background preloader

Web 2.0 : nouveaux usages, nouveaux droits

Web 2.0 : nouveaux usages, nouveaux droits
Présentation lors de la conférence INFORUM 2012. “Alt+0169” : copyright v. copywrong » du 31 mai 2012 organisée par l’Association des documentalistes belges. Doit-on envisager une révision drastique du droit d’auteur ou une simple évolution ? La question s’impose à l’heure où s’estompent les frontières entre les sphères privée et publique, les usages professionnels et non professionnels ou encore le jeu actif et passif des acteurs, remettant ainsi en question les qualifications juridiques traditionnelles. Comment réguler les tensions, particulièrement fortes en ce moment, entre la diffusion des connaissances et les modèles d’affaires la liberté d’expression et les limites à apporter à certaines dérives ? Un droit d’auteur bousculé Avec le web 2.0, l’internaute prend la main, au grand dam des règles du droit d’auteur qu’il piétine allégrement. Scoop-it permet de créer une revue de presse à partir d’extraits d’articles sélectionnés sur le web. Atteintes au droit de citation La loi Notes

Qu'est-ce qu'un auteur ? : cours d'Antoine Compagnon Université de Paris IV-Sorbonne UFR de Littérature française et comparée Cours de licence LLM 316 F2Antoine.Compagnon@paris4.sorbonne.fr Bibliographie Aristote, Poétique, trad. M. Magnien, Le Livre de Poche, 1990. Barthes, Roland, Critique et Vérité, Seuil, 1966. -, « La mort de l'auteur » (1968), Le Bruissement de la langue (1984), Seuil, « Points ». Bénichou Pierre, Le Sacre de l'écrivain, 1750-1830, Corti, 1985. Bonnet, Jean-Claude, Naissance du panthéon. Borges, J. Bourdieu Pierre, Les Règles de l'art. Brunn, Alain, L'Auteur, Flammarion, « GF », 2001. Chamarat, Gabrielle, et Goulet, Alain (sous la dir. de), L'Auteur, Presses universitaires de Caen, 1996. Compagnon, Antoine, Le Démon de la théorie. -, « Un monde sans auteurs ? Couturier, Maurice, La Figure de l'auteur, Seuil, 1995. Dock, M. Foucault, Michel, « Qu'est-ce qu'un auteur ? Jakobson, Roman, et Lévi-Strauss, Claude, « Les Chats de Charles Baudelaire » (1962), dans Jakobson, R., Questions de poétique, Seuil, 1973. Sites

Web 2.0 vs. Web 3.0, la suite... Web 2.0 vs. Web 3.0, la suite... Il y a plus d’un an déjà, je tentais une réflexion personnelle sur l’évolution du Web 2.0 vers le Web 3.0, d’abord sollicité par Jean-François Ruiz. Ce questionnement reste sous-jacent dans de nombreux débats que j’observe ici et là sur le Web, mais il a été relancé ces derniers jours par les déclarations d’Eric Schmidt, répondant à un auditeur qui lui demandait de définir le Web 3.0. Les déclarations du CEO de Google ont suscité pas mal de polémiques sur sa vision du Web 2.0 (un concept marketing) et sur ses prévisions concernant le Web 3.0. C’est ici qu’intervient Nicholas Carr, le « poil à gratter » de Didier Durand, dont le billet reprenant et analysant l’épisode à peine décrit m’a enthousiasmé. Son billet s’intitule Qu’est-ce que le Web 3.0 ? Voici donc – quelle surprise ! Voilà. Excellent, je vous dis ! Web 2.0, Web 3.0, Google, Internet, laboratoire de traduction

Rentrée littéraire : quels droits d'auteurs à l'heure du numérique ? Alors que la rentrée littéraire bat son plein, la question des droits numériques des e-books fait polémique. Auteurs et éditeurs ont ouvert le débat depuis quatre ans déjà, sans parvenir pour le moment à un accord. Tour d’horizon de la situation. Si les livres numériques ne représentent en 2012 que 2% du marché de l’édition française, loin derrière l’Angleterre (7%) et les Etats-Unis (20%), éditeurs et auteurs travaillent déjà d’arrache-pied à transposer « les règles du jeu » en matière de droits de publication. > Nouveau modèle, nouvelles règles ? Actuellement, les publications numériques sont soumises à la même règle que le papier : celle sur la propriété intellectuelle, qui s’applique jusqu’à soixante-dix ans après la mort de l’auteur. Une position entendue par Christine de Mazières, déléguée générale du Syndicat national de l’édition (SNE), qui regroupe plus de six-cents maisons : « Les auteurs ont une inquiétude légitime. > Intervention d’un médiateur > L’inconnu oblige à la souplesse

Web 3.0: un internet vraiment intelligent Le web du futur veut conférer un sens aux données et les rendre compréhensibles par les logiciels et les machines. Et s’affranchir ainsi des humains. Explications. Vous voulez connaître la hauteur de la tour Eiffel? Facile, il suffit d’introduire les mots «hauteur, tour, eiffel» dans un moteur de recherche. Mais vous devrez encore cliquer sur les liens proposés et lire les pages affichées jusqu’à ce que vous puissiez — enfin — reconnaître l’information désirée. Les ordinateurs peuvent aujourd’hui réaliser des recherches syntaxiques en comparant les mots, mais ne comprennent pas la sémantique, c’est-à-dire le sens. Le web sémantique, que certains qualifient déjà de web 3.0, veut changer cela. «Le web sémantique, que je préfère appeler web des données, contient des informations structurées qui peuvent être comprises par des machines, détaille Philippe Cudré-Mauroux. Décrire le monde Plusieurs obstacles restent à lever avant que le web sémantique ne se développe à grande échelle.

Vers une réforme en profondeur des lois sur le copyright ? Neelie Kroes, commissaire européenne en charge de la stratégie numérique, plaide pour une réforme en profondeur de la législation du copyright. Son objectif : libérer la création. C’est un discours particulièrement réformateur qu’a tenu, lundi 10 septembre, la vice-présidente de la Commission européenne. Invitée du Sommet sur l’innovation et la propriété intellectuelle, qui se tenait à Bruxelles, elle a vivement critiqué « des lois obsolètes sur le droit d’auteur, qui freinent l’innovation, la recherche et la création culturelle ». « Nous n’avons pas réussi à suivre le rythme rapide des évolutions technologiques », a-t-elle pointé, en rappelant que la directive européenne sur le copyright date de 2001 et se fonde sur un état des lieux antérieur à 1998 : « En 1998, Mark Zuckerberg avait 14 ans. > Soutenir la recherche, la culture et l’économie Pour Neelie Kroes, le constat est sans appel : « Le data-mining et le text-mining sont à l’origine d’importantes avancées.

Comment protéger ses infos personnelles sur les réseaux sociaux? | We Can Web Chaque semaine, sur le blog We Can Web, nous allons vous donner des clés pour surfer intelligemment, librement et en toute sécurité . Ainsi, un sujet sur les réseaux sociaux et les données qu’ils contiennent s’impose… Petit tour des bonnes pratiques pour vous protéger sur les réseaux ! Les mots d’ordre : parcimonie et discrétion… Et oui, malheureusement, même si le partage d’informations est le principal intérêt des réseaux sociaux, restez tout de même prudent sur ce que vous publiez ! Gérer sa confidentialité ! Sur Facebook principalement, mais aussi sur d’autres réseaux sociaux, vous avez la possibilité de maitriser ce que vous montrez ou non à la communauté. Quelques conseils pratiques pour la sécurisation de vos comptes ! En bref, voici quelques clés pour vous aider dans votre navigation au quotidien.

Web 2.0 et pratiques documentaires Les pratiques informationnelles liées au développement du web 2.0 modifient profondément le rapport des individus à l’information. Les notions d’intelligence collective, de partage des savoirs et d’interopérabilité des applications façonnent de nouveaux rapports à l’information en ligne. Les modes de création, de diffusion et d’accès aux ressources informationnelles tels qu’ils étaient établis depuis la création du web sont ainsi fondamentalement remis en cause. Les métiers de l’information-documentation dont les principes théoriques sont ancrés sur les notions d’accès au savoir et de savoir sélectionné (Metzger, 2006) intègrent aujourd’hui naturellement et progressivement ces bouleversements. Les activités d’un service de documentation peuvent être décrites selon de multiples facettes. La collecte et l’organisation de sources La description des ressources informationnelles La sélection et l’évaluation des informations Figure 1 - Fonctions de la documentation et pratiques du web 2.0 Notes

Protection des données personnelles : les réseaux sociaux sont-ils bien protégés ? E n tout cas, ils sont mieux protégés ! Des réseaux sociaux plus protecteurs de la vie privée. Le contrôleur des données français (CNIL) qui a toujours milité pour une bonne sensibilisation des usagers des réseaux sociaux vient de rappeler…l’avis des protecteurs européens des données personnelles (G29) qui précise les règles applicables aux réseaux sociaux. La CNIL rappelle quelques pratiques dont la connaissance devrait faire l’objet d’une meilleure connaissance au niveau européen par l’entremise du G29.Un tableau d’honneur européen des bonnes pratiques ! Les réseaux sociaux, outils de communication à disposition des internautes remarquables, ils présentent également des risques d’atteinte à la vie privée si les données publiées ne sont pas maîtrisées ou si leurs éditeurs ne mettent pas en oeuvre toutes les mesures nécessaires pour protéger les données de leurs membres. -. définir des paramètres par défaut limitant la diffusion des données des internautes Pièces jointes: 4 KB Email.txt

Related: