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Humaniste - Carl Rogers

Humaniste - Carl Rogers
Portrait de Carl Rogers Il a principalement œuvré dans les champs de la psychologie clinique, de la psychothérapie, de la relation d'aide (counseling), de la médiation et de l'éducation. Sa méthode met l'accent sur la qualité de la relation entre le thérapeute et le patient (empathie, congruence et considération positive inconditionnelle). Cette approche a été introduite en France sous l'appellation de méthode non-directive dans les années 1950, mais Carl Rogers l'avait déjà dénommée psychothérapie centrée sur le client (« Client-Centered Therapy ») puis approche centrée sur la personne (« Person-centered Approach »). Une étude publiée en 2002 dans la Review of General Psychology a classé Carl Rogers comme le 6ᵉ psychologue le plus important du XXe siècle[1]. Biographie[modifier | modifier le code] Enfance et études[modifier | modifier le code] Les trois attitudes rogériennes[modifier | modifier le code] L'empathie (ou verbalisation) s'exprime par des messages verbaux et non verbaux. 1930. Related:  Courants pédagogiquespsychologues, pedagogues et autres chercheurspédagogie pour adulte

Comportementaliste / Behaviouriste _ SKINNER Burrhus Frederic (B. F.) Skinner (March 20, 1904 – August 18, 1990) was an American psychologist, behaviorist, author, inventor, and social philosopher.[1][2][3][4] He was the Edgar Pierce Professor of Psychology at Harvard University from 1958 until his retirement in 1974.[5] Skinner invented the operant conditioning chamber, also known as the Skinner Box.[6] He was a firm believer of the idea that human free will was actually an illusion and any human action was the result of the consequences of that same action. If the consequences were bad, there was a high chance that the action would not be repeated; however if the consequences were good, the actions that led to it would be reinforced.[7] He called this the principle of reinforcement.[8] He innovated his own philosophy of science called radical behaviorism,[9] and founded his own school of experimental research psychology—the experimental analysis of behavior, coining the term operant conditioning. Biography[edit] Theory[edit]

Champ libre (1/1) : « Janusz Korczak : la parole est aux enfants » Un documentaire de Dominique Prusak et Anna Szmuc Korczak avec des enfants à Goclawek en juillet 1927 « Je me souviens, c’était à Varsovie avant la Seconde Guerre mondiale. J’étais une petite fille. J’écoutais beaucoup la radio. J’avais mes émissions préférées. Ainsi parle Halina Bortnowska, journaliste et intellectuelle polonaise rencontrée à Varsovie. Janusz Korczak, de son vrai nom Henryk Goldszmit, naît en 1878 dans une famille juive libérale de Varsovie. Créateur et animateur d’orphelinats, il instaure dans chaque établissement une société démocratique pour les petits pensionnaires. Le premier septembre 1939, les Allemands envahissent la Pologne. Pour Sur les Docks Dominique Prusak et Anna Szmuc rencontrent des enseignants et des animateurs, férus de ses écrits et pourvus de sa pratique qui continuent et adaptent les préceptes du « vieux docteur » partout dans le monde. « les souffrances des petits ne sont pas des petites souffrances. Avec : Halina Bortnowska, journaliste et écrivaine.

Abraham Maslow Abraham Harold Maslow, né le 1er avril 1908 à New York et mort le 8 juin 1970 à Menlo Park en Californie, est un psychologue américain humaniste, considéré comme le père de l'approche humaniste en psychologie. Il est connu pour son explication de la motivation par la hiérarchie des besoins humains, souvent représentée par la suite sous la forme d'une pyramide. Biographie[modifier | modifier le code] Abraham Harold Maslow est né le 1er avril 1908 à Brooklyn, New York. Abraham Maslow meurt à Menlo Park en Californie, le 8 juin 1970 d'une crise cardiaque[1]. Travaux et apports[modifier | modifier le code] Abraham Maslow reste une référence pour de nombreux psychologues dans le monde entier. Les premières recherches de Maslow ont concerné le comportement des animaux (chiens, singes) et les déterminants du comportement humain en société. Théorie de la motivation et des besoins[modifier | modifier le code] Les expériences paroxistiques («peak experience»)[modifier | modifier le code] ↑ (en) « Dr.

Modèle social - John DEWEY Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Dewey. John Dewey XIXe siècle-XXe siècle John Dewey en 1902 Sa philosophie est d'abord marquée par l'instrumentalisme, c'est-à-dire par sa volonté de rompre avec une philosophie classique qu'il voyait comme plus ou moins liée à la classe dominante, pour en faire un instrument permettant aux hommes de mieux s'adapter au monde moderne. Dewey a participé également, en parallèle avec le Nouveau Libéralisme anglais, à la constitution de ce qui est actuellement nommé le « social-libéralisme » dont il se situe à l'aile gauche. Biographie[modifier | modifier le code] Son parcours[modifier | modifier le code] Les années de jeunesse[modifier | modifier le code] Les années à l'université de Chicago[modifier | modifier le code] En 1886, il se marie à Alice Chipman, une femme d'une grande force de caractère dont il a six enfants. Maturité et postérité[modifier | modifier le code] Bibliothèque Harper de l'université de Chicago.

les besoins de l'enfant selon Jacques Salomé - vae eje article issu de : Dans son livre Papa, Maman, écoutez-moi vraiment , Jacques Salomé définit 8 besoins des enfants à partir de la pyramide des besoins de Maslow. 1. Les besoins de survie à la base de la pyramide sont des besoins vitaux primaires : manger, boire, dormir, éliminer les besoins naturels, respirer. 2. Le besoin de sécurité est comblé quand l’enfant est protégé, aimé, quand il est entendu et consulté, quand il peut se dire et être reçu. Les besoins de survie et de sécurité sont repris dans la déclaration des Droits de l’Enfants au niveau international : 3. Le besoin d’appartenance (cher également à Jane Nelsen dans son livre La discipline positive ) revêt une importance capitale pour le bon développement des enfants, que ce soit appartenir à une famille, un milieu, une ethnie, un ensemble de croyances. 4. L’enfant a besoin de participer à la vie de la famille, de se sentir utile au bon fonctionnement de la classe, de prendre part à la vie sociale. 5. 6.

Philippe Meirieu Philippe Meirieu en 2012. Philippe Meirieu, né le 29 novembre 1949 à Alès (Gard), est un chercheur, essayiste et homme politique français, spécialiste des sciences de l'éducation et de la pédagogie[1]. Professeur émérite en sciences de l'éducation à l'université Lumière-Lyon 2 depuis 1985, il a mené de nombreuses recherches, en particulier sur la différenciation pédagogique et la philosophie de l'éducation. Il a dirigé et fait soutenir 49 thèses[2]. Philippe Meirieu est issu d'une famille catholique proche de l'Action Française. Il commence sa carrière comme animateur pédagogique au lycée privé Notre-Dame du Grandchamp à Versailles au milieu des années 1970. De 1990 à novembre 1993, il est membre du Conseil national des programmes[6]. À la rentrée 1993-1994, Philippe Meirieu reprend, à côté de ses activités universitaires, un enseignement de français dans un lycée professionnel de Vénissieux (le lycée Marc-Seguin). Il prend sa retraite en octobre 2014 à presque 65 ans.

Faire apprendre : vocation, profession, occupation ou passe-temps ? Il existe plusieurs appellations pour nommer celui à qui on donne le mandat de faire apprendre. Qu’on le nomme enseignant, professeur, maître, formateur, animateur, pédagogue, instructeur, moniteur ou éducateur, sa fonction est toujours essentiellement la même : amener la personne en formation à changer. Là où le bât blesse le plus souvent, c’est dans la manière d’agir de celui qui est en avant de la classe pour atteindre le but et les attentes de la formation qui fait en sorte que la raison d’être de la fonction s’en trouve dénaturée. Entre l’intention et l’action, il y a la compétence. Contrairement à la pensée populaire, être un enseignant ou un formateur compétent ne relève pas d’un don que l’on reçoit à la naissance. Il est vrai que certaines personnes ont des aptitudes à faire apprendre qui semblent nous indiquer que cela relève plus de ce qu’ils sont que de ce qu’ils savent. Faire apprendre a toujours été, et est encore, une tâche complexe. Like this: J'aime chargement…

Dolto, Françoise : 1908-1988 video La psychanalyse selon Françoise Dolto G. Juttner, psychiatre et psychanalyste, commente les propos tenus par Dolto sur la psychanalyse lors des conférences qu'elle... video Dolto : les débordements de pouvoir des adultes Selon Françoise Dolto, il faut très rapidement dire aux enfants que les adultes n'ont pas tous les droits sur eux. Dolto : souffrance de l’enfant et rôle de la parole En 1983, lors de ses conférences au Canada, Dolto livre des propos décisifs sur la souffrance de l'enfant. Malcolm Knowles Il développa un modèle andragogique par opposition au modèle pédagogique traditionnel qui prend en compte les caractéristiques spécifiques de l'adulte dans le processus d'apprentissage. Cette approche s'inscrit dans le courant de l'humanisme contemporain qui s’est développé en réaction au behaviorisme qui a prévalu durant la première moitié du XXe siècle. Malcom Knowles, Carl Rogers, et Abraham Maslow sont les précurseurs de ce courant qui préconise l'apprentissage d'une manière autonome avec une prise en compte essentielle des besoins affectifs et cognitifs[1]. Carrière scientifique[modifier | modifier le code] Malcom Knowles commence sa carrière universitaire grâce à l'obtention d'une bourse à l'université de Chicago. En 1951, il devient directeur exécutif de l'association d'éducation des adultes. À la fin des années 1950, Malcom Knowles devient professeur associé à l'université de Boston[2] jusqu'en 1974. Références bibliographiques[modifier | modifier le code] Knowles, M.

Connaître les grands courants de l'apprentissage Bien souvent, enseignants et apprenants manquent de recul sur leurs pratiques. Ceci, parce qu'ils ignorent les grands principes connus qui régissent l'enseignement et l'apprentissage. Dans ces conditions, les choix pédagogiques relèvent de l'intuition et des représentations, et les insatisfactions de part et d'autres sont mal vécus. Le comble c'est quand pour un choix proclamé, le socioconstructivisme par exemple, on en vient à soumettre les apprenants à une pédagogie de transmission. De la connaissance des courants de l'apprentissage et du choix de l'un d'eux, on pourra définir un scénario pédagogique qui fait sens avec les objectifs visés. Dans une vidéo d'une quizaine de minutes intitulée L'évolution de l'apprentissage à travers le temps, Judith Cantin, conseillère pédagogique en intégration des TIC, propose de survoler les grands courants de l'apprentissage. Vision de l'apprentissageRôle de l'enseignant et de l'élèveForces et limitesPistes de réflexion.

Les 4 besoins affectifs fondamentaux des enfants (selon Isabelle Filliozat) Que donner nos enfants pour qu’ils soient aptes à affronter le XXI° siècle ? 1. La confiance La confiance est un concept générique qui recouvre plusieurs dimensions : la confiance de base C’est une confiance profonde dans son corps. Isabelle Filliozat définit la sécurité intérieure comme une sensation physique élaborée dans le contact avec les parents : c’est la sensation d’être confortablement installé à l’intérieur de soi, bien assis dans sa base, dans sa colonne vertébrale, dans son sacrum » (os qui maintient les vertèbres ensemble au niveau du bassin). Elle écrit que le portage, le cododo, l’allaitement, les massages, tout ce qui favorise le contact physique entre le bébé et ses parents augmente la sécurité intérieure du jeune enfant. la confiance dans l’autre La confiance dans l’autre se nourrit de la certitude qu’il répondra à nos besoins. Cette confiance dans l’autre se construit dans les premières semaines de l’existence. la confiance en sa propre personne la confiance relationnelle 2.

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