TAZ - Hakim Bey Le Net et le Web L'autre facteur contribuant à l'émergence de la TAZ est si vaste et si ambigu, qu'il nécessite un chapitre à lui seul. Nous avons parlé du Net, qui peut être défini comme la totalité des transferts d'information et de communication. (1) ce que nous pourrions appeler la position Fifth Estate/Néo-paléolithique/Post-situ/ Ultra-Verte, qui se définit elle-même comme un argument luddite(7) contre la médiation et contre le Net; et (2) les utopistes Cyberpunk, les futuro-libertaires, les Reality Hackers et leurs alliés, qui voient le Net comme une avancée dans l'évolution et croient que tout éventuel effet nuisible de la médiation peut être dépassé - du moins, une fois les moyens de production libérés.
La Pensée Libre Le Live de la Saison 13-14 Surprise pour la fin ! La présentation se termine en fanfare avec la batucada. Olé !Belle saison à tous ! En mai prochain, nous avons Rendez-vous gare de l’Est. La Une Article11 Psychologies.com Actualité à la Une Trois graphiques qui prouvent que les 35 heures ont créé de nombreux emplois En réaction à l'appel que nous avons lancé pour remettre la réduction du temps de travail au coeur du débat public, Jean Tirole, prix « Nobel » d'économie, avait affirmé, avec son arrogance habituelle, le 8 mai dernier, que « tous les économistes vous diront que le partage du travail est une ineptie ». Nombreux sont en effet celles et ceux qui, comme lui, refusent d'admettre que la réduction du temps de travail puisse être un bon moyen de créer des emplois. Enfermés dans leurs dogmes d'un autre âge, ils se comportent comme le Pape qui, au XVIIe siècle encore, refusait d'accepter que la terre tourne autour du soleil. Et comme Galilée, nous sommes bien obligés de leur dire, au vu de constats empiriques difficilement contestables, « et pourtant elle tourne » même si nous risquons l'excommunication... Un des arguments les plus utilisés pour relativiser cet impact positif des 35 heures sur l'emploi entre 1997 et 2002 c'est : « oui, mais il y avait de la croissance partout à l'époque ».
Numéro 12 Le douzième numéro de La Revue Dessinée sera disponible à partir du 9 juin. dans les librairies spécialisées bande dessinée dans les librairies généralistes Le nageur d’Auschwitz Ils sont les deux faces d’une même médaille : l’un est brillant, l’autre presque trop modeste. Le casino des catastrophes Est-il possible de parier sur la probabilité qu’une catastrophe survienne ? Rue sans interdit Voici un temps que nos parents ont pu connaître dans les années 1970, juste entre la commercialisation de la pilule et l’apparition du Sida. La bombe en question Le dogme serait-il devenu obsolète ? Voyage au Bhoutan Enclavé dans les replis de l’Himalaya, le Bouthan s’est fait connaître sur la scène internationale avec la création du Bonheur national brut (BNB). Les autres chroniques de La Revue Retrouvez également les chroniques habituelles de La Revue, Face B, la Chronique Sportive avec Fabcaro, mais aussi la chronique Sciences par Cécily et La sémantique c’est élastique de James.
« Daesh nous empêche de voir que la question majeure est politique » par Pauline Graulle | Politis Politis : Comment analysez-vous ce qu’il s’est passé à Nice la semaine dernière ? Roland Gori : La prudence serait de dire qu’on ne sait pas. Que l’on a besoin de temps pour préciser les données à recueillir par des enquêtes, et de temps pour une analyse multidimensionnelle mobilisant la pensée. Nous avons besoin de temps pour penser ce qui nous arrive, et comment nous en sommes arrivés là. Globalement, nous réagissons trop vite. Quelle est la responsabilité des médias ? Les médias ont une grande responsabilité dans cette affaire : ils participent à la « star académisation » de passages à l’acte criminel, pour certains immotivés – au sens quasi-psychiatrique du terme – réalisés par des personnalités plus ou moins pathologiques n’ayant aucun rapport personnel avec leurs victimes. À partir de ce moment-là, tout crime, tout meurtre qui pourrait être « marqué » par un signe d’appartenance communautaire, se voit recyclé comme « combustible » made in Daesh. Alors que faire ? Et sinon ?