Le Reste du Monde L'échange international est-il bon pour la croissance? L'échange international ouvre un accès aux ressources et aux techniques du reste du monde. Il devrait être un facteur de croissance majeur. Mais les bénéfices de l'ouverture sont inégalement répartis et ne peuvent se concrétiser sans un certain protectionnisme. Il y a donc complémentarité entre ouverture et protectionnisme. 1. Les économistes de la Banque mondiale et du Fonds monétaire international (FMI) s'évertuent à montrer, avec un certain succès, que les pays les plus ouverts sur l'extérieur connaissent une croissance plus rapide.
Baisse de l’euro et désinflation compétitive : quel pays en profitera le plus ? par Bruno Ducoudré et Eric Heyer Pendant près de deux ans, entre le milieu de l’année 2012 et 2014, l’euro s’est apprécié face aux principales monnaies du monde. En s’établissant à 1,39 dollar en mai 2014, l’euro avait vu sa valeur augmenter depuis juillet 2012 de plus de 12 % face au dollar. Au cours de la même période, la monnaie européenne s’était appréciée de 44 % par rapport au yen et de plus de 3 % face à la livre sterling. Depuis le mois de mai 2014, cette tendance s’est inversée : après s’être apprécié de près de 10 % entre mi-2012 et mi-2014, le taux de change effectif réel de l’euro, qui pondère les différents taux de change en fonction de la structure du commerce de la zone euro, s’est ainsi déprécié de 5,2 % au cours du dernier semestre (graphique 1). De nombreux acteurs et spécialistes du monde économique voient dans cette baisse de l’euro la possibilité de sortir du piège de la déflation qui menace aujourd’hui la zone euro.
Commerce: l'Europe défend son accord avec le Canada - Les Echos Politique Le Sénat bascule à droite et compte deux élus FN La droite a reconquis ce dimanche la majorité au Sénat qu’elle avait perdue en 2011. Le FN fait son entrée dans la Haute Assemblée avec deux élus. Diaporamas DIAPORAMA Sénatoriales : les entrants et les sortants La moitié des sièges du Sénat sera renouvelée dimanche. Dossiers DOSSIER Les élections sénatoriales 2014 A l’issue du scrutin du 28 septembre, le Sénat a basculé à droite et comptera pour la première fois deux élus Front national.
Entreprises - Les groupes français multinationaux en 2011 - 53 % de salariés hors France 53 % de salariés hors France Colette Héricher et Agnès Topiol, division Profilage et traitement des grandes unités, Insee Résumé En 2011, les groupes français multinationaux hors banques contrôlent 35 400 filiales à l'étranger. Ces filiales représentent 53 % de leur chiffre d'affaires et de leurs effectifs. Sommaire Publication 150 grands groupes emploient 82 % des salariés à l'étranger De plus en plus, les entreprises s'internationalisent, non seulement à travers le développement des exportations, mais aussi en créant des filiales ou en prenant le contrôle d'unités existantes à l'étranger. En 2011, les groupes français multinationaux, hors secteur bancaire, contrôlent 35 400 filiales à l'étranger. Le déploiement international est avant tout le fait des 150 plus grands groupes. Haut de page 5 millions de salariés à l'étranger, dont 3 millions hors UE Les groupes français emploient à l'étranger 5 millions de salariés, dont 3 millions hors Union européenne (UE). Sources Définitions Bibliographie
Entreprises - Chaînes d'activité mondiales : des délocalisations d'abord vers l'Union européenne Des délocalisations d’abord vers l’Union européenne Lionel Fontagné, Université Paris 1 et Aurélien D’Isanto, Insee Résumé Entre 2009 et 2011, 4,2 % des sociétés marchandes non financières de 50 salariés ou plus implantées en France ont délocalisé des activités et 3,1 % l’ont envisagé sans le faire. Sommaire Encadré Délocalisations et suppressions d’emplois, quel chiffrage ? Publication En trois ans, 4,2 % des sociétés marchandes non financières de 50 salariés ou plus ont délocalisé des activités Depuis vingt ans, l’environnement mondial de l’activité des sociétés localisées en France a profondément changé. On s’attend à ce qu’une firme concentre ses ressources sur les activités pour lesquelles elle dispose d’un avantage, et envisage de contracter avec d’autres firmes pour le reste. En 2012, 28 000 sociétés marchandes non financières, employant au moins 50 salariés à la fin 2008, étaient implantées en France. Source : Insee, enquête Chaînes d’activité mondiales. Retour au sommaire Encadré
ÉCONOMIE • L'euro plonge, l'Allemagne se réjouit La monnaie unique est tombée le 5 janvier à son plus bas niveau depuis neuf ans. De quoi conforter une fois de plus les entreprises allemandes, qui dépendent largement de leurs exports. Courrier international 6 janvier 2015 | Partager : Ce 5 janvier, la monnaie européenne a chuté à 1,186 dollar, soit son plus bas niveau face au billet vert depuis neuf ans. Si l'euro dégringole de façon aussi vertigineuse, c'est que la question de la sortie de la Grèce de la zone euro a agité les places financières, à la suite d'une information dévoilée par l'hebdomadaire Der Spiegel selon laquelle le gouvernement allemand jugerait "quasiment inévitable" que ce pays sorte de l'euro si la gauche radicale remporte les élections législatives du 25 janvier. Autre bonne nouvelle pour l'économie allemande, souligne le quotidien économique : la chute du prix du pétrole au second semestre 2014.
This map shows which export makes your country the most money Editor's note: This story was originally published in May 2014. Using data from the CIA World Factbook, we labeled every country in the world by its highest valued export, aka the commodity that makes the country the most money in the global market. Unsurprisingly, much of the world runs on oil, particularly the Middle East and Central Asia. Europe is the world's workshop, where most of the machinery and motor vehicles are made, from optical instruments to BMWs. Click on any of the maps below to see an enlarged version.
Le protectionnisme, une des causes du ralentissement du commerce mondial (Global Trade Alert) The 18th Global Trade Alert Report, novembre 2015 Le commerce mondial décroît depuis octobre 2014. Selon un rapport du Global Trade Alert* préparé pour le G20 qui s'est tenu en novembre 2015 à Antalya en Turquie, la forte hausse des mesures protectionnistes explique en partie ce ralentissement. Le 18ème rapport du Global Trade Alert , établi pour le compte du Centre for Economic Policy Research, pointe une forte contraction des échanges mondiaux. Selon les auteurs, le repli du commerce mondial n’est pas seulement dû à la baisse du prix des matières premières et du pétrole, à la hausse du dollar américain, ou au ralentissement de la croissance chinoise. Selon le Global Trade Alert, les produits manufacturés qui représentent la plus grande part du recul des exportations mondiales sont précisément ceux qui sont les plus ciblés par des mesures protectionnistes. The Tide Turns?
Le graphique Xerfi - Commerce extérieur : 20 ans de descente aux enfers Thèmes et idéesNos invitésNos analysesÉmissions Les incontournables Alexandre Mirlicourtois Le Royaume-Uni va tomber dans une grave récession Julien Pillot Comprendre la matrice du BCG Alexandre Boulègue Le marché du mobilier urbain Le graphique Xerfi : Comprendre les sources de compétitivité de la France Accueil > Nos émissions > Le graphique > Le graphique Xerfi - Commerce extérieur : 20 ans... Le graphique Xerfi - Commerce extérieur : 20 ans de descente aux enfers Partager TéléchargerRegarder plus tardEn savoir plus On l’a oublié, mais le commerce extérieur français n’a pas toujours été déficitaire. Mots clés : Economie française, Prévision et conjoncture, Déficit, Commerce extérieur, Exportations, Importations, Excédent Ceux qui ont aimé ont aussi apprécié Alexandre Mirlicourtois Ces secteurs phares qui tirent la croissance française Alexandre Mirlicourtois Matières premières : la flambée ou la rechute ? Alexandre Mirlicourtois L'Italie et l'Espagne à l'assaut du marché français Twitter Mots-clés x