Food and Chemical Toxicology - Long term toxicity of a Roundup herbicide and a Roundup-tolerant genetically modified maize This article has been retracted: please see Elsevier Policy on Article Withdrawal ( The journal Food and Chemical Toxicology retracts the article “Long term toxicity of a Roundup herbicide and a Roundup-tolerant genetically modified maize,” which was published in this journal in November 2012. This retraction comes after a thorough and time-consuming analysis of the published article and the data it reports, along with an investigation into the peer-review behind the article. The Editor in-Chief deferred making any public statements regarding this article until this investigation was complete, and the authors were notified of the findings. Very shortly after the publication of this article, the journal received Letters to the Editor expressing concerns about the validity of the findings it described, the proper use of animals, and even allegations of fraud. Many of these letters called upon the editors of the journal to retract the paper.
OGM : ils sont dangereux, conclut l’étude scientifique la plus complète jamais menée Pour la première fois au monde, un OGM et un pesticide ont été évalués (1) pour leurs impacts sur la santé plus longuement et complètement que les agences sanitaires, les gouvernements, les industriels et d’autres chercheurs ne l’ont jamais fait. Les résultats sont alarmants. Il s’agit de deux produits très représentatifs : un maïs transgénique tolérant au Roundup, le caractère partagé par plus de 80% des OGM alimentaires, et le Roundup lui-même, le pesticide le plus utilisé sur la planète. On ne teste pas au niveau réglementaire ces produits sur des humains, mais sur des rats. Ces tests ont donc porté sur 200 rats en observation pendant deux années sur plus de cent paramètres. Les dosages utilisés (à partir de 11 % d’OGM dans l’alimentation, et 0,1 ppb de Roundup dans l’eau) sont caractéristiques de doses environnementales courantes. Les résultats et l’expérience, son contexte et ses conséquences sociales font fait l’objet du livre Tous Cobayes ! Note :
Gilles-Éric Séralini Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Gilles-Éric Séralini, né le à Bône en Algérie[1], est un universitaire français[2],[3], professeur de biologie moléculaire depuis 1991, chercheur à l'Institut de biologie fondamentale et appliquée (IBFA) de l'université de Caen et codirecteur du pôle Risques de l'université de Caen[4] (pôle associé au CNRS). Il s'est fait notamment connaître du grand public pour ses études sur les OGM et les pesticides et, en particulier, une étude toxicologique controversée et fortement médiatisée[5] publiée en septembre 2012, avant d'être retirée en novembre 2013, portée par le CRIIGEN, dont il est membre fondateur, mettant en doute l'innocuité du maïs génétiquement modifié NK 603 et du Roundup sur la santé de rats[6]. Biographie[modifier | modifier le code] Gilles-Éric Séralini est né en Algérie en 1960 d'un père technicien dans les télécommunications et d'une mère institutrice. Travaux[modifier | modifier le code] Controverses[modifier | modifier le code]
EXCLUSIF. Oui, les OGM sont des poisons ! (Cet article paraît dans le "Nouvel Observateur" daté du 20 septembre 2012) C’est une véritable bombe que lance, ce 19 septembre à 15 heures, la très sérieuse revue américaine "Food and Chemical Toxicology" - une référence en matière de toxicologie alimentaire - en publiant les résultats de l’expérimentation menée par l’équipe du français Gilles-Eric Séralini, professeur de biologie moléculaire à l'université de Caen. Une bombe à fragmentation : scientifique, sanitaire, politique et industrielle. Elle pulvérise en effet une vérité officielle : l’innocuité du maïs génétiquement modifié. Lourdement toxique et souvent mortel Même à faible dose, l’OGM étudié se révèle lourdement toxique et souvent mortel pour des rats. En 2006, c’est comme un véritable thriller que commence cette recherche, dont le maître d’œuvre, Gilles-Eric Séralini, divulgue lui-même les conclusions dans un ouvrage à paraître la semaine prochaine ("Tous cobayes !" Nom de code In Vivo Pathologies lourdes, tumeurs mammaires
OGM : "Inconscience ? Lâcheté ? Collusion criminelle ?" Professeur de biologie moléculaire et chercheur à l'Institut de Biologie fondamentale et appliquée de l'université de Caen, Gilles-Eric Séralini publie le 26 septembre "Tous cobayes!" (Flammarion), le résultat d'une étude menée dans le plus grand secret pendant deux ans sur deux cents rats nourris au maïs transgénique. Conclusion ? Un effet toxique de l'OGM avéré sur l'animal. Et des inquiétudes pour l'homme… Interview. Il y avait une méfiance diffuse de l’opinion sur l’impact des OGM pour la santé humaine. - Oui, nous venons de réaliser l'étude la plus longue et la plus détaillée au monde sur la toxicité d'un maïs transgénique et sur celle du Roundup, l’herbicide le plus utilisé qui soit. Le grand scandale, celui dont je ne me remets pas, c’est que les agences sanitaires n’ont jamais exigé des industriels une étude de toxicité de longue durée. > A lire : l'intégralité de l'interview de Gilles-Eric Séralini et du dossier "Oui, les OGM sont des poisons !" Téléchargez le magazine :
Toxicité «alarmante» pour des rats nourris avec un maïs OGM Le débat sur les OGM relancé. Selon une étude de long terme à paraître ce mercredi en ligne dans la Revue internationale «Food and Chemical Toxicology» et présentée par ses auteurs comme une «première mondiale», des rats nourris avec un maïs OGM meurent plus jeunes et souffrent plus souvent de cancers que les autres. Dans cette étude, on observe par exemple deux à trois fois plus de mortalité chez les femelles traitées. «Il y a deux à trois fois plus de tumeurs chez les rats traités des deux sexes», a expliqué à l'AFP Gilles-Eric Seralini, professeur à l'Université de Caen, qui a dirigé l'étude. Régime alimentaire américain Deux cents rats ont été alimentés pendant deux ans maximum soit avec un maïs OGM NK603 seul, soit avec ce maïs OGM traité au Roundup, soit avec du maïs non OGM traité au Roundup, herbicide le plus utilisé au monde. Le maïs était introduit au sein d'un régime équilibré dans des proportions représentatives du régime alimentaire américain. M.Gr. avec AFP
L'étude anti-OGM ou le syndrome de la recherche unique (Agence Science-Presse) Le problème derrière une étude française qui prétend démontrer la nocivité des OGM, c’est qu’elle ne s’appuie peut-être pas sur le bon type de rat, qu’une partie de son échantillon est trop petite, que la quantité de maïs consommée aurait été sujette à caution, et qu’elle a fait le tour des médias avant que quiconque ait pu la lire. Cliquer sur la photo pour agrandir La Une du Nouvel Observateur : Oui, les OGM sont des poisons! (19 septembre 2012) L’étude, parue dans Food and Chemical Toxicology (19 septembre 2012) Qui est Gilles-Eric Séralini, par le Nouvel Observateur Qui est Gilles-Eric Séralini, par Alerte-Environnement Qu’est-ce que le NK603, dans le contexte européen (Le Monde) Les médias ont été nombreux à prétendre que l'équipe Séralini était la première à faire une étude à long terme (deux ans plutôt que 3 mois). Billet du statisticien Michael Grayer sur les questions soulevées par la partie statistique de cette étude.
Rats Eating GMO Corn Get Tumors, Die Early Rats fed genetically modified corn or exposed to the Monsanto herbicide Roundup were at greater risk for developing tumors, suffering organ damage or dying prematurely according to a just-published study in the journal Food and Chemical Toxicology. 200 rats were tested for two years (more or less their lifespan), much longer than the 90 days required for studies that are used when companies seek regulatory approval for genetically engineered foods. “The results were really alarming,” the study’s author, Gilles-Eric Seralini of the University of Caen in France, said. The French site, Rue89, has photos of the rats with tumors that, it would be an understatement to say, are very disturbing. Immediate Controversy About Rats and GMO Corn Study The study‘s results, announced at a news conference organized by a British-based anti-GMO organization, immediately stoked criticism of Seralini’s methods and comments about his campaigning against GMOs since 1997, NPR notes.
TOUS COBAYES ? Le nouveau film de Jean-Paul JAUD dénonce les OGM et le nucléaire Comment se fait-il que les OGM agricoles soient dans les champs et dans les assiettes alors qu’ils n’ont été testés que pendant trois mois sur des rats ? Comment se fait-il que l’énergie nucléaire soit toujours l’énergie du futur alors que les hommes ont vécu Tchernobyl et Fukushima ? Les conclusions seraient-elles accablantes ? Après « Nos enfants nous accuseront » et après « Severn », le troisième long métrage de Jean-Paul Jaud s’attaque une nouvelle fois aux défis environnementaux, en donnant la parole aux agriculteurs japonais de Fukushima, sénégalais ou français, aux scientifiques, aux politiques ou aux militants. Autant de personnes qui s’expriment librement sur ces deux problématiques majeures, les OGM et le NUCLÉAIRE. Narré par Philippe Torreton, ce film apporte une vision transversale entre ces deux technologies, génétique et nucléaire. Le réalisateur Jean-Paul Jaud signe surtout avec Tous cobayes ? Alors, sommes-nous tous des cobayes ? Bande annonce Tous cobayes !
José Bové : « C'est la première fois qu'une étude démontre que les OGM sont un poison » Suite à la parution de l’étude toxicologique du Professeur Séralini qui démontre que les OGM représentent un danger pour la santé, José Bové demande solennellement à la Commission européenne de suspendre les autorisations de mise en culture déjà accordées en Europe. Pour l’eurodéputé EELV, les agences nationales et européennes de sécurité alimentaire doivent impérativement réaliser de nouvelles études financées par des fonds publics. Vidéo. La première étude toxicologique réalisée par le Professeur Séralini de l’Université de Caen (France) sur un échantillon significatif de 200 rats montre une surmortalité inquiétante des animaux nourris avec des OGM sur une longue durée (2 ans). Elle souligne en particulier que les études réalisées jusqu’à présent sur une durée de 3 mois sur de faibles échantillons n’étaient pas en mesure de faire apparaître cette surmortalité. José Bové : il faut cesser toutes les...