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Ce que fut, il y a 40 ans, la bataille de Verdun

Ce que fut, il y a 40 ans, la bataille de Verdun
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Présentation du dossier « L'armistice du 11 novembre 1918 » - Pour mémoire - CNDP L’armistice, signé le 11 novembre 1918 entre les Alliés et l’Allemagne marquant la fin de quatre années de guerre, constitue un moment clé de la conscience nationale et européenne. « L’École a pour mission l’enseignement de l’histoire de la Grande Guerre, et également la transmission de la mémoire » (*). La commémoration de l'armistice permet de mener un travail d'Histoire ancré dans un enseignement de la citoyenneté et des valeurs de la République. © H. Marquis Partant des événements de l'année 1918 (voir le chapitre 9 du livre La Grande Guerre par M.C Bonneau-Darmagnac, Fréderic Durdon, Pierrick Hervé, CRDP de Poitiers collection trait d’union, 2008) qui ont conduit à l'arrêt des combats, cet opus de la collection « Pour Mémoire » met en évidence les spécificités de la Première Guerre mondiale. C'est une guerre longue, qui est, dès 1915, appelée « Grande Guerre ». La Grande Guerre, M.C. La Première Guerre mondiale, CNDP, collection « Dévédoc », 2008. Conception et réalisation du dossier

L'Ossuaire de Douaumont | Souvenez vous de Verdun… Les EPARGES fevrier avril 1915 Les Eparges Février – avril 1915 Général Mordacq 1915 c'est, sur le front français, la stabilisation, la guerre d'usure, la guerre de tranchées. LA CRÊTE EST ENFIN PRISE D'ASSAUT Avril 1915 Témoignages autour de l'attaque des Éparges Partout on s'installe, on s'enterre ; c'est la première période des tranchées, période qui n'est pas brillante, parce qu'on manque encore de tout le matériel nécessaire pour des organisations défensives aussi étendues (près de 600 kilomètres). Au cours de ces premiers mois de 1915, nos fantassins, transformés en terrassiers, exécutent de véritables travaux de Romains, manient plus souvent la pelle et la pioche que le fusil. Enfin, peu à peu, l'immense front se garnit d'une première ligne. On creuse surtout les boyaux qui y conduisent ; partout une boue intense (les caillebotis ne sont pas encore inventés) ; souvent aussi, beaucoup d'eau. Peu ou point d'engins de tranchée; ils n'apparaîtront qu'un peu plus tard. Mais là ne se bornèrent pas leurs épreuves. - Halte !

Grandes batailles sur le front français Bataille de Verdun 1916 - 1917 Le front de l'ouest en février 1916 Le 2 août 1914 la France décrète la mobilisation générale. Le 3 août l'Empire Allemand lui déclare la guerre, suivi de l'Empire Austro-Hongrois. Le 7 août, Joffre le général en chef français ordonne la marche au Rhin afin de reconquérir l'Alsace et la Lorraine, territoires perdus à l'issue de la guerre Franco-Prussienne. Affaiblie par ces attaques meutrtrières, l'Armée Française, ne peut empêcher l'inexorable progression adverse et le 25 août Joffre ordonne la retraite. Fin novembre 1914, le front se stabilise. Les forces en présence La Région Fortifiée de Verdun (RVF) compte à la veille de la bataille vingt-deux forts disposés sur deux anneaux concentriques. Le général von Falkenhayn commandant suprême des forces allemandes sur le front de l'ouest choisit le saillant de Verdun pour lancer son offensive. L'offensive sera confiée à la 5. L'offensive allemande Du 24 au 25 février, les renforts français arrivent progressivement. La bataille des ailes Retour

La géographie des « morts pour la France » LE MONDE | | Henri Gilles, Jean-Pascal Guironnet et Antoine Parent Le sentiment que des régions ont été plus sacrifiées que d’autres durant la Grande Guerre, bien présent dans la mémoire collective, en particulier en Bretagne et en Corse, est-il fondé ? En étudiant la répartition géographique des « morts pour la France », nous avons cherché à mesurer les écarts entre les pertes humaines des régions françaises métropolitaines. Nous avons tenté de les expliquer à partir de variables testables empiriquement, dans le but d’identifier et de « reconstruire » une rationalité, au sens économique, des choix du haut commandement. Par son exploitation exhaustive de la base de données « Mémoire des hommes » du ministère de la défense, et par les techniques économétriques employées, cette recherche cliométrique se démarque d’une grande partie des travaux antérieurs des historiens. Comment avons-nous procédé ? La démographie des régions explique-t-elle les disparités de morts entre celles-ci ?

La Bataille de Verdun / Verdun et la Grande Guerre / Terre d'Histoire - Mairie de Verdun Côté français, la surprise a été « presque » totale et le choc effroyable. Mais la débandade attendue par l’ennemi n’a pas eu lieu. Les survivants des deux divisions françaises ne battent pas en retraite, ni ne se rendent. A dix contre cent, fusils Lebel contre Mauser et lance-flammes, la défense française s’organise. L’infanterie allemande procède par vagues d’assaut, espacées d’une centaine de mètres. Les deux tiers de l’armée française combattent à Verdun. La ruée sur Verdun Les premiers jours de la bataille sont terribles. Les jours suivants, les combats se poursuivent avec la même intensité. « Courage, on les aura ! Finalement, à la fin du mois de février, la progression allemande a été meurtrière mais reste limitée. Depuis Baudonvillers et Bar-le-Duc, une noria de camions est mise en œuvre sur la route reliant Bar le Duc à Verdun, baptisée plus tard par Maurice Barrès la « Voie Sacrée ». Désormais les contre-attaques françaises succèdent aux attaques allemandes.

21 février 1916 - L'enfer de Verdun Aucune bataille n'a autant marqué la mémoire des Français que celle de Verdun. Tout d'un coup, un déluge de feu Tout commence le 21 février 1916, à 7h30, avec un déluge de feu sur les forts de Verdun et sur les tranchées où sont tapies trois divisions françaises. Puis, l'infanterie allemande monte à l'assaut. Certains soldats sont équipés d'un lance-flammes. Le chef d'état-major allemand Erich von Falkenhayn veut de cette façon en finir avec une guerre de positions qui dure depuis la bataille de la Marne, dix-huit mois plus tôt. Tenir ! Les poilus résistent héroïquement au premier choc, en dépit de la perte du fort de Douaumont. Les attaques vont se renouveler pendant plusieurs mois, sans cesse contenues. « On les aura ! La contre-offensive Le 22 juin apparaissent les terrifiantes bombes au phosgène, un gaz mortel en quelques secondes. La bataille de Verdun prend fin le 15 décembre 1916. Verdun, quarante ans après (doc : INA)

Verdun_ Perte et reprise du fort de Douaumont : bnf Aller au contenu principal Accueil > Tresors Darchives > Fonds Publics > Bibliotheques > Archives > Dans les collections presse et périodiques de la BnF : Perte et reprise du fort de Douaumont BibliothèquesArchives Dans les collections presse et périodiques de la BnF : Perte et reprise du fort de Douaumont Douaumont est considéré comme l'un des forts les plus imposants, modernes et mieux armés de la ceinture défensive de Verdun. Depuis le début de la Première Guerre mondiale, ces places fortes ont toutefois perdu de leur importance aux yeux de l'état-major français au profit des armées de campagne. Voici une sélection commentée d'articles des journaux de l'époque consacrés à la perte et à la reprise du fort de Douaumont qui proviennent des collections presse et périodiques de la BnF. Une du Petit Journal du 27 février 1916. Le journal : Lancé par Moïse Millaud en 1863, le titre remporte un rapide succès grâce à son coût modique et son petit format. Voir le document complet sur Gallica

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