Brand Content PRODUITS DE LUXE/Etude Bain: le marché global devrait croître de 7% en 2012 PRODUITS DE LUXE/Etude Bain: le marché global devrait croÎtre de 7% en 2012 Zurich (awp) - Le marché global des produits de luxe devrait croÎtre de 7% en 2012 et afficher un chiffre d'affaires de l'ordre de 200 mrd EUR. La Chine restera le moteur de la croissance, selon une étude réalisée par Bain & Company et Fondazione Altagamma, et publiée mercredi. Les turbulences de la zone euro et les craintes d'un ralentissement conjoncturel influent peu sur la demande en produits de luxe. Les tendances majeures, qui ont contribué depuis la récession de 2008/2009 à la vigueur de la reprise, devraient se confirmer. Avec des taux de croissance de 2 à 4% en Europe, de 5 à 7% en Amérique et de 2% au Japon, les marchés établis atteindront leur sommet absolu en 2012. Le segment des accessoires de luxe connaitra une croissance à deux chiffres, soit supérieure à celle du marché global. mk/rt/mm/rp
Veille sur l’actu : mes outils préférés et leur mode d’emploi pour les journalistes Je ne suis pas un geek. Les nouveaux outils qu’offre le web, on me les fait découvrir davantage que je ne les déniche. Par contre j’aime tester de nouvelles applications, et disposer de solutions pour faciliter mon travail. Un journalisme à haute valeur ajoutée s’ancre avant tout dans les relations que l’on construit avec ses sources. Cela ne veut pas dire que l’on puisse se permettre d’ignorer les vastes possibilités offertes par l’informatique pour être plus efficace. Je vais donc vous présenter le mode d’emploi, les avantages et les limites des principaux outils que j’utilise pour faire de la veille sur l’actualité : alertes Google, Twitter, Delicious et Netvibes. Quant aux technophiles, sans doute plus avancés que moi, réagissez et partagez vos recettes! 1. C’est quoi? Un site internet personnalisable qui permet d’agréger des flux RSS. Les + - Une interface ergonomique et personnalisable. Vue de Netvibes (présentation sous forme de blocs) Les – : Le petit truc en plus : 2.Delicious Les –
Le luxe maintient la cadence et porte les résultats de PPR | Économie par Pascale Denis PARIS (Reuters) - PPR a annoncé jeudi des résultats portés par la performance de ses activités dans le luxe, qui ont poursuivi sur leur lancée au deuxième trimestre malgré les craintes de tassement liées au ralentissement économique en Chine. Le groupe propriétaire de Gucci, Bottega Veneta, Yves Saint Laurent, Fnac et Redcats, a fait état d'un résultat opérationnel courant en hausse de 20% à 815,3 millions d'euros, la très forte progression du luxe (+30%) ayant compensé les contre-performances de l'équipementier sportif Puma (-11%) et les pertes de la Fnac. La croissance organique du pôle luxe a atteint 17,4% au deuxième trimestre, maintenant la cadence par rapport aux 17,6% du premier, alors que les analystes tablaient sur un ralentissement aux alentours de 15,7%. La griffe florentine, deuxième marque mondiale de luxe derrière Louis Vuitton (groupe LVMH) a encore amélioré sa marge à 30,1% (contre 29,9% il y a un an).
Check-in - Check-IN demain - 2012 sera une année F.O. R.M.I.D.A.B.L.E 2012 sera une année F.O. R.M.I.D.A.B.L.E Publié le 16 janvier 2011 Que nous réserve 2011? Depuis quatre ans, l'équipe du planning stratégique de Australie passe à la loupe les grandes tendances de l'année écoulée afin d'aider ses clients à anticiper leur communication. Alors que nous réserve 2011? Alors, comment aborder positivement cette "traversée du désert", alors même qu’en France, c’est la morosité qui l’emporte? «Face à cette conjoncture, une première réaction l’emporte. Face à cette pause, cette quasi hibernation mentale, comment réagir ? Alors si en 2011, on travaillait sur ces signaux positifs? - Premier signal: les consommateurs attendent que les marques mettent de la valeur dans ce qu’elles font. - Deuxième signal: le consommateur s’informe et se mobilise pour mieux maîtriser: il compare, négocie, vend, revend et achète, et se regroupe pour acheter moins cher. - Troisième signal: le consommateur soigne sa relation aux autres. Retrouvez l'intégralité de l'étude ici
Le secteur du luxe défie la crise, à l'image de LVMH Le numéro un mondial du luxe, LVMH, a annoncé lundi 15 octobre des ventes en hausse de 15% à 6,9 milliards d'euros au troisième trimestre, conformes aux prévisions des analystes, et s'est dit "confiant pour l'année 2012" malgré le "contexte de ralentissement économique en Europe". Sur neuf mois, la progression est de 22%, là aussi conforme aux attentes, à 19,86 milliards d'euros. Le groupe détient notamment Louis Vuitton, Céline, Givenchy, les champagnes Moët et Chandon, Dom Pérignon et Veuve Clicquot, les parfums Guerlain et Dior, mais aussi les montres Tag Heuer, Hublot et le joailler Bulgari. Toutefois, la croissance organique a continué de ralentir au troisième trimestre, contre 12% sur l'ensemble du premier semestre. Un marché mondial supérieur à 200 milliards d'euros Au-delà de LVMH, c'est tout le secteur du luxe qui se porte bien. Il précise d'ailleurs que cette nouvelle prévision reste basée sur le scénario le plus timide. Les Chinois, premiers clients du luxe (Avec AFP)
TENDANCES 16 Les alliances entre marques se multiplient Ferrari-Apple : partenariat entre les deux marques « les plus puissantes du monde » Le constructeur automobile italien a dévoilé en mars dernier, au salon de l’automobile de Genève, son tout nouveau modèle : LaFerrari. Une voiture hybride prochainement commercialisée au prix de… un million d’euros ! • Ce modèle s’illustre entre autres par un partenariat avec Apple. • Plus de détails sur la collaboration entre les deux marques devraient être annoncés dans les mois à venir. • Ce rapprochement s’effectue entre les deux marques les plus puissantes (« powerful ») du monde, à en croire le classement effectué par le cabinet britannique d’évaluation des entreprises Brand Finance. • Avec ce partenariat, Ferrari donne des gages à ses clients sur la qualité de l’équipement multimédia (ce n’est pas là-dessus que la marque italienne a forgé sa réputation). Plus d’infos : Le Nouvel Observateur Smart et BoConcept conçoivent des produits ensemble • Le partenariat présenté en vidéo : Les Echos Le Monde Danone
Apple Relaxes Restrictions on Mobile App Development Today, Apple announced it is relaxing the previous restrictions on the use of third-party development tools for the creation of mobile applications on iOS, the operating system that powers the iPhone, the iPad and the iPod Touch. Specifically, sections 3.3.1, 3.3.2 and 3.3.9 of the iOS Developer Program license have been modified with new language that rolls back some of the changes that were enacted earlier this year. The first two sections included restrictions on the use of development tools that allowed developers to code in languages familiar to them, like Adobe Flash, then port those applications to the iOS platform. Section 3.3.9 also placed restrictions on the use of third-party software within an app whose purpose was to collect and analyze app usage data. According to the Apple press release, these decisions were made because the company "listened to our developers" and has "taken much of their feedback to heart." The full text of the Apple Press Release is below:The App Store?
Tendance # 3 : #SPLINTERNET Tablettes, Smartphones, Applications, réseaux sociaux : l’explosion du nombre des canaux et formats fragmentent l’audience toujours un peu plus Le nombre de canaux continue de se multiplier Après l’arrivée de la radio, de la TV, de l’email, des sites web, des réseaux sociaux,… chaque jour continue d’amener de nouveaux canaux qui se disputent l’attention de l’audience : applications mobiles, jeux vidéos connectés à Internet, social games, bornes interactives, chaînes de la TNT, projections interactives, géolocalisation, affiches intelligentes avec Usnap de JC Decaux, TV connectée à Internet, nouvelles interfaces de gaming avec Move de Playstation ou Kinect sur Xbox… Même le digital se fragmente en un « Splinternet » Après 10 ans d’un web reposant majoritairement sur les mêmes standards (le html et le protocole http, consommés généralement via un navigateur), celui-ci est en train de se fragmenter. Internet cherche sa voie : « web jukebox » vs « web punk »