Huit personnes témoignent: comment devient-on végétarien? Temps de lecture: 18 min Ça n’est sans doute qu’un début: le végétarisme et ses dérivés gagnent du terrain. Que je vous le dise franchement: j'ai beau ne pas (encore) être végétarien, je m'en félicite sincèrement. Les végétariens, végétaliens et autres vegans disposent d’une batterie d’arguments extrêmement convaincants –enfin qui m'ont convaincu– pour vous pousser à imiter leurs comportements alimentaires et à dire adieu à tout de qui est synonyme de souffrance animale. Mais franchir le pas n’est pas chose simple: il faut revoir son alimentation du tout au tout, apprendre ou réapprendre à faire les courses ou à cuisiner, dire adieu à certains péchés mignons. Pas encore franchement prêt à passer de l’autre côté de la barrière, je suis néanmoins tenté par ce monde qui m’ouvre les bras. Je ne sais pas de quoi est fait mon avenir alimentaire, tout en me disant depuis quelques mois que le déclic qui me fera devenir végétarien va peut-être finir par se produire. Mélanie Linda Sarah Camille Marina
11855896 822664651187408 190182771479833704 n KnowYouVeg wearewhatweeat v 1 1 28apr2011 Vidéo de Cause animale Nord : quand l’extrême droite récupère la défense des animaux La vidéo est devenue virale en quelques heures. Ces deux défenseurs des animaux, filmés en train d’arracher un chiot des mains de son maître sans abri, ont provoqué l’indignation des internautes. L’animal, selon les militants, "était drogué par le Rom". Une explication aux relents d’extrême droite, que d’anciens postes Facebook de l’association viennent renforcer. EN SAVOIR + >> La vidéo d'une association de défense animale fait scandale>> Une enquête ouverte après les violences Et ces militants sont bien loin d’être les seuls à prendre la cause animale pour excuse, en légitimation d’un discours xénophobe ou raciste. Engelmann et les "rescapés de l'Aïd" De la même manière, le Bloc Identitaire (groupuscule d’extrême droite) revient régulièrement et toujours très longuement sur la viande halal et sur "la souffrance, la longue agonie des animaux", une pratique qui, selon le groupe, sert "à financer la construction des mosquées". Se soucier des moutons et fêter le cochon
Le paradoxe de la viande La plupart des gens consomment la chair, le lait et les œufs des animaux. La majorité d’entre eux ne sont ni franchement hostiles ni totalement indifférents aux bêtes. Ils ont, par moments du moins, conscience que cette consommation implique la souffrance et la mort des animaux. Comment l’alimentation carnée peut-elle perdurer dans ces conditions ? Cet article fait état des hypothèses avancées par quelques auteurs pour expliquer cette situation et de quelques observations susceptibles de les conforter. Télécharger cet article Sommaire Introduction 1. Soutien des institutionsInvisibilitéCécité acquiseUne histoire de ragoût de chienRouages psychiques à double tranchant 2. Diversité des pratiquesVégétarisme et éthique animaleManger de la cruauté ? 3. Revigorer la fibre carnisteEntretenir le mythe de la nécessitéRassurer sur le bien-être animalEvacuer toute référence à l’animalDévoilements à répétition 4. Conclusion Références Soutien des institutions Invisibilité Cécité acquise En résumé Références
Welfarisme Les économistes ont longtemps été les seuls usagers des anglicismes « welfarisme » ou « welfariste1 ». Le welfarisme désigne chez eux la politique de l'État Providence. Il s'agit des interventions des pouvoirs publics dans les économies de marché destinées à régulariser ou soutenir l'activité productive, et à assurer une protection sociale contre la maladie, le chômage, la vieillesse ou autres facteurs responsables d'une insuffisance des revenus et de la non-satisfaction de besoins élémentaires chez une fraction de la population. Ces termes ont été importés sur le terrain de la question animale. Le mot welfarisme - conformément à l'étymologie - aurait pu rassembler tout ce qui est entrepris pour assurer le bien-être des animaux. Mais l'usage est plutôt de réserver cette expression aux actions et mesures sectorielles destinées à obtenir à brève échéance une amélioration précise de leur sort. L'État Providence inspire à une partie des adversaires du capitalisme une aversion certaine.
Vous n’allez plus voir les loups, les chiens et les hommes comme avant - Rue89 - L'Obs Spécialiste des oiseaux et des manchots, grand observateur des animaux sauvages en pleine nature, rien ne destinait Pierre Jouventin à vivre avec un loup en captivité, qui plus est dans un petit appartement. L’éthologue a pourtant passé cinq années avec une louve, en plein centre-ville de Montpellier, de 1975 à 1980. Aujourd’hui retraité, il a raconté cette histoire longtemps restée secrète dans un livre paru en 2012 : « Kamala, une louve dans ma famille » (Flammarion-NBS, 343 pages, 21 euros). Pierre Jouventin a donc été à la fois le témoin direct de l’extinction massive des espèces qui est en cours et l’acteur d’une rarissime cohabitation entre un homme et un animal sauvage. Rue89 : Dans « Kamala, une louve dans ma famille », vous racontez avoir vécu pendant cinq ans avec une louve dans un appartement. L’épouse de Pierre Jouventin avec la jeune louve Kamala (DR) Pierre Jouventin : C’est une histoire de fou, tout à fait involontaire. Au début, je ne voulais pas la prendre.
Vegetarian mark Sujet à disséquer : la maîtresse d’école 200% carniste | Vegactu Bonjour à tous, veuillez prendre place, vous allez assister à l’étude d’un cas à la fois rare et fort répandu. Fort répandu car le carnisme et le spécisme sont hélas rendus possibles par un appareil idéologique d’Etat ; cependant il est rare de dénicher un spécimen qui possède au si haut point tous les biais de pensée qui les rendent possibles. Vegactu a trouvé ce spécimen pour vous et vous l’analyse à fond. Il s’agit du site de quelqu’un exerçant le même métier que moi, à savoir professeur des écoles en maternelle. Lorsqu’une ferme itinérante vient s’installer dans son école, elle écrit : Un vrai bonheur de voir les enfants s’émerveiller devant les animaux. Les animaux, source d’émerveillement ? Jugeons sur pièce, d’après deux exemples de ses fiches d’identité des animaux… « Le lapin vit dans un clapier… » Vous avez bien lu : le lapin vit dans un clapier. A ce stade, on se demande comment « il marche, il court, il saute », confiné dans un si petit espace. Petite comparaison Précisions :
Les meilleures citations végétariennes ou véganes | Vegactu Nombre de penseurs, philosophes, écrivains ou célébrités ont défendu les animaux depuis des siècles. Parmi les plus illustres, Léonard de Vinci ou Voltaire étaient de fervents défenseurs des animaux et ils étaient même végétariens, comment auraient-ils pu sinon prôner leur défense tout en les tuant pour leur chair ? Vegactu a sélectionné les meilleures citations, actuelles ou anciennes, en faveur des animaux. Cette liste n’est bien sûr pas exhaustive, elle sera actualisée au fil du temps. « Aucun autre sujet que le rejet de la viande n’ouvre une perspective aussi vertigineuse sur les infinies variations de la mauvaise foi et la pauvreté argumentaire. » Dominic Hofbauer, végane, pédagogue pour GAIA. « Vous ne pouvez pas être un écologiste et manger de la viande, point. « J’ai abandonné la pêche le jour ou je me suis aperçu qu’en les attrapant, les poissons ne frétillaient pas de joie. » Louis de Funès, acteur français connu pour son humour caractéristique fait de mimes et de grimaces.
Je suis Végétalien, je vous encule. | Megaconnard Nous y voilà. Nous y sommes. Trois cent soixante-cinq journées sans le moindre morceau de tissu musculaire, de gras, de nerf et de sang animal. Douze mois sans même un seul produit issu d’une quelconque exploitation animalière. Afin de célébrer dignement ce premier anniversaire, quoi de plus normal que de rédiger mon premier article pour ce délicieux blog, de partager avec vous ma jubilation, joyeuse bande de connards que vous êtes. Comprenez bien. Seulement parfois… Nan mais attends, tout de suite… J’ai toujours vécu avec des animaux. Cool. Arrête, on a toujours mangé de la barbaque. Le révisionnisme est une nature qui t’est apparemment propre. Rappelle-toi du chef-d’oeuvre «L’Âge de glace». Quand la verdure te manque, l’instinct de survie prend le dessus. Donc non, ce n’est pas dans la nature humaine de s’enfiler de la barbaque, sale garce affabulatrice. Ouais mais si on domine le monde et qu’on est si intelligent, c’est grâce à la viande ! C’est beau quand tu parles. C’est chaud. Euh.