Différenciation pédagogique : l'apport du jeu vidéo à l'Ecole Voilà l’exemple d’un neuroarticle pour neuroneuneus. Il est normal que « les résultats ne [soient] pas à la hauteur des attentes » puisque justement les élèves sont tous différents. Pour que les résultats soient à la hauteur des attentes, il faudrait un prof par élève, et parmi les profs, un certain nombre avec bac +75. « Par exemple, un enfant qui s’avère être plus lent à écrire que le reste de la classe (pour des raisons qui peuvent d’ailleurs être médicales) pourra se voir dispensé d’écrire les consignes des exercices afin de conserver son « énergie cognitive » pour la résolution de la tâche principale demandée (celle qui fait l’objet de la compétence en cours d’apprentissage) » Pas du tout : un enfant qui n’écrit pas n’écrira pas mieux s’il n’écrit pas. Excusez-moi, mais « énergie cognitive » je ne connais pas. Ouhah, du verbiage imprécis qui sent la maîtrise du sujet ! Je me souviens d’une expérience qui a été faite dans une université US.
Quand la didactique passe par le jeu vidéo Pourquoi un jeu à saveur pédagogique ne serait-il pas aussi populaire que Civilization V, dont on voit ici une illustration? Sophie, 17 ans, vit chez sa grand-mère. Mais celle-ci doit s'en aller dans une maison de retraite. Sophie va devoir trouver un nouveau toit (Le toit est la structure couvrant la partie supérieure d'un édifice, permettant principalement de protéger son intérieur contre les intempéries et l'humidité.) et subvenir seule à ses besoins. Jim, lui, décide à 18 ans de quitter la maison (Une maison est un bâtiment de taille moyenne destiné à l'habitation d'une famille, voire de plusieurs, sans être...) parentale pour vivre par ses propres moyens. Voilà le scénario de Ping, un jeu vidéo (La vidéo regroupe l'ensemble des techniques, technologie, permettant l'enregistrement ainsi que la restitution d'images animées, accompagnées ou non de son, sur un support adapté à l'électronique et non de type photochimique. Ludique ou pédagogique? Emmanuel Mandart
Les jeux vidéo, utopies contemporaines ? Actuellement inextricables de la sphère sociale, les jeux vidéo viennent supporter et diffuser des valeurs hypermodernes dont l’hypercapitalisme, indélogeable de nos modes d’existences et de nos manières de penser. Ceux-ci véhiculent des idéologies au même titre que les autres médias et œuvres contemporaines. Mais leur particularité vient du fait que les jeux vidéo canalisent toutes les critiques et soupçons d’une culture populaire industrielle. Il devient alors difficile de poser une critique scientifique construite et de l’explorer dans toute sa complexité. Il y a pourtant une nécessité à développer dans la recherche et le game design une pensée critique des valeurs et représentations présentes par les jeux vidéo, comme elle est développée ailleurs en Études Culturelles. Archéologie de l’utopie : constat sur notre société contemporaine Les définitions de l’utopie varient suivant la position de pouvoir qu’occupe celui qui l’emploie[i]. Publications Congrès international IHM 2008, Metz
5 étapes pour intégrer le jeu en classe L’approche par le jeu s'efforce de tirer parti des désirs naturels des gens pour la compétition, la réalisation de soi, le statut social, l'expression de soi et l'altruisme. Une des stratégies de base de ce mouvement est de récompenser les joueurs qui accomplissent des tâches désirées. Au début des années 2010, les premières initiatives ont été mises en place par certaines compagnies. Ces expériences avaient pour but de fidéliser la clientèle ou d’augmenter celle-ci. Par exemple, Starbucks a mis en place un système avec Foursquare. À chaque fois qu’un client visitait un café, il recevait une insigne qui confirmait sa visite. Le milieu de l’éducation fait aussi partie de ce mouvement. Plus près de chez nous, le produit québécois Netmaths permet aux élèves d’accumuler des étoiles d’or qui leur donnent accès à des missions spéciales. Tout ceci est bien intéressant, mais comment, concrètement, intégrer le jeu en classe? 2) Ne pas oublier le cerveau! 5) Jouer!
faites vos jeux LEÇON 8 : les ingrédients du jeu Les ingrédients de tous les jeux sont les mêmes, mais leurs combinaisons sont infinies : - la parole évidemment, pour annoncer son action, pour négocier, pour répondre à une question… Il n’est pas inutile de définir ce que chaque joueur doit ou peut dire dans le jeu. - le papier / crayon : feuille libre, tableau à remplir, liste à cocher, documents ressources, feuille de personnage… - les dés, pour faire intervenir le hasard. - les cartes, à tirer au hasard, à capitaliser, à négocier et échanger, d’aide-mémoire, d’action (chaque carte représente une action possible), à poser (sur un plateau de jeu ou sur une table)… - les pions, plus ou moins symboliques, pour montrer une capitalisation (des points par exemple), une occupation d’un espace, une valeur d’échange, une action… Ces pions peuvent être tous identiques ou être différenciés. Aucun de ces ingrédients n’est obligatoire ! Exemple de la création de « Cuba 1962 » Ces cartes sont de deux types :
Utiliser les jeux sérieux en classe : à quoi faut-il penser ? Les points d'attention à porter avant d'envisager un usage en classe sont finalement assez proches de ceux que l'on peut avoir pour toute ressource numérique à quelques nuances près. C'est le manuel pour l'enseignant « Les jeux électroniques en classe » [1] qui offre le détail des points clés le plus élaboré actuellement. Ainsi, il indique tout d'abord qu'il sera nécessaire, avant de se lancer, d'évaluer les aspects techniques des jeux qui devront être adaptés à la configuration de la salle informatique. Par exemple la présence des plugins flash ou java souvent nécessaires. De la même manière, il faudra, pour le cas des jeux en ligne, envisager les connexions simultanées au regard de la bande passante. La qualité de l'affichage (écran, carte graphique, vitesse du processeur…) est un élément à prendre en compte pour ne pas que la technique devienne un frein. Il faudra également pouvoir indiquer aux élèves les configurations requises s'ils souhaitent jouer depuis leur domicile.
Le jeu en classe de langue Curieux d’en savoir plus sur les jeux vidéo ? Découvrez le dossier que Thot Cursus y a consacré. Au menu (liste non exhaustive) : Créer son premier jeu vidéo avec Unity Cette formation vidéo, accessible aux débutants, vous permettra d’apprendre les bases de Unity le plus simplement possible, en créant votre premier jeu vidéo avec ce logiciel. Créer une chaîne de Streaming Pro facilement Dans ce tuto vidéo, vous apprendrez à créer votre chaîne de streaming grâce au logiciel gratuit et open source OBS (Open Broadcaster Software) sur la plateforme Twitch TV. Construire des mondes virtuels Assassin’s Creed, Call of Duty, Halo: autant de jeux vidéo inter¬actifs adoptés par des millions d’amateurs à travers le monde. VTS Editor, logiciel auteur pour créer rapidement et simplement vos Serious Games Serious Factory propose un éditeur de simulations comportementales pour le marché du Digital Learning, Virtual Training Suite™ Editor. Génération gamers : qui a peur des jeux vidéo ?
Comment les Serious Games deviennent un outil e-learning | RSE En comparaison de l’approche classique du e-learning, l’approche via les serious games est devenue aujourd’hui une réalité. Si il y a 10 ans, il fallait encore voir la généralisation des serious games comme un « rêve », et surtout comme une situation conditionnée par une évolution profonde dans le domaine de la formation, aujourd’hui les choses sont bien plus ouvertes. « Le e-learning permet de transmettre des connaissances à distance et de proposer des exercices pour valider l’acquisition de ces connaissances. L’apprenant mémorise et restitue les acquis lors de tests. Le serious game se différencie du e-learning en permettant une mise en pratique concrète« . Une révolution dans le domaine du e-learning Dans le contexte de crise où les entreprises cherchent un investissement rentable à court terme et des gains financiers rapides, le e-learning offre une réponse adéquate à ces enjeux majeurs. E-learning et Serious Games La formation doit évoluer pour « impliquer » le formé