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Ce que fut, il y a 40 ans, la bataille de Verdun

Ce que fut, il y a 40 ans, la bataille de Verdun
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Présentation du dossier « L'armistice du 11 novembre 1918 » - Pour mémoire - CNDP L’armistice, signé le 11 novembre 1918 entre les Alliés et l’Allemagne marquant la fin de quatre années de guerre, constitue un moment clé de la conscience nationale et européenne. « L’École a pour mission l’enseignement de l’histoire de la Grande Guerre, et également la transmission de la mémoire » (*). La commémoration de l'armistice permet de mener un travail d'Histoire ancré dans un enseignement de la citoyenneté et des valeurs de la République. © H. Marquis Partant des événements de l'année 1918 (voir le chapitre 9 du livre La Grande Guerre par M.C Bonneau-Darmagnac, Fréderic Durdon, Pierrick Hervé, CRDP de Poitiers collection trait d’union, 2008) qui ont conduit à l'arrêt des combats, cet opus de la collection « Pour Mémoire » met en évidence les spécificités de la Première Guerre mondiale. C'est une guerre longue, qui est, dès 1915, appelée « Grande Guerre ». La Grande Guerre, M.C. La Première Guerre mondiale, CNDP, collection « Dévédoc », 2008. Conception et réalisation du dossier

Ossuaire de Douaumont La géographie des « morts pour la France » LE MONDE | | Henri Gilles, Jean-Pascal Guironnet et Antoine Parent Le sentiment que des régions ont été plus sacrifiées que d’autres durant la Grande Guerre, bien présent dans la mémoire collective, en particulier en Bretagne et en Corse, est-il fondé ? En étudiant la répartition géographique des « morts pour la France », nous avons cherché à mesurer les écarts entre les pertes humaines des régions françaises métropolitaines. Nous avons tenté de les expliquer à partir de variables testables empiriquement, dans le but d’identifier et de « reconstruire » une rationalité, au sens économique, des choix du haut commandement. Par son exploitation exhaustive de la base de données « Mémoire des hommes » du ministère de la défense, et par les techniques économétriques employées, cette recherche cliométrique se démarque d’une grande partie des travaux antérieurs des historiens. Comment avons-nous procédé ? La démographie des régions explique-t-elle les disparités de morts entre celles-ci ?

Verdun dans la Grande Guerre - Mémorial de Verdun Comment se situe Verdun dans ce contexte général ? Le polytechnicien Séré de Rivières fut chargé de la fortification du Nord-est de la France après la guerre de 1870. Il construisit des régions fortifiées linéaires intégrant les obstacles naturels et ponctuées de camps retranchés. Verdun, môle nord privilégié dans le nouveau réseau défensif, retrouva alors son rôle historique de forteresse. En effet, c'était une base offensive: tête de pont de la France sur la Meuse pouvant contrebalancer Metz, alors annexée, et un nœud de communication Nord/Sud et Est/Ouest. De 1875 à 1914, une double ceinture fortifiée fut créée autour de Verdun qui apparaissait, à la veille de la guerre, comme la place la plus moderne et la plus puissante de l'Est de la France. Cette bataille franco-allemande - où furent engagées des forces coloniales - a été en définitive non seulement une bataille importante, mais bien la bataille de la France puisque près des 3/4 de l'armée française ont combattu à Verdun.

Centenaire de la Première Guerre mondiale: combien de «poilus» de votre département parmi les victimes? [CARTE INTERACTIVE] Temps de lecture: 8 min Sur la plaque, deux soldats, un fantassin et un fusilier-marin, regardent vers un horizon espéré radieux: l'oeuvre date de 1935, dix-sept ans après la «Der des Ders», dont les deux bornes, «août 1914-novembre 1918», encadrent leurs visages. En dessous, on peut lire: «Les anciens combattants bretons à leurs 240.000 morts» Ce chiffre qui orne la grande galerie de la cour d'honneur des Invalides, on le trouve aussi dans la basilique de Saint-Anne d'Auray (Morbihan), sous la plume d'un député ou dans des ouvrages grand public. Extrait du guide touristique Le Petit Futé consacré à la Bretagne. 240.000 Bretons tués sur un total de plus de 1,3 million de soldats morts pour la France durant la Première Guerre mondiale? Comme était fausse l'assertion, début 2013, d'un Jérôme Cahuzac, alors encore ministre du Budget, assurant sur Europe 1 que la Corse était «le département qui a payé en pourcentage le plus lourd tribut à la guerre de 14-18». Où habitaient les morts?

L'aviation à Verdun - Vidéo Ina Patrimoine numérique, dossier - La Première guerre mondiale Le 12 mars 2008, s'éteignait le dernier combattant survivant de la guerre de 14-18, Lazare Ponticelli. L’effroyable bilan de la Grande Guerre a marqué durablement la France. Sa mémoire est conservée par diverses institutions (ministère de la Culture, ministère de la Défense, services d’archives, bibliothèques…) qui numérisent et diffusent reportages, photographies, films, journaux de tranchées, correspondances, cartes d‘état-major, archives sonores, fiches biographiques... Toutes les collections numérisées Mémoire des hommes Le ministère de la Défense (Établissement de communication et de production audiovisuelle de la Défense - ECPAD) a numérisé ses archives audiovisuelles et photographiques. Films sur la Première Guerre mondiale Clichés de l’armée de 1915 à 1919 Site Internet Mémoire des Hommes Les autres théâtres de la guerre La guerre toucha aussi l'Europe orientale, les anciennes colonies d'Afrique, l'Extrême-Orient. La Guerre en Orient (1915-1918) La Grèce (Mont Athos...) La Tunisie

14-18 : les 10 films qu'il faut avoir vu - Cinéma De Chaplin à Tavernier, la Grande Guerre a laissé des traces dans le septième art. Sélection des 10 films incontournables. La magnifique intuition de Chaplin qui ne connut pas la guerre mais y jette Charlot dès 1918 (Shoulder Arms), la terreur pure du livre, puis du film de Dalton Trumbo, Johnny got his gun (1971) qui déchiquète le corps humain, la stupéfiante reconstitution des Croix de bois par Raymond Bernard (1931) ou encore La Vie et rien d’autre (1989) et Capitaine Conan (1996), les deux films de Bertrand Tavernier... autant de chefs-d’œuvre – on évitera l’expression « films culte » – à avoir vu sur la guerre de 14. 1. Scène finale des Sentiers de la gloire, de Stanley Kubrick (1957) 2. A défaut de sauver le soldat poilu, tous ces films louent à leur manière le courage des combattants, évoquent leur humanité broyée, dénoncent la bestialité du carnage ou l’incohérence des états-majors. 3. Pourquoi Charlot est-il dans le brouillard ? 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10.

Fiches pédagogiques de l'ONAC La tranchée symbolise la guerre dite de « position » et l’un des lieux d’affrontement durant ces quatre années de guerre. Description générale Les tranchées forment un système avec plusieurs lignes grossièrement parallèles et des boyaux étroits pour les communications. Elles sont construites en zigzag et sont interrompues par des obstacles de terre ou des chicanes pour éviter tout tir en enfilade. Entre les tranchées ennemies, c’est le « no man’s land ». Cet espace, plus ou moins large, est remué par les obus dont les trous sont parfois remplis d’eau. Profonde de deux mètres, la tranchée dispose de banquettes surélevées pour les observateurs ou les tireurs. Vus d’avion, les tranchées et les boyaux constituent un système de circulation qui est ensuite répertorié sur des cartes. Les clichés photographiques montrent le quotidien de ces hommes soumis aux intempéries : pluie, neige, soleil, gel, etc. Des témoins racontent : (Carnet de Raoul Pinat, in Paroles de Poilus. Quelques définitions

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