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10% de nos bouteilles d’eau minérales contiendraient des pesticides

10% de nos bouteilles d’eau minérales contiendraient des pesticides
C’est une étude réalisée par le magazine 60 Millions de consommateurs et la fondation France Libertés qui a permis la découverte de pesticides et de médicaments dans nos bouteilles d’eau… L’étude scientifique a porté sur 47 bouteilles d’eau, trois bonbonnes et plus d’une dizaine d’échantillons d’eau du robinet de trois départements. Parmi ces échantillons, on retrouve des traces de pesticides et de résidus de médicaments dans 10 bouteilles et dans l’eau du robinet ! En regardant l’étude de plus près, on trouve les noms des différents composants qui polluent notre eau, de l’atrazine qui est un désherbant, et des médicaments contre le cancer du sein (du tamoxifène)… Cependant l’association relativise cette découverte : « Dans tous les cas, il ne s’agit que de traces qui ne remettent pas en cause la potabilité de l’eau. Mais elles révèlent à quel point notre environnement peut être contaminé« .

Un moucheron attaque l'empire des OGM | Antidote Europe Le professeur Gilles-Eric Séralini a publié une étude montrant les effets d’une alimentation contenant du maïs OGM sur une dizaine de rats. Difficile d’ignorer le tapage médiatique qui s’en est suivi ! Il est peu probable que les autorités en charge de la santé publique en tiennent compte. Pourtant, il serait facile d’établir, une fois pour toutes et par des méthodes fiables, donc sans rats « modèles, l’éventuelle toxicité des OGM pour l’homme. Par Claude Reiss Les médias nous ont abreuvés pendant une quinzaine fin septembre 2012 avec les résultats du CRIIGEN (G.E. L’OGM testé est du maïs modifié pour résister à l’herbicide Roundup produit par Monsanto aussi. Quelques milliards et beaucoup de polémique Utilisé massivement depuis 40 ans, le Roundup a été l’objet de très nombreux travaux tendant à démontrer ou à nier sa nocivité. La publication de l’étude de l’équipe Séralini n’a pas échappé à cette règle. Revenons sur Terre L’animal, modèle de l’homme ? Les victimes du « modèle animal »

informations médicales indépendantes À 17 ans, elle invente une machine à dialyse miniature et bon marché - Sciencesetavenir.fr HÉMODIALYSE. À tout juste 17 ans, Anya Pogharian, étudiante en première année au collège Marianopolis au Québec a développé un appareil de dialyse qui pourrait profondément changer la façon dont ce type de soin est dispensé. Sa petite taille et, surtout, son prix extrêmement réduit permettrait de faciliter l’accès aux dialyses dans des pays où ces engins coûteux sont très difficiles d'accès. La dialyse, ou plus exactement l'hémodialyse, devient nécessaire pour les personnes souffrant d'une maladie des reins conduisant à une insuffisance rénale importante. Un coût divisé par 60 C'est en effectuant une mission bénévole au service des dialyses de l'hôpital général de Montréal que la jeune inventrice, sensibilisée à l'accès aux soins dans les pays en développement, a eu l'idée de fabriquer elle-même le prototype d'une machine à la fois peu coûteuse et transportable. "La machine agit comme un rein artificiel en filtrant le sang, explique Anya Pogharian au journal Métro canadien.

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