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The Bike-sharing World Map Account Options Sign inHelpSend feedbackReport inappropriate content The Bike-sharing World Map www.bikesharingmap.comRead more: Shows public automated, advance automated and mixed automated/manned bike-sharing services around the World which offer A to B transportation. Cities are listed in alphabetical order. For any updates of this map, please contact russellmeddin@bikesharephiladelphia.org The Green Bicycle Icon - denotes a system in operation.The Blue Question Mark Icon - denotes a system in planning or construction.The Red Caution Icon - denotes a system no longer in operation.Interactive O'Brien Bike Share Maps: www.bikesharemap.comFollow the Map on Twitter: @BikesharingMap 2009, this map was expanded and maintained by Russell Meddin: russellmeddin@bikesharephiladelphia.org. World Bike-sharing Cities Legend - In Operation - February 2015 Legend - In Planning or Under Construction - February 2015 Legend - No Longer Operating - February 2015 Fano.

Veloc le 1er site de location de vélos entre particuliers Open Data: «peut mieux faire» pour la France La fondation Open Knowledge vient de publier une étude menée dans 70 pays afin d'évaluer à quel point les données publiques sont ouvertes aux citoyens de chaque Etat. Les résultats sont peu brillants pour la France, note PC Inpact. Elle se situe à la 16e place, ce qui n'est pas ridicule sur 70, mais reste à la traîne vu les ambitions sur l'open data affichées tant par Nicolas Sarkozy que par François Hollande, estime le site spécialisé. publicité Le Royaume-Uni, les Etats-Unis et le Danemark sont les trois premiers du classement. La France est devancée par la Moldavie, l'Italie, la Bulgarie ou encore Malte, mais reste meilleure en open data que la Suisse, l'Irlande et le Japon. Pour mettre au point son index des données ouvertes, la fondation Open Knowledge a listé toute une série de catégories et de critères, dont elle a tiré un score global. Pourquoi la France a-t-elle obtenu 510 points, là où le Royaume-Uni en a 940? À lire aussi sur Slate.fr

Comprehensive Knowledge Archive Network Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. CKAN, acronyme de Comprehensive Knowledge Archive Network, est une application web permettant le stockage et la distribution de données tels que des tableurs ou le contenu de bases de données. CKAN est supporté par l'OKFN. L'application est inspirée des systèmes de gestion de paquets communs aux systèmes d'exploitation ouvert tel que les distributions GNU/Linux et vise à être le «apt-get de Debian des données[1]». Le système est utilisé à la fois comme une plateforme publique sur thedatahub.org et sur divers catalogues de données gouvernementales, tels que le britannique data.gov.uk et le Dutch National Data Register. Références[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code]

Origine, Structure et Evolution de la Biodiversité - UMR 7205 HelloMentor.co, une alternative française à Helpouts Helpouts a officiellement ouvert ses portes au début de la semaine, mais le service n’est pas encore disponible pour tout le monde et son contenu s’adresse surtout aux anglophones. Bien heureusement, il existe des alternatives solides à la plateforme de Google, y compris au pays du camembert et du béret. HelloMentor se positionne exactement sur le même segment, et il devrait intéresser tous ceux qui ont soif d’apprendre ou qui souhaitent arrondir leurs fins de mois en donnant des cours particuliers… sans bouger de chez eux. Le service fonctionne exactement sur le même principe que Helpouts. Ensuite, les choses sérieuses vont pouvoir commencer. La qualité plutôt que la quantité N’importe quel internaute peut s’inscrire sur la plateforme pour devenir formateur. Les élèves ayant suivi un cours pourront également noter leur mentor, et même laisser une appréciation. Le catalogue proposé par HelloMentor est assez complet.

Données personnelles : un gisement sous haute protection LE POTENTIEL. Une multitude de données à caractère personnel sont collectées dans les applications métiers des collectivités. Mieux exploitées, elles permettraient de proposer des services plus ciblés ou d’optimiser les politiques publiques. Toutefois, la crainte de ne pas être conforme à la loi « informatique et libertés » freine les initiatives. LES RISQUES. Lire le premier article

Service du Patrimoine Naturel (SPN) Sommaire Le SPN Le Service du Patrimoine Naturel Télécharger la plaquette Le Service du Patrimoine Naturel (SPN) développe la mission d'expertise confiée au Muséum National d'Histoire Naturel pour la connaissance et la conservation de la nature. Un but : appuyer les instances chargées de la conservation de la nature, en mobilisant les meilleurs experts et données disponibles. Un objectif : contribuer à la conservation de la nature en mettant les meilleures connaissances à disposition et en développant l'expertise. Décliné en 4 domaines d'interventions : ...concevoir des outils et définir des méthodes : le SPN développe et diffuse des outils (référentiels, protocoles, logiciels, standard de données...) pour collecter et diffuser les informations concernant le patrimoine naturel, son état et son évolution, ...animer des réseaux d'acteurs : le SPN anime et coordonne les réseaux de collecte d'informations dans le cadre de l'inventaire du patrimoine naturel. En savoir plus : inpn.mnhn.fr

Patatam - Vêtements d'occasion de marque pour enfants de 0 à 6 ans Réutilisation des données publiques : des promesses vertigineuses Dossiers d'actualitéMis à jour le 14/04/2017 Copyright : Flickr CC by sa Perspecsys Photos L'open data, ou, dit en français, l'ouverture des données publiques est devenue une obligation pour toutes les collectivités locales de plus de 3500 habitants depuis l'adoption de la loi pour une République Numérique (loi du 7 octobre 2016). La "loi Lemaire" achève un chapitre législatif intense autour de l'open data (loi Valtere, loi Macron...). Les plus grosses collectivités se sont déjà lancées ; les autres vont devoir le faire.

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