Impression tridimensionnelle Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'impression 3D ou impression tridimensionnelle sont les termes courants utilisés pour parler des procédés de fabrication additive. Initialement, en raison de leurs défauts originels, ces procédés ont été développés pour le prototypage rapide, mais maintenant ils sont de plus en plus utilisés pour la fabrication de pièces fonctionnelles. L'impression tri-dimensionnelle permet de produire un objet réel : un opérateur dessine l'objet sur un écran en utilisant un outil de Conception assistée par ordinateur (CAO). Selon le procédé une panoplie de matériaux peut être utilisée : le plastique (ABS), la cire, le métal[1], le plâtre de Paris[2] , les céramiques et d'autres encore. Les applications vont de l'industrie - la production de voitures[3], d'avions[1],[4], de bâtiments, de biens de consommation, etc., à la visualisation de projets, de vérification d'ergonomie pour l'architecture ou les études de design. En 2013[modifier | modifier le code]
Pourquoi les entreprises doivent adopter l’impression 3D dès maintenant Selon Gartner, « le moment est idéal » pour expérimenter cette technologie, alors que les imprimantes 3D vont passer à une utilisation et des tarifs bien plus accessibles. L’impression en trois dimensions est en train de passer d’un marché de niche à un marché généralisé. Les entreprises qui tardent à examiner comment la technologie pourrait leur être bénéfique seront désavantagées sur le plan de l’innovation par rapport à leurs rivales qui prennent la technologie au sérieux. Tel est le message essentiel à retenir d’une nouvelle note de recherche de Gartner, l’un des plus grands cabinets de conseil et d’études informatiques. Cette note de recherche explique qu’à l’heure où l’impression 3D est de plus en plus adoptée, le moment est idéal pour expérimenter la technologie, en recherchant des moyens d’être plus efficace, d’économiser de l’argent et d’améliorer les produits, car le prix des imprimantes 3D baisse et continuera de baisser. Tester en prenant un risque minime À lire aussi
Incroyable mais vrai : l’imprimante 3D solaire qui fonctionne au sable Lors du dernier Meetup Sculpteo, quelqu’un expliquait que le verre aurait été découvert pas des soldats Égyptiens : à force de rester sans bouger au soleil avec leurs grands boucliers réfléchissant la lumière du soleil devant eux, sur le sable, celui-ci finissait par durcir et changer de propriété. Sans être certain de la véracité de la légende, il semble en effet que les premiers verres artisanaux trouvent leur source en Mésopotamie ou en Égypte, au troisième millénaire avant Jésus-Christ. Coïncidence ou pas, c’est encore en Egypte, en mai 2011, que Markus Kayser a tenté une expérience étonnante. Ce designer industriel allemand, étudiant du Royal College of Art de Londres a inventé la première imprimante solaire fonctionnant avec du sable. Il travaille aujourd’hui au MIT Media Lab (Cambridge, USA). La première imprimante 3D solaire qui utilise du sable, et aucun liquide… Voici l’expérience telle qu’il la raconte sur son site (traduction « libre ») :
Comment l’impression 3D va révolutionner le monde et le Retail Fabrique-moi un mouton LE MONDE CULTURE ET IDEES | • Mis à jour le | Frédéric Joignot On les appelle les "makers" ("ceux qui fabriquent"). Ce mouvement international de passionnés de high-tech et d'impression 3D prétend réinventer le capitalisme et révolutionner la production des biens de consommation. Il veut en finir avec la standardisation des objets courants, défier l'obsolescence programmée, arrêter les délocalisations, réindustrialiser les villes sans les polluer, relancer l'artisanat. Chris Anderson dirige à présent une petite usine de drones et de robots volants à San Diego, Californie. Avec ces machines, n'importe quel artiste, designer, architecte ou particulier de talent peut modéliser en 3D un objet ou un prototype auquel l'industrie n'a pas pensé, puis le fabriquer, sur son imprimante 3D ou en passant par une entreprise équipée pour, en plastique, en plâtre, en résine, en aggloméré ou en métal. Comment fonctionne l'impression tridimensionnelle ? L'imprimante 3D est l'objet-culte des makers.
Impression 3D : «Le rêve, c’est d’en finir avec la production de masse» Figne. Concrètement, ça marche comment une impression 3D ? Coralie Schaub.L’idée est de produire un objet réel a partir d’un fichier CAO en découpant ce fichier en tranche puis en déposant de la matière couche par couche pour recomposer l’objet. EcoFutur, le supplément de l'économie en mouvement par Libération Dam. C.S. Jijé. C.S. Dam. C.S. Dogstyle. C.S. Alinsky. C.S. Gnuuurff. C.S. Bonob0h. C.S. Yy. C.S. Moyen. C.S. Roky. C.S. Gloubi. C.S.
This 3D printer makes edible food - Jan. 24 An experimental 3D food printer "prints" frosting on a cupcake.By Laurie Segall, staff reporterJanuary 24, 2011: 10:11 AM ET NEW YORK (CNNMoney) -- A 3D food printer sounds like something out of Star Trek, but it's not out of this world. It's up and running at the French Culinary Institute in Manhattan -- and in five years, it could be in your home. As part of a project at Cornell University, a group of scientists and students built a 3D printer and began testing it out with food. It doesn't look like a traditional printer; it's more like an industrial fabrication machine. "You hand [the computer] three bits of info: a shape that you want, a description of how that shape can be made, and a description of how that material that you want to print with works," says Jeff Lipton, a Cornell grad student working on the project. The project came out of Cornell's Fab@Home venture, headed up by associate professor Hod Lipson. Lipton thinks food printing will be "the killer app" of 3D printing.
Votre design 3D devient réalité avec l'impression 3D Des tissus synthétiques créés avec une imprimante 3D | Médecine Ce nouveau type de matériau est formé de milliers de gouttelettes d'eau encapsulées chacune dans un film de graisse et reliées entre elles, et capables d'effectuer certaines fonctions des cellules du corps humain. Ces «réseaux de gouttelettes» pourraient être des composantes d'une nouvelle technologie pour administrer des médicaments et potentiellement remplacer des tissus endommagés de l'organisme. Étant donné que ce matériau est entièrement synthétique, sans génome et sans capacité de réplication, il permet d'éviter les problèmes rencontrés avec d'autres types de tissus artificiels, tels que ceux utilisant des cellules souches humaines, expliquent les auteurs de ces travaux parus dans la revue américaine Science datée du 5 avril. Ce matériau synthétique peut aussi être conçu pour prendre différentes formes une fois imprimé. Ainsi une structure plate peut être programmée pour se replier et prendre une forme sphérique qui ne peut pas être directement obtenue par l'impression en 3D.
Les 10 objets imprimés en 3D les plus prometteurs L’impression 3D sera sans doute un des vecteurs de la 3ème révolution industrielle. Or pour certaines applications, elle est déjà bien intégrée dans notre vie. Voici 10 objets réels ou en conception qui vont révolutionner notre monde. Du domaine médical à la haute couture en passant par le sport ou l’aéronautique vous allez voir que l’impression 3D est déjà bien parmi nous ! 1. En août 2002, un chirurgien de l’Hôpital Universitaire de Californie (Hôpital pour enfant Mattel) a pu réduire considérablement le temps de son intervention chirurgical grâce à l’impression 3D. Pour le futur: de plus en plus d’opérations chirurgicales auront recours à l’impression 3D. 2. Ces créations du designer belge Iris van Herpen sont entièrement réalisées à partir de l’impression 3D et sont apparues lors de la semaine de la mode à Paris en janvier 2013. 3. L’industrie automobile utilise depuis plusieurs années le procédé d’impression 3D pour le prototypage. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10.
Une imprimante 3D fabrique des objets en verre Un objet en pâte de verre, d'abord dessiné sur écran et ensuite réalisé par l'ordinateur. © University of Washington Une imprimante 3D fabrique des objets en verre - 2 Photos A l'Université de Washington, Mark Ganter et ses collègues du Solheim Rapid Manufacturing Laboratory travaillent depuis de nombreuses années sur ce que l'on appelle les imprimantes 3D, capables de fabriquer des objets. A l'origine, cette technique, appelée stéréolithographie, utilisait la polymérisation de résine par un laser piloté par un ordinateur et balayant la surface. Un logiciel peut ainsi, tranche par tranche, solidifier la résine pour matérialiser un modèle numérique. Toujours utilisée dans l'industrie, et même en chirurgie, cette technique reste très coûteuse mais une autre méthode est apparue, reprenant, elle, le principe d'une imprimante à jet d'encre. Grant Marchelli prépare son imprimante 3D en étalant une fine poudre de verre. © University of Washington À voir aussi sur Internet Sur le même sujet