GÉNÉRATION Y • La génération du mieux-travailler Un bon job, du temps libre, mais aussi un engagement éthique : les revendications des 20-30 ans pourraient changer nos vies professionnelles, affirme ce grand hebdomadaire allemand. En bien. Pour beaucoup, Fifi Brindacier, la gamine indépendante inventée par la Suédoise Astrid Lindgren, est l’héroïne d’enfance par excellence. On pourrait parfaitement qualifier la génération des trentenaires qui explorent actuellement avec assurance le marché du travail allemand de “génération Fifi”. Prenez Ingo Kucz, 32 ans. Ne pas sacrifier sa vie à son boulot Le samedi, il construit des jeux en plein air. Ce jeune père de famille fait partie d’une nouvelle génération d’actifs, une génération qui veut autre chose : travailler autrement, vivre autrement, être autrement. Pour le chercheur berlinois Klaus Hurrelmann, il s’agit de la troisième génération depuis 1945 qui fait changer l’Allemagne. La génération Y attend de l’entreprise qu’elle change de mentalité et tienne compte de ses désirs. Faux-semblants
Les jeunes mécènes, futurs philanthropes de la culture? Il y a quelque temps sur le blog, j’évoquais la possibilité de développer le mécénat individuel pour la culture. En effet, lorsqu’on parle de « mécénat » dans les organismes culturels, il s’agit systématiquement du mécénat d’entreprise, alors que bien d’autres formes de collecte existent – et restent à inventer ! Cette semaine donc, je souhaitais revenir sur quelques cas de mécènes individuels, notamment à travers les exemples du groupe des jeunes du Comité Français pour la Sauvegarde de Venise et les cercles de jeunes mécènes qui se développent dans de nombreux organismes culturels français. On parlera donc des jeunes philanthropes – si, effectivement, 57% des dons proviennent des 60 ans et plus, impliquer les plus jeunes est sans doute essentiel, et représente un enjeu sur le long terme. Développer la philanthropie des particuliers pour la culture, un enjeu En ce qui concerne la culture, le mécénat individuel a encore du mal à se développer véritablement. «Génération Odéon » Images:
“Le concept de ‘Génération Y’ dessert les jeunes dans le monde du travail” | Le blog de Lilia Hassaine Selon les derniers chiffres de l’Insee, plus d’un quart des jeunes actifs seraient au chômage en France. Ces derniers peinent à accéder au marché de l’emploi, et ce, pour plusieurs raisons : manque d’expérience pour les uns, de qualification pour les autres, les emplois “précaires” sont le lot de la dite “génération Y”. De fait, le concept même de “génération Y” est de plus en plus décrié. Génération Y, une aubaine pour l’entreprise ? On la décrit comme une “chance” pour les entreprises : la génération Y, c’est d’abord la génération qui succède à la génération X. Ce discours est notamment celui de “consultants en management” qui ont fait de la génération Y leur domaine d’expertise. L’aspect générationnel serait donc le moteur de grands changements à venir dans la gestion des ressources humaines ; la contribution des managers se doit désormais d’être personnalisée et individualisée, afin de faciliter le métissage intergénérationnel… un atout pour l’entreprise. Et les jeunes dans tout ça ?
Young Donors Are Turned Off by Out-of-Date, Uninformative Web Sites - Fund Raising By Cody Switzer Colleges and other nonprofit organizations that want to persuade people in their 20s and early 30s to give and volunteer don't have much of a chance if they're not updating their Web sites frequently and including compelling details about their causes and the people they serve, according to a survey released on Thursday. Three out of four donors born from 1979 to 1994—a generation often referred to as Millennials—said they were turned off when a nonprofit group's Web site had not been updated recently. Six in 10 said they wanted nonprofits to share stories about successful projects and programs, and appreciated information about an organization's mission and the people it serves. What especially bothers them: Too much information about the group itself, said Derrick Feldmann, chief executive of Achieve, a consulting company that advises nonprofits on how to work with young donors. Monthly Giving Appeals But young donors are open to making small donations more frequently.
Top 10 Millennial Trends and Predictions for 2013 For more than 16 years, Buzz Marketing Group has been a leader in identifying Millennials’ trends and insights. Each January, we publish our trend predictions for the coming year. Our biggest trends in the past have included Wharholism, Instanity, Massclusivity, and Conscious Consumption. Below is our list of trends in 2013 — and what each might mean to your brand this year: 1. Social Voice. When it comes to their privacy, Millennials will demand to be heard even more in 2013. 2. In a recent relationship study, 46 percent of our Millennial respondents said they were in a relationship. 3. Gabrielle Bernstein, known as the “Dalai Lama for the Gossip Girl set,” is leading a new generation in all things spiritual. 4. Can’t we all just get along? 5. Millennials still believe in the value of a traditional education, but that’s not the only vehicle in which they’re interested. 6. 7. Millennials are still fighting the idea of traditional employment. 8. 9. 10. Image Credit: Shutterstock.com
Young vs Older Donors: Who is More Generous? Surprisingly to many, younger donors give about as much as older donors. According to a recent study by Campbell & Company at the Center on Philanthropy at Indiana University, donors across all generations give roughly the same amount to charity even when controlled for factors such as income, education and religiosity. The study looked at more than 10,000 people across five generations and their giving trends. Here are some of the highlights of the results: Members of the Millennial generation are more likely than any other generation to cite the "desire to make the world a better place to live" as a key motivator for their philanthropic giving. Members of the Silent generation (born between 1929 and 1945) are more likely to cite "need to provide services that the government can't or won't" as one of their most important motivations for giving. The biggest take-away from this research, however, is that nonprofits should ask more of young donors.
Motiver la génération y avec la pyramide de maslow et besoin de réalisation Nous avons vu dans les articles précédent les évolutions de la pyramide de Maslow face aux nouveaux comportements. Après le besoin sécuritaire, le besoin d’appartenance et le besoin d’estime, voici aujourd’hui le dernier d’entre-eux : le besoin de réalisation. Ce niveau vise à sortir d’une condition purement matérielle pour atteindre l’épanouissement personnel. Ce qui a changé : Le rapport au temps Les précédentes générations savaient qu’il fallait parcourir un chemin long et planifié pour parvenir à se réaliser. Le sacrifice que consentaient volontiers les précédentes générations (sacrifice au travail, au devoir, à l’accumulation de richesses…) ne fait plus sens pour cette nouvelle génération « Pourquoi attendre toute une vie pour être heureux, qui sait de quoi demain est fait ? Elle a appris que l’abnégation trouvait rapidement ses limites dans un monde en perpétuel changement et qui n’offrait pas forcément de récompense en retour des efforts fournis. La valeur travail
Philanthropy 2.0: Young Donors Are Plugged In « Reputation Issues A new report from the Johnson Center for Philanthropy and 21/64 offers an insightful study of the next generation of philanthropists. While many young donors still get information from more traditional sources (such as family members, fundraising events and phone calls), it’s not surprising that most are going online. “The first place they turn when researching a nonprofit is to that organization’s website, and they are shrewd judges of what a website communicates about the legitimacy and quality of an organization,” the report says. 90.6% of respondents employed such websites in their search, and 77.7% used them to donate directly to organizations in the past year. Additionally, 71.1% got information from web searches, while 40.9% used “a charity review/information site such as GuideStar or Charity Navigator.” Social Media Important Tool for Young Philanthropists The data also suggests that social media is becoming an increasingly important tool for many young philanthropists.