Connaître la manière dont le cerveau fonctionne est un gage pour des apprentissages efficaces. Je vous propose de répondre aux questions suivantes dans cet article, qui pourra aider à la fois les enseignants, les parents, les enfants et les adolescents à l’école et au moment des devoirs : 1. Comment fonctionne mon cerveau ? 2. 3. 4. Le cerveau est en charge de tout ce que nous faisons, que ces choses soient conscientes ou non (comme emprunter un chemin connu sans se perdre, cligner des yeux ou encore sourire). Nous utilisons notre cerveau à chaque fois que nous résolvons des problèmes, que nous parlons, que nous dessinons, que nous jouons ou pratiquons un sport, que nous faisons preuve d’imagination, que nous rêvons. Le cerveau est également le siège de la mémoire : la mémoire à court terme (comme le dernier repas que nous avons pris)la mémoire à long terme (comme la manière dont nous avons vécu notre premier jour d’école) Le cerveau est le siège de la raison et de la logique.
Le cerveau des femmes est plus compact et efficace Il est notoire que les femmes ont un cerveau qui affiche une taille moins importante que celle des hommes. Ces derniers ne manquent peut-être pas de le rappeler parfois... La différence de taille est d'environ 8%. Des chercheurs américains et espagnols ont voulu savoir en effet comment il se faisait qu'en ayant un cerveau plus petit, les tests de QI, eux, ne montrent pas de différence en moyenne entre les deux genres sexuels. Chez les femmes, cette corrélation entre la taille de l'hippocampe et l'intelligence n'existe pas. En gros, en l'état actuel des recherches, la taille du cerveau n'apporte pas quelque chose de concluant sur l'intelligence lorsque l'on veut comparer les deux genres sexuels. Références: Roberto Colom, Jason L.
Des chercheurs créent une carte 3D du cerveau pour visualiser comment nous comprenons le langage Chaque jour, nous échangeons des milliers de mots. En famille, au bureau, avec les amis. Comment le cerveau est-il capable de reconstituer le sens des mots. Quels mécanismes se mettent en œuvre pour que nous puissions comprendre ce flux sans fin ? Cette recherche est non seulement une première par l’exploit qu’elle représente de construire une cartographie en temps réel de notre cerveau, en train de déchiffrer des mots, mais surtout elle montre que le langage n’est pas limité comme on le croyait à certaines zones précises du cerveau, situées plutôt dans l’hémisphère gauche. Jack Gallant, neuroscientifique à l’Université de Berkeley, et ses collègues, dont l’auteur principal Alex Huth, ont voulu savoir comment notre cerveau réagit quand on nous raconte une histoire. Pour ce faire, ils ont demandé à sept participants d’écouter un célèbre programme de contes diffusés à la radio : The Moth Radio Hour. Cette étude est considérée comme un tour de force. Dans la même thématique :
Le cerveau: siège de l’intelligence | La mesure de l'intelligence Schéma d’une coupe transversale d’un cerveau humain Bienvenue dans le cerveau Le cerveau est un organe fascinant qui détermine ce que nous pensons, comment nous percevons le monde et ses aspects. Il gère également chacun de nos processus internes sans que nous ayons besoin d’intervenir consciemment, notamment à l’aide de systèmes nerveux. Le cerveau est de plus le siège de l’intelligence, mais on peut se poser la question: qu’est-ce qui pense dans le cerveau? La connaissance des différents composants ainsi que leur fonction permet entre autre de répondre à cette question. La première chose qui saute aux yeux, c’est la grosse masse de tissus sur le devant; le cortex cérébral. Ce dernier est en réalité une couche de corps cellulaires plissée, «ée»; souvent appelé matière grise en raison de sa couleur: cet surface est composé de plus de 60 milliards de cellules nerveuses. Un cerveau multiple et organisé Les lobes; pas que pour les oreilles! Le cerveau, une autoroute de l’information ( blague )
Mon cerveau, ce héros... et ses mythes De "l'effet Mozart' à la croyance que l'on n'utilise que 10% de son cerveau, les neuro mythes sont partout et particulièrement dans l'enseignement. Philosophe de formation mais chargée de mission à La main à la pâte et membre associée à l'Institut Nicod, Elena Pasquinelli nous invite à découvrir les neuro mythes et à les comprendre pour mieux les combattre. Un combat devenu nécessaire parce qu'ils justifient de façon banale le maintien de préjugés et qu'ils empêchent du coup l'Ecole de tirer parti des avancées scientifiques. "Ce voyage au royaume des mythes ne sera pas un voyage de tout repos et il présente des risques", écrit E Pasquinelli. Son ouvrage n'est en rien une remise en question des neurosciences. Elena Pasquinelli : " oublier que les enseignants ont un cerveau c'est risqué, non ?" Dans cet entretien, E Pasquinelli analyse plusieurs neuromythes qui ont cours dans l'éducation. Elle ne veut pas dire grand chose sauf du point de vue métaphorique. Je ne crois pas.
Le cerveau d'un foetus de 6 mois est déjà équipé pour le langage Alors même que le cerveau est en construction, les fœtus de 6 mois utilisent spécifiquement certaines régions à l'écoute d'un nouveau mot ou d'une voix inconnue. À cet âge précoce, le cerveau se prépare déjà au langage. © Emily Evans, Wellcome Images, Flickr, cc by nc nd 2.0 Le cerveau d'un foetus de 6 mois est déjà équipé pour le langage - 2 Photos À la naissance, les nouveau-nés sont capables de distinguer des syllabes proches, de reconnaître la voix de leur mère et de différencier diverses langues humaines. Des hommes, des femmes et des syllabes À ce stade de développement, le cerveau est immature puisque les neurones sont encore en train de migrer vers leur localisation définitive. Les cerveaux des bébés nés 3 mois avant le terme répondent presque comme ceux des adultes à la nouveauté ou au changement de syllabe. Le cerveau des fœtus s’adapte très tôt au langage A voir aussi sur Internet Sur le même sujet
Cerveau, apprentissage et enseignement Il y a quelques années, la pertinence de s’intéresser au cerveau en éducation était plutôt limitée. Intuitivement, les chercheurs, les enseignants et les autres intervenants du milieu de l’éducation se doutaient bien de l’existence d’un lien important et profond entre le cerveau et les apprentissages scolaires. Cependant, ce lien n’était ni clair ni appuyé sur des connaissances scientifiques solides, ce qui rendait les retombées éducatives des recherches sur le cerveau somme toute peu nombreuses et fragiles. Aujourd’hui, par contre, grâce aux avancées considérables de l’imagerie cérébrale et des neurosciences en général, cette situation a considérablement changé. Dans cet article, nous présentons trois grandes découvertes qui permettent non seulement d’établir des ponts plus solides entre le cerveau et l’éducation, mais aussi d’appuyer l’hypothèse selon laquelle mieux connaître le cerveau des élèves peut nous aider à mieux leur enseigner. Mieux connaître le cerveau pour mieux enseigner