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Des textes et des témoignages sur la Shoah

Des textes et des témoignages sur la Shoah
Dernière modification de cette page : 01/24/2012 17:10:26 Avant les camps : antisémitisme et persécution / La collaboration et la résistance à la déportation / La déportation : les arrestations, les rafles, Drancy, les trains / Les camps de concentration / L'extermination : les camps d'extermination, autres formes d'extermination / Après les camps : justice, jugements, réflexions AVANT LES CAMPS : antisémitisme, persécution LA COLLABORATION ET LA RÉSISTANCE à la déportation LA DÉPORTATION : les arrestations, les rafles, Drancy, les trains L'EXTERMINATION : camps d'extermination, autres formes d'extermination, libération des camps APRES LES CAMPS : justice, jugements, réflexions Vous pouvez consulter la liste de tous les témoignages présents sur ce site OU Illustration François Lemaire, Soissons

La Conférence de Wannsee et la "Solution finale" Le 20 janvier 1942, quinze hauts fonctionnaires du parti nazi et de l'administration allemande se réunirent dans une villa de Wannsee, dans la banlieue de Berlin, pour discuter de la mise en œuvre de ce qu'ils appelèrent "la Solution finale à la question juive". Les représentants de la SS à cette réunion étaient le Général SS Reinhard Heyrich, directeur de l'Office central de sécurité du Reich (Reichssicherheitshauptamt-RSHA) et un des principaux adjoints du SS-Reichführer Heinrich Himmler ; le général SS Heinrich Müller, chef de la division IV de la RSHA (la Gestapo) ; le lieutenant colonel SS Adolf Eichmann, chef de la division IV B4 de la RSHA (les questions juives) ; le colonel SS Eberhard Schöngarth, commandant à Cracovie de la RSHA pour le gouvernement général de Pologne ; le major SS Rudolf Lange, commandant des Einsatzkommando 2 du RSHA déployé en Lettonie à l'automne 1941 ; le major général SS Otto Hofmann, chef du bureau central pour la race et le peuplement (RuSHA).

TÉMOIGNAGES DE VICTIMES Les témoignages de première main sont une source irremplaçable d'informations sur les complexités et les horreurs innombrables des génocides. Les souvenirs les plus forts apportent une perspective personnelle des faits qui exprime la réalité d'une privation croissante des droits élémentaires et, au-delà, ce qui signifie pour l'individu l'horreur du génocide. Par « témoignages de première main», nous entendons des comptes rendus écrits, oraux ou filmés, donnés par des survivants ou par tout autre personne ayant été témoin d'un aspect quelconque du processus génocidaire. On trouve des souvenirs de cet ordre dans des mémoires, des autobiographies, des journaux intimes, des interviews, des récits oraux, des témoignages devant les tribunaux ou lors d'auditions audio ou vidéo. C'est sur la Shoah que l'on trouve le plus grand nombre de témoignages. Aussi précieux qu'ils soient, les témoignages de première main sont assurément à manier avec précaution. « Le camp ressemblait à tous les autres.

Robert Waitz -Témoignages Témoignages Robert Waitz dans le convoi 60 et au camp d'Auschwitz III - Monowitz par Georges HAUPTMANN Extrait de HISTOIRE & PATRIMOINE HOSPITALIER, revue de l'Association "Les Amis des Hôpitaux Universitaires de Strasbourg", n° 21 - 2 009 avec l'aimable autorisation des Editeurs En complément de l'article sur la vie et l'oeuvre de Robert Waitz, il nous a semblé important et intéressant de présenter ces témoignages de déportation. Témoignage de Robert Waitz Robert Waitz fut déporté dans le convoi N° 60, parti de Drancy le 7 octobre 1943 à 10 heures 30 du matin, arrivé à Auschwitz le 10 octobre vers 3 heures du matin. "Dans chaque wagon un ou deux seaux d'eau et un seau hygiénique ; quatre vingt quinze à cent personnes y sont empilées avec des provisions suffisantes (?). Le camp de Monowitz ou Auschwitz III a été créé en 1942 aux abords du chantier de construction d'une usine géante de la firme allemande l'I.G. "En réalité ce camp est un camp d'extermination. Témoignage de Freddie Knoller

[.... Un oeil sur l’histoire/géo] EMC 1 : Je suis français, tu deviens français ... Je suis Français, tu deviens Français = nous sommes Français Mise en situation : Quelles sont les démarches qu’il faut entreprendre pour devenir citoyen français ? Quels seront vos droits et vos devoirs ? A la fin de la séance, vous devrez vous mettre dans la peau d’un étranger qui souhaite devenir Français et vous établirez la liste de ce que vous devez faire. I. A. On peut obtenir la nationalité française : Pour vous aider : B. Droits et devoirs du citoyen : II Symboles, principes et valeurs A. Regardez le début du match de rugby France/Ecosse Quels symboles de la nation identifiez-vous ? Lesquels manque-t-il ? B.

Nuit et Brouillard 2 de 2 Nuit et Brouillard est un film documentaire[1] réalisé par Alain Resnais, à l'initiative d'Henri Michel (historien), et sorti en 1956. Il traite de la déportation et des camps de concentration nazis, en application des dispositions dites « Nuit et brouillard » (décret du 7 décembre 1941). Nuit et Brouillard est une commande du Comité d'histoire de la Deuxième Guerre mondiale[2], un organisme gouvernemental fondé en 1951, dont la fonction était de rassembler de la documentation et de poursuivre des recherches historiques sur la période de l'occupation de la France en 1940-1945, et dont Henri Michel était le secrétaire général[3]. D'une durée de trente-deux minutes, le film est un mélange d'archives en noir et blanc et d'images tournées en couleur. Les images sont accompagnées de la lecture d'un texte de l'écrivain français Jean Cayrol, résistant français déporté dans le KZ Mauthausen en 1943. Le 31 janvier 1956, le film remporte le Prix Jean-Vigo.

Nuit et Brouillard 1 de 2 Nuit et Brouillard est un film documentaire[1] réalisé par Alain Resnais, à l'initiative d'Henri Michel (historien), et sorti en 1956. Il traite de la déportation et des camps de concentration nazis, en application des dispositions dites « Nuit et brouillard » (décret du 7 décembre 1941). Nuit et Brouillard est une commande du Comité d'histoire de la Deuxième Guerre mondiale[2], un organisme gouvernemental fondé en 1951, dont la fonction était de rassembler de la documentation et de poursuivre des recherches historiques sur la période de l'occupation de la France en 1940-1945, et dont Henri Michel était le secrétaire général[3]. D'une durée de trente-deux minutes, le film est un mélange d'archives en noir et blanc et d'images tournées en couleur. Le texte, écrit par Jean Cayrol, est dit par Michel Bouquet. Le film tire son titre du nom donné aux déportés aux camps de concentration par les nazis, les NN (Nacht und Nebel), qui semblaient ainsi vouloir jeter l'oubli sur leur sort.

Le convoi 50 La constitution du Convoi n° 50 Seul le hasard des événements fait que je me suis intéressé à ce convoi. C’est la première fois que j’entreprends une étude personnelle sur la déportation1 . Pour éviter d’enfoncer une porte ouverte, je me suis d’abord assuré auprès des Archives Départementales des Pyrénées-Atlantiques à Pau que cette liste n’y figurait pas dans le fonds « Camp de Gurs ». Le Mémorial de la Déportation des Juifs de France de Beate et Serge Klarsfeld (Paris 1978, FFDJF), consacre un long développement à ce convoi, reparti le 4 mars 1943 de Drancy pour Majdanek sous le numéro 50 et au convoi 51 parti le surlendemain pour la même destination. Le convoi 50 a été pour l’essentiel formé d’internés partis de Gurs (Pyrénées Atlantiques) le 27 février 1943. La liste Pau Manuscrite sur deux cahiers d’écolier, elle recense les internés par sous-convoi d’arrivée à Gurs3 . La liste USHMM Dactylographiée, elle note le départ du convoi de Gurs pour Drancy5 . La liste Rivesaltes

Alice Mordoh Photo d’illustration Le témoignage d’Alice reflète bien ce qu’elle et sa famille ont vécu durant la guerre et combien il a fallu de chance (et de bienveillance humaine de la part de son entourage) pour qu’ils se retrouvent vivants en 1945 en France. — Mes parents sont tous les deux nés à SALONIQUE en Grèce. La famille de mon père Juda Mordoh est arrivée en France en 1921, sa mère Delicia Mordoh et deux autres enfants plus jeunes que lui, son frère Jacques/Jacob et sa sœur Esther. Ma mère, Donna Yuda a quitté Salonique à l’âge de 19 ans. En 1932 ma sœur Béatrice ((Betty pour ses amis) est née – la sage-femme a refusé le prénom de Binuta que mes parents souhaitaient lui donner -, puis en 1935 je suis née, j’aurais dû m’appeler Delicia, mais la sage-femme a aussi refusé… Notre famille était très unie, il y avait une grande communauté juive dans le quartier, on était toujours les-uns chez les autres, toujours bien reçus ; nous avions plusieurs tantes (des vraies et des fausses !)

Juifs de Pologne en France 1 École nationale d’administration (ENA). 2 AN-F/9/5638, 5687, fiches du fichier « individuel » de la préfecture de police de la Seine (adultes (...) 1Je voudrais rappeler en guise de liminaire, l’échange radiophonique entre Elisabeth Huppert, ancienne élève de l’ENA1 et Odette Daltroff-Baticle, internée le 15 juillet 1942 à la prison des Tourelles puis au camp de Drancy et libérée le 29 mai 19432, lors d’une émission de France Culture dimanche 28 août 1988 et intitulée « Escalier de départ » : 3 Odette Daltroff-Baticle à Drancy : « Escalier de départ » par Elisabeth Huppert, France-Culture, di (...) - Quand les Allemands ont déménagé les meubles, témoigne Odette Daltroff-Baticle, il paraît qu’ils ont laissé des choses dans la cour, entre autres des photos... 2La photographie de famille surprend parfois, émeut et surtout instruit. 5La collecte se poursuit. 9Second aspect de cette quête familiale : la réticence – plus ou moins prononcée – des familles à confier leurs documents et photos.

LE GÉNOCIDE JUIF "De 1941 à 1945, on estime que 5 100 000 personnes, sans distinction d'âge, de sexe et de religion, furent assassinées pour la seule raison qu'elles étaient considérées comme juives par L' État nazi et que, comme telles, elles constituaient une menace mortelle pour la race aryenne. Ce chiffre représentait alors les deux tiers de la population juive d'Europe et le tiers du peuple juif tout entier. "L' État criminel" . Les Génocides au XXe siècle. Yves Ternon. Seuil. CHRONOLOGIE DE LA DEPORTATION, La mise en place du génocide juif chronologie de 1933 à 1946 Le mobile : " Le nazisme était une énigme et un cauchemar, mais la clé de tous les aspects de cette énigme est le dogme nazi de la race ". Herschel Grynszpan, jeune juif polonais, assassina en 1938, le conseiller de l'ambassade d'Allemagne à Paris. 9 novembre 1938 : La Nuit de Cristal La nuit de cristal " Je ne veux pas repenser au passé, car il a perdu tout son sens. Karl Hofer, Prisonniers, 1933 Shoah,la genèse de la décision Les progroms

déportés et fusillés ( Belgique) Before you go . Woorden om even stil te staan Je m’appelle François Nivarlet, n° matricule 54.343 j’ai été déporté à Buchenwald, Dora, Harzungen puis Ellrich, j’ai fait le convoi de la mort jusqu’Oranienburg(usine Heinkel) puis libéré le 24/04/45 par les Russes et je suis toujours vivant. Ils ne m’ont toujours pas eu !!! Merci de ne pas nous avoir oublié… Rechtzetting informatie Henri Van Borm Op de website stond verkeerdelijke informatie betreffende Henri Van Borm . Onderstaande informatie werd mij door de archivaris van Breendonk overgemaakt : Het verhaal van Henri Van Borm is niet eenvoudig. Op het proces van Mechelen moest hij ook verschijnen als beklaagde; als Zugführer (kameroverste) in Breendonk had hij bij sommige medegevangenen geen correcte indruk gemaakt. Niettemin is het wel duidelijk dat hij het tijdens de bezetting goed kon vinden met de Duitsers. Wegens stopzetting van mijn hobby zijn alle boeken over het verzet in WO 2 te koop . Patrick.Praats@Pandora.be yjlehegarat@wanadoo.fr

LES POGROMS Le maire actuel de Jedwabne, Stanislaw Maichalowski, 48 ans, a entendu parler de l'histoire pour la première fois quand il avait 8 ans, mais il n'y a jamais vraiment réfléchi. Et puis il a lu le livre de Gross. «Comprendre ce qui s'est passé ici, confie-t-il, c'est écrasant.» Ses administrés ne sont pas tous du même avis. L'édile reçoit lettres et coups de téléphone anonymes. Le livre de Gross est paru en Pologne au printemps 2000. Débarrassée du régime communiste et de son historiographie officielle et plus critique, aussi, envers l'Eglise, autrefois toute-puissante, la Pologne, longtemps perçue par ses habitants comme un vénérable «Christ parmi les nations», apprend à se regarder dans les yeux, quitte, parfois, à se faire peur. Marc Epstein, publié dans le journal "l'Express" le 12/04/2001. (1) Publié ces jours-ci en Grande-Bretagne et aux Etats-Unis (indisponible en français). À partir du printemps 1946, les Juifs rentrent d’URSS. Les assassinats dans les trains se répandent. 1. 2.

Holocaust Timeline: Nazis Liquidate Lidice On May 27, 1942, SS Obergruppenführer Reinhard Heydrich, Deputy Reich Protector of Bohemia and Moravia, had been attacked in Prague by Free Czech agents who were trained in England and brought to Czechoslovakia to assassinate him. They shot at Heydrich as his car slowed to round a sharp turn, then threw a bomb which exploded, mortally wounding him. Heydrich managed to get out of the car, draw his pistol and shoot back at the assassins before collapsing in the street.

Génocide tsigane Les Tsiganes ont de tout temps été persécutés par les Etats et ce tant en Europe Orientale qu'en Europe Occidentale. Ils ont été réduits en esclavage en Roumanie, mis aux galères en France et déportés dans les colonies en Angleterre. Ils étaient persécutés parce qu'ils étaient différents, différents par leur apparence, différents par leur mode de vie et différents par leur culture. Allemagne L'arrivée des Nazis au pouvoir ne marqua pas une rupture avec la politique précédemment poursuivie. Depuis le XIXème siècle, la "race tsigane" était présentée comme une race étrangère et inférieure.

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