Chris Martenson - The Crash Course - Chapitres, Crash Course, Economie, Energie, Environnement, Pic Pétrolier, Vidéos
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Conférence de Jean-Marc Jancovici - Le 27 mars 2008 au Parc Saint-Christophe
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Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) est un organisme intergouvernemental, ouvert à tous les pays membres de l'ONU. Il « a pour mission d’évaluer, sans parti-pris et de façon méthodique, claire et objective, les informations d’ordre scientifique, technique et socio-économique qui nous sont nécessaires pour mieux comprendre les risques liés au changement climatique d’origine humaine, cerner plus précisément les conséquences possibles de ce changement et envisager d’éventuelles stratégies d’adaptation et d’atténuation. Historique[modifier | modifier le code] Le GIEC a été créé en novembre 1988, à la demande du G7 (aujourd’hui G8), par deux organismes de l’ONU : l’Organisation météorologique mondiale (OMM) et le Programme des Nations unies pour l'environnement (PNUE)[1]. Le météorologiste suédois Bert Bolin a joué un rôle important lors de sa création et l'a dirigé de 1988 à 1997[3].
Qu'est-ce que le pic pétrolier?
Si le pic de pétrole est peu médiatisé, la gravité de ses conséquences n'en est pas moins réelle. Il fut un temps où le réchauffement climatique souffrait lui aussi de ce manque de diffusion. Le pic de pétrole ne signifie pas pour autant la fin du pétrole, mais la fin d'un pétrole abondant et peu cher. En effet, même s'il restera toujours des gisements, il arrivera un point où l'extraction ne sera plus rentable (difficulté d'accès et coût énergétique trop important). Quel que soit le prix de vente du pétrole, à partir du moment où l'énergie que fournit un baril est équivalent à la dépense d'énergie nécessaire à son extraction, cette ressource cesse d'être exploitée. La quantité toujours croissante de pétrole bon marché injecté dans notre économie atteindra bientôt un maximum avant d'amorcer une inexorable descente. Les problèmes commencent quand on a extrait la moitié du pétrole disponible. On atteint toujours un plateau dans la production de pétrole, puis celle-ci diminue.
Intergovernmental Panel on Climate Change
Le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) a été créé en 1988 en vue de fournir des évaluations détaillées de l’état des connaissances scientifiques, techniques et socio-économiques sur les changements climatiques, leurs causes, leurs répercussions potentielles et les stratégies de parade. Depuis lors, le GIEC a établi cinq rapports d’évaluation multivolumes, accessibles depuis l’onglet Publications. Il a entamé son sixième cycle d’évaluation. Le GIEC et l’ex-Vice-Président des États-Unis d’Amérique, Al Gore, ont reçu le Prix Nobel de la paix en 2007 pour leurs contributions dans le domaine des changements climatiques. Note: Certains liens mènent le lecteur à des documents/pages en langue anglaise où aucune version traduite n’est proposée. Au cours de ce cycle, le Groupe d’experts produira trois rapports spéciaux, un rapport méthodologique sur les inventaires nationaux de gaz à effet de serre et le sixième Rapport d’évaluation. Qu'est-ce que le GIEC?
L’énergie est le véritable moteur de l’économie, par Michael Lardelli
Sommes nous victimes de l’illusion consistant à croire qu’une quantité d’énergie infinie est à notre disposition ? Le véritable moteur de la croissance, souligne Michael Lardelli, c’est la quantité d’énergie disponible. Dans les scénarios couramment utilisés, le renchérissement des énergies fossiles devrait permettre la rentabilisation de sources de plus en plus onéreuses en terme d’extraction. Mais qu’en sera-t-il du bilan énergétique global de l’humanité ? Serons nous à mêmes d’augmenter indéfiniment la ressource ? Par Michael Lardelli, Energy Bulletin, 23 avril 2009 Le comportement de nos dirigeants politiques ainsi que ceux des milieux économiques est fascinant à observer lorsqu’ils tentent de faire face à l’aggravation de la crise financière mondiale. Comme les valeurs des actifs et des actions s’effondre on nous parle de déflation. L’énergie est tout Aucune chose vivante ou manufacturée n’existe sur cette planète sans énergie. shadowstats.com Où allons-nous ?
Régression et dégradation des sols
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. « Notre terre est demeurée, par rapport à celle d’avant, comme le squelette d’un corps décharné par la maladie. Les parties molles et grasses de la terre ont coulé tout autour, et il ne reste plus que la carcasse nue de la région » Quelques siècles plus tard, les chroniqueurs décrivaient la disparition de près de 600 localités antérieurement prospères le long de la côte africaine entre l’Égypte et le Maroc, à la suite de la déforestation imposée par l’Empire romain qui venait là se servir en bois pour ses bateaux et chars de guerre[1]. La déshydratation est un autre facteur de dégradation et d'érosion des sols (ici Désert des Mojaves Sur sols limoneux fragiles, le passages répétés d'engins lourds est un facteur d'asphyxie et de dégradation voire de régression du sol La destruction du couvert forestier protecteur (canopée) est un des facteurs les plus courants de régression ou dégradation des sols, notamment en zone tropicale
Minuit Moins Une
Le changement climatique va-t-il plonger l'économie mondiale dans le chaos ?
Un document produit par le DARA and Climate Vulnerable Forum, un partenariat de vingt pays établi en 2009 et qui doit être présenté aujourd'hui à New York, brosse un portrait sombre des retombées économiques du changement climatique. D'après cette étude, le changement climatique ralentit actuellement de 1,6% la production économique mondiale et devrait conduire à un doublement des coûts mondiaux dans les vingt prochaines années. donnez votre avis 7 personnes aiment cet article Ce rapport relève ainsi l'existence "d'un mal sans précédent pour la société humaine et le développement économique actuel qui va de plus en plus freiner la croissance, d'après une mise à jour décisive et une révision des estimations antérieures des pertes liées au changement climatique ". L'étude met aussi en avant des estimations selon lesquelles les économies fortement émettrices de carbone sont responsables de cinq millions de morts par an, essentiellement dues à la pollution de l'air . voir les sources de l'infos