Comment l entreprise fixe-t-elle le prix d un produit? - PDF Téléchargement Gratuit 1 Comment l entreprise fixe-t-elle le prix d un produit? Questions induites : - Existe-t-il une méthode unique de fixation des prix? - Pourquoi un même produit a-t-il différents prix? - Pourquoi certains produits comme les cigarettes ont un prix identique? - Pourquoi certains prix augmentent-ils? varient-ils? 2 I - FIXATION DU PRIX EN FONCTION DE LA DEMANDE (SEGMENTATION) L exemple d un billet de train A partir du site voyage-sncf.com (dans la rubrique train, calendrier des prix) réaliser une simulation de réservation pour un voyage aller Montpellier Paris en TGV en seconde classe, en respectant les contraintes suivantes : Situation Prix Un voyageur sans réduction Un élève de seconde de PFEG qui dispose de la carte 12/25 ans Un senior de 70 ans qui bénéficie de réduction senior Confrontation des résultats Quels sont les critères utilisés par la SNCF pour fixer le prix de vente du billet de train? 5 III La composition d un prix décomposition du prix d une paire de baskets 1. par jour.
Prix et concurrence- Cours marketing Le prix est une arme concurrentielle qui permet à l'entreprise de se différencier de la concurrence. Pour connaître les prix des concurrents, l'entreprise peut faire des relevés de prix sur les points de vente, se référer au tarif des catalogues, ou encore effectuer des études auprès des consommateurs. 1 - Le prix du marché C'est une pratique assez répandue qui traduit une cohérence collective dans un secteur afin de dégager une rentabilité suffisante. Les entreprises se positionnent par rapport à leurs concurrents principaux et choisissent de vendre leurs produits au même prix, un peu plus cher ou un peu moins cher. Certaines entreprises peuvent également stratégiquement s'écarter du prix du marché (tout en restant dans une limite proche) : elles peuvent choisir de se placer à un niveau de prix supérieur (surcote du marché) ou à un niveau inférieur (décote du marché). Trois choix s'offrent à l'entreprise. 2 - Le prix de soumission
Comment fixer le prix de son produit ou service ? L’entreprise n’évolue pas en vase clos. Il existe sans doute des acteurs qui opèrent déjà dans votre secteur d’activité. Une autre méthode consiste justement à fixer les prix en fonction de la concurrence. Pour ce faire, plusieurs sources d’informations existent. A partir de votre relevé de prix, plusieurs choix sont possibles : Soit vous vous alignez Dans cette hypothèse, vous estimez que votre offre correspond aux standards pratiqués dans votre domaine et que le prix moyen relevé chez la concurrence correspond aux attentes des clients pour ce type de produit ou service. Soit vous « cassez » les prix En optant pour une stratégie agressive sur les prix, vous espérez captez une clientèle de déçus ou d’insatisfaits que vous avez identifié lors de l’étude de marché, par exemple. Soit vous augmentez le prix de manière significative Ce peut être le cas si vous optez par exemple pour une stratégie haut de gamme ou de niche.
Guerre des prix : comment la grande distribution contourne les nouvelles règles Sur fond de grogne des « gilets jaunes » pour le pouvoir d’achat, la nouvelle ne pouvait pas tomber plus mal pour le gouvernement. L’application de la loi agriculture et alimentation (EGalim) du 30 octobre 2018, dite loi alimentation, va entraîner, dès vendredi 1er février, une hausse des tarifs sur 4 % des produits alimentaires de grande marque présents dans les supermarchés. Cette inflation concernera des produits aussi connus que le Nutella, le Ricard ou le Coca-Cola, a admis, mercredi 30 janvier, le ministre de l’agriculture Didier Guillaume. La raison ? Le relèvement de 10 % du seuil de revente à perte (SRP) – la limite de prix en dessous de laquelle un distributeur ne peut revendre un produit – imposé par la récente loi. Lire aussi Hausse des prix alimentaires : le vrai du faux L’Etat espère ainsi que la distribution pourra mieux rémunérer les producteurs. Voilà pour la théorie. Lire aussi Le projet de loi sur l’agriculture et l’alimentation définitivement adopté
Comment fixer ses tarifs ? 3 facteurs incontournables | LMK Training Quelle que soit votre activité, vous vous êtes sûrement déjà posé cette question délicate : comment fixer mes prix ? Cette question revient d’ailleurs très régulièrement au cours du cycle de vie d’une entreprise. Est-ce le moment de revoir nos prix ? Comment ? La fixation de vos tarifs va en fait bien au-delà de la détermination d’un chiffre ! Cette semaine, j’ai donc décidé de vous aider à répondre à cette question de vos tarifs ! Lorsque je demande à mes clients, comment ils ont fixé leur tarif, ils me répondent souvent (au choix) : J’ai appliqué les mêmes tarifs que le marché sans vraiment me poser de questionJ’ai appliqué un taux horaire et multiplié par le nombre d’heures travaillées (à peu près….)J’ai calculé mes coûts et appliqué une marge de X% (réponse de mes clients qui aiment un peu plus les chiffres)Je suis convaincu(e) des bénéfices de mes services, j’ai donc des prix élevés.Je suis pas très sûr(e) de moi, j’ai donc des prix bas 1. 2. 3. Je vais prendre un exemple :
Définition Guerre des prix | Lexique du marketing Révisez les concepts-clés du marketing et suivez les dernières tendances du marketing avec le dictionnaire bilingue français-anglais de Mercator 12e éd. Ces 732 définitions proposent des renvois complémentaires aux pages de Mercator 12e édition. Guerre des prix - Price war Politique de prix ou situation de marché dans laquelle des entreprises s’adonnent à des réductions mutuelles de prix pour affaiblir ou éliminer leurs concurrents. Voir Mercator 11e édition, p. 273. VIP Zone de Mercator Le saviez-vous ? Le site mercator-publicitor.fr propose de nombreuses ressources numériques (fiches de révision, Boîte à outils, quiz corrigés et commentés). Mots-clés : définitions marketing (2)
La Guerre Des Prix: Que Faire Si Vos Concurrents en Réduisent le Prix Que dites-vous aux gens qui vous disent qu'ils n'ont pas de concurrents? Every business has competition, n'importe comment innovantes il pourrait être. Google a de la concurrence (AltaVista, Exciter), Facebook a de la concurrence (MySpace, Orkut) et même le plus puissant, Apple avait de la concurrence (HP, IBM) quand ils ont commencé. Et où il y a de la concurrence, il y a des guerres de prix. Exactement comment faire face à une guerre des prix? Dans ce post, nous allons vous montrer comment gagner quand les concurrents baisse de leurs prix. Téléchargement gratuit de PDF: Infographie: Comment Gagner une Guerre des Prix Écoutez cet article Étape #1: Ne pas s'engager dans une guerre des prix L'histoire de l'entreprise est rempli avec les cadavres des entreprises qui ont perdu la guerre des prix. De combien d'argent avez-vous en réserve, et combien d'argent pouvez-vous faire (et à quel taux) si nécessaire? Étape #2: L'utilisation de ces stratégies à la bataille de prix plus bas Un. C. Un. B. C.
Faire face à l'arrivée d'une enseigne concurrente Quand Gisèle Richard a appris l'arrivée d'un Zara à deux pas de sa boutique de vêtements multimarque, à Nantes, elle a eu des frissons dans le dos. «Je me voyais déjà mettre la clé sous la porte, confie-t-elle. Mais j'ai vite compris que je pourrais en retirer certains avantages, en jouant notamment la carte de la fidélisation client.» Comme cette commerçante, les indépendants qui apprennent l'arrivée d'un concurrent, a fortiori une grande enseigne, éprouvent une certaine angoisse. Pourront-ils résister à l'offre, à la communication, aux prix pratiqués en face? Comment réagira la clientèle? Réagir progressivement Carol Bleitrach, propriétaire de quatre boutiques de prêt-à-porter féminin dans la région lilloise, observe et écoute ainsi ses clientes pour anticiper leurs demandes. Pour Brigitte Bagela, «il faut faire une liste de ses atouts, que l'on décidera de renforcer, comme par exemple la spécialisation dans tel domaine, des vitrines bien placées, une clientèle fidèle. . . Repères
Les marques face à la guerre des prix – Nielsen La tension sur les prix s’installe durablement Souvenez-vous fin 2012, lorsque la guerre des prix a débuté, tout le monde pensait que cela ne durerait qu’un temps. Mais, loin d’être juste un phénomène ponctuel et un « coup de poker », finalement, les prix des références du PGC-FLS sont en baisse depuis 50 mois, du jamais vu dans toutes archives de Nielsen ! Certes, nous sommes aujourd’hui à des niveaux de baisse moins forts qu’il y a encore 2 ans (-0,9 % en avril 2017 contre -1,8 % en avril 2015), mais la réalité est que la baisse des prix est devenue la nouvelle « règle du jeu » de la grande distribution. Au-delà de la stratégie commerciale décidée « en centrale », la densification de l’offre commerciale sur le terrain relaye encore plus fortement la tension sur les prix. Face à cette concurrence de plus en plus forte, la première réaction pour « garder la main » et endiguer la perte de trafic reste d’abord le prix des grandes marques. La perception des consommateurs change
Télécoms : la guerre des prix se tasse un peu avant les enchères 5G Depuis 2012 et l'arrivée de Free Mobile, la guerre des prix sur les forfaits mobiles a fait rage pour capter la clientèle et réaliser des bons coups sur le dos des concurrents. Si la situation est régulièrement dénoncée par Orange (tout en y participant), dans le sens où elle ne permet pas vraiment de créer de la valeur, elle tend à se calmer en 2019, après une année 2018 agitée. Le journal Les Echos notent que les promotions sont moins nombreuses mais de plus longue durée et avec des offres un peu moins agressives. L'Arcep a noté la tendance au dernier trimestre 2018 en comptabilisant 510 000 forfaits vendus, contre 860 000 sur la même période un an auparavant. L'année dernière a été marquée par les promotions "à vie" lancées initialement par SFR au lieu des habituelles fenêtres de quelques semaines de souscriptions. Le coup de frein observé dans la guerre des prix présente plusieurs causes.
La guerre pour acheter moins cher: un impératif de survie pour la distribution Rien ne semble arrêter le combat mortifère auquel se livrent depuis dix ans les mastodontes de la distribution et les géants de l'industrie agroalimentaire. Pas même une loi censée mieux régenter leurs relations commerciales, dont l'encre n'est pas encore sèche ; pas même leurs engagements respectifs, pris ces dernières semaines au nom du soutien du monde agricole français. Pendant des décennies, depuis la fin des années 50, les deux camps ont partagé le même intérêt, travaillant main dans la main pour accompagner leur croissance respective: en dynamitant le petit commerce, les entrepreneurs de la grande distribution moderne (hyper et supermarchés) ont constitué des empires ; ils ont aussi favorisé la création de géants de l'industrie alimentaire parmi ceux qui ont accepté de les suivre dans leur aventure. Cet article est réservé aux abonnés. Il vous reste 77% à découvrir. Abonnez-vous : 1€ le premier mois Annulable à tout moment