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Dorothea Lange

Dorothea Lange
On devrait employer l'appareil photo comme si demain on devenait aveugle. Dorothea Lange. Dorothea Lange (1895 - 1965) est cette grande photographe américaine qui aura poussé si loin l‘empathie et la compassion avec la chair blessée du peuple américain que son œuvre devient témoignage, amour du prochain et cri de révolte. Elle aura eu une profonde influence sur ce qui deviendra le photo journalisme, la photographie documentaire. Elle ne se souciait point de cadrage ou d’esthétisme, mais de rendre dignité et émotion aux gens ordinaires, à ceux qui sont le peuple, mot qui fait tant peur encore aujourd’hui. Elle qui vivait au chaud dans sa carrière toute tracée, en 1920 à San Francisco, comme photographe de portrait des riches bourgeois, ressent très vite l’appel des routes et de la poussière du monde. haut de la page Les traces de sa vie, les traces de l’exode Dorothea Lange était en sorte prédestinée à devenir le porte-image, le porte-parole, des laissés pour compte de la vie. En français

Dorothea Lange Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Dorothea Lange Dorothea Lange assise sur une Ford B en 1936. Biographie[modifier | modifier le code] Ses photographies poignantes des sans-abris attirent l'attention de la Resettlement Administration (devenue plus tard la Farm Security Administration), qui la recrute comme photographe officielle en 1935. Dorothea Lange et la FSA[modifier | modifier le code] Il est difficile de parler de photojournalisme sans parler de la crise de l'entre-deux-guerres américaine. Les années qui suivent le krach boursier du 24 octobre 1929 sont surnommées « the bitter years » (« les années amères ») : le krach entraîne une crise économique sans précédent aux États-Unis, aggravée par une sècheresse dans les États du sud. La prochaine mission de Dorothea Lange se déroule dans le cadre de la Federal Emergency Relief Administration (« Office de l'aide d'urgence fédérale »), qui a fondé le camp de Marysville. Hommage[modifier | modifier le code]

Variations autour des commémorations Raymond Depardon SL © Radio France De la Grande Guerre à la Libération de Paris.. 1ère Partie : Avec Raymond Depardon, grand photographe venu du journalisme, considéré comme l'un des maîtres du film documentaire, parrain de l'exposition sur Les Monuments aux Morts aux Rencontres photographiques d'Arles. Et Jean-Noël Jeanneney, Professeur émérite à l'Institut d'études politiques de Paris, historien du politique et des médias, président du conseil scientifique des Rendez-vous de l’histoire de Blois, président des Rencontres d’Arles... Jean-Noël Jeanneney a exercé de nombreuses responsabilités dans le domaine de la culture et de la communication. Jean-Noël Jeanneney Corinne Amar © Radio France Il est producteur de Concordance des temps. Autour de 13h20, « Toute première vue » : Quelle œuvre est à l’origine de votre vocation, votre passion pour l’art contemporain ? Aujourd'hui, Jean-Michel Othoniel, artiste plasticien. 2ème partie :

Analyse d’une photo célèbre: "La mère migrante" de Dorothea Lange | ArtPhotoHeritage Essayons de comprendre ce qui fait qu’une photo, plutôt qu’une autre, attire le regard dès les premiers instants, et reste en mémoire pour toujours. Pourquoi une photo de Dorothea Lange, plutôt qu’une autre de la même époque, sur le même sujet, ne vous quittera jamais… C’est ce que je vais essayer de couvrir dans ce premier article d’une série sur les photos célèbres avec quelques explications sur les circonstances, l’environnement, la technique, l’histoire du sujet et l’impact que la photo a pu avoir sur le photographe et son modèle, pas toujours volontaire… La mère migrante de Dorothea Lange Copyright et mentions légales Les Documents relatifs au négatif original sont gardés par la Library of Congress aux Etats-Unis. Nom original de la photo: "Destitute pea pickers in California. Traduction: ramasseurs de petits pois indépendants en Californie. Histoire, contexte Mars 1936. Le camp où s'installe la famille Les 5 premiers clichés de Dorothea Lange | Migrant Mother Qu’était la FSA? Like this:

[ARCHIVES] RAYMOND DEPARDON | Un moment si doux MEDITERRANEERaymond DepardonEditions Xavier Barral – En coédition avec le MuCEM, à l’occasion de son exposition – Octobre 2014 Du Liban des années 1960 à Marseille aujourd’hui, en passant par Alexandrie, Valence, les plages de Palavas, Naples et Rimini, Raymond Depardon nous offre un moment si doux en Méditerranée composé de photographies pour la plupart inédites. Un voyage en Méditerranée au fil du tempsÀ l’occasion de l’exposition Un moment si doux présentée au MUCEM, Raymond Depardon s’est replongé dans ses archives et a sélectionné plus de 80 photographies prises sur le pourtour méditerranéen. Ces clichés, en couleur et noir & blanc, n’avaient, pour la plupart, jamais été publiés. Toujours en prise avec le réel, le photographe pose un regard à la fois aigu et bienveillant sur cette région. Il nous fait revivre ce concentré de Méditerranée à travers les époques. Sommaire :- Avant-propos, Hervé Chandès- Choses vues, Clément Rosset annexes : liste des oeuvres exposées - bibliographie

Le sourire de Marie Dorigny Alors que la presse rencontre toutes les difficultés à produire le moindre sujet photo d’envergure, l’agence Française de développement et le magazine Polka, après délibération d’un jury présidé par Alain Mingam, ont donné hier soir à la merveilleuse photographe Marie Dorigny le prix du meilleur projet de reportage. Cette femme est réputée pour s’attaquer à des sujets difficiles : l’esclavage domestique, le travail des enfants dans le monde, la condition des femmes en banlieue etc. Elle a été mainte fois publiées dans la presse et cette fois-ci, elle peut envisager sereinement de prendre le temps nécessaire afin de réaliser un reportage début 2014 en Afrique, et rendre compte de l’accaparement des terres arables par les investisseurs internationaux et de leurs terribles conséquences sur les populations. La dotation est à hauteur de 15000 euros. Le jury :

MARIE DORIGNY: LE TALENT AU SERVICE DE CAUSES JUSTES... Il y a des gens comme ça... Lorsque vous vous croisez leurs regards, vous y lisez une détermination implacable. Celle de ceux qui luttent vraiment, sans rien attendre en retour que la victoire. Marie Dorigny fait partie de ces êtres humains. Très humains. - Kitetoa: peux-tu-te présenter brièvement ? - Marie Dorigny: j’ai 40 ans, je suis née à Grenoble où j’ai passé les 20 premières années de ma vie à ne pas trop me poser de questions. Donc au bout de sept ans j’ai démissionné. - Quels sont les grands thèmes que tu abordes au travers de ton métier, à part le travail des enfants ? - Les deux premières années, j’ai commencé avec le tout-venant. J’avais l’impression d’effleurer les problèmes et de ne pas avoir le temps de rester dans les pays pour rencontrer vraiment les gens. En 1992, j’ai eu la chance de travailler avec Capa qui faisait un documentaire pour les Nations-Unies sur l’exploitation des enfants dans le monde. Après il y a tout ce qui se passe au niveau humain et vécu.

René Maltête : photographe

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