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Le Grand collisionneur de hadrons

Le Grand collisionneur de hadrons
Le LHC, l’accélérateur de particules le plus grand et le plus puissant du monde, est le dernier maillon du complexe d’accélérateurs du CERN. Il consiste en un anneau de 27 kilomètres de circonférence formé d’aimants supraconducteurs et de structures accélératrices qui augmentent l’énergie des particules qui y circulent. À l’intérieur de l’accélérateur, deux faisceaux de particules circulent à des énergies très élevées et à une vitesse proche de celle de la lumière avant de rentrer en collision l’un avec l’autre. Les faisceaux circulent en sens opposé, dans des tubes distincts placés sous un vide très poussé (ultravide). Ils sont guidés le long de l’anneau de l’accélérateur par un puissant champ magnétique, généré par des électroaimants supraconducteurs. Des milliers d’aimants de types et de tailles différents sont utilisés pour diriger les faisceaux le long de l’accélérateur.

Large Hadron Collider Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Large Hadron Collider (LHC, ou Grand collisionneur de hadrons[1] en français) est un accélérateur de particules mis en fonctionnement le [2] et inauguré officiellement le au CERN. Situé à la frontière franco-suisse, c'est le plus puissant accélérateur de particules au monde construit à ce jour, dépassant en termes d'énergie le Tevatron aux États-Unis. Le LHC a été construit dans le tunnel circulaire (26,659 km de circonférence[3]) de son prédécesseur, le collisionneur LEP (Large Electron Positron). Ces protons seront accélérés jusqu'à une énergie de 7 TeV, soit près de 7 500 fois leur énergie de masse. Situation du LHC. Objectifs[modifier | modifier le code] Les physiciens espèrent apporter des éléments de réponse à plusieurs questions concernant la physique des particules et la cosmologie à l'aide de ces détecteurs[4] : Historique[modifier | modifier le code] Le , deux personnes, Walter L. Premières collisions[modifier | modifier le code]

moller LHC France Kitt Peak National Observatory Image Credit: Dean Ketelsen This image was taken in mid December 2013 from the Mount Lemmon Highway by Dean Ketelsen. Dean and a group of amateur astronomers make it an annual event to trek up the highway to observe the sunset alignment of Kitt Peak National Observatory. Kitt Peak National Observatory (KPNO), part of the National Optical Astronomy Observatory (NOAO), supports the most diverse collection of astronomical observatories on Earth for nighttime optical and infrared astronomy and daytime study of the Sun. If you need to contact someone at NOAO but are uncertain of that person's email address, simply send email to "first_inital_last_name_at_noao.edu", i.e., bsmith_at_noao.edu or jdoe_at_noao.edu. Previous homepage images

Boson de Higgs Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir BEH. Le boson de Higgs, aussi connu sous d'autres noms dont celui de boson BEH, est une particule élémentaire dont l'existence, postulée indépendamment en 1964 par Robert Brout, François Englert, Peter Higgs, Carl Richard Hagen, Gerald Guralnik et Thomas Kibble, permet d'expliquer la brisure de l'interaction unifiée électrofaible en deux interactions par l'intermédiaire du mécanisme de Brout-Englert-Higgs-Hagen-Guralnik-Kibble et d'expliquer ainsi pourquoi certaines particules ont une masse et d'autres n'en ont pas[3]. Son existence a été confirmée de manière expérimentale en 2012 grâce à l'utilisation du LHC et a conduit à l'attribution du prix Nobel de physique à François Englert et Peter Higgs en 2013. Description[modifier | modifier le code] Le modèle standard de la physique des particules ne prédit l'existence que d'un seul boson BEH : on parle de « boson de Higgs standard ». DØ et CDF.

"Voyage dans l'espace-temps", Conférence Cyclope Junior du 1er février 2011, par Sylvain Chaty, chercheur à l'Irfu Saclay / Conférences Cyclope Juniors / La science pour tous Notre Univers est constitué d'une myriade de galaxies. Chacune contient une pléthore d'étoiles, parfois accompagnées de planètes, mais aussi de gaz et de poussières. Aujourd'hui, grâce à des télescopes toujours plus puissants installés sur Terre et dans l'Espace, à bord de satellites, nous observons des astres de plus en plus lointains. Comment mesure t'on précisément la distance de ces astres, depuis les corps du Système Solaire qui nous héberge, jusqu'aux confins de l'Univers? Existe t'il une limite physique à l'observation de l'Univers lointain? L'espace et le temps constituent deux entités indissociables. Le conférencier décrira toutes ces notions en termes simples, en cheminant pas à pas à la découverte de l'espace-temps de notre Univers.

Mauna Kea Observatories The 4,200 meter high summit of Mauna Kea in Hawaii houses the world's largest observatory for optical, infrared, and submillimeter astronomy. Move your mouse over a dome to identify a telescope Click on the dome to go to its website Subaru Telescope 8.3-meter diameter optical/IR telescope operated by Japan Subaru website UH Hilo Educational telescope The first telescope on the mountain, a 0.6m diameter reflector, was placed on this site in 1969. UH-Hilo Educational Telescope website Gemini Telescope An 8.1-meter optical/IR telescope operated by a consortium of seven countries. Gemini Telescope website Submillimeter Array Eight 6-meter submillimeter antennas operated by Smithsonian Astrophysical Observatory and Taiwan SMA website James Clerk Maxwell Telescope 15-meter diameter telescope for submillimeter astronomy operated by the UK, Netherlands and Canada JCMT website Canada-France-Hawaii Telescope 3.6-meter optical telescope operated by Canada, France, and Hawaii CFHT website IRTF website W. Keck website

Sciences : La « particule de Dieu » enfin dévoilée Au terme de deux présentations historiques effectuées au Cern *, à Genève, le directeur de l'organisation, Rolf Heuer, se tourne vers l'auditoire, un grand sourire aux lèvres: «Je pense qu'on l'a. Qu'est-ce que vous en dites?» Dans une grande clameur et un tonnerre d'applaudissements, les dizaines de physiciens réunis dans la salle lâchent un vibrant «Yeah!». Ce boson serait à l'origine d'un mécanisme, imaginé au début des années 1960 par le Britannique Peter Higgs et les Belges François Englert et Robert Brout, qui expliquerait la notion même de masse. Sandrine Laplace, qui a travaillé pour le compte du CNRS sur Atlas, explique la prouesse expérimentale par une analogie. Devant la complexité de la tâche, on pensait qu'il faudrait plusieurs années de répétition à l'orchestre, le LHC, et aux ingénieurs du son, les détecteurs, pour effectuer les enregistrements et les retravailler. Une masse entre 125 et 126 GeV Le boson pèserait environ 130 fois la masse d'un atome d'hydrogène.

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