Dr Weil: le régime anti-inflammatoire En bref Les origines Le régime anti-inflammatoire découle de découvertes (dans les années 1980) de l’impact de certains aliments sur la production de molécules pro-inflammatoires (cytokines, prostaglandines E2 et autres). Par la suite, la découverte d’un marqueur mesurable de l’inflammation dans le sang, la protéine réactive-c, a permis de faire des liens directs entre l’apport de certains nutriments, dont les oméga-3, et le taux d’inflammation. Par la suite, plusieurs auteurs ont proposé des régimes au potentiel anti-inflammatoire, dont le Dr Andrew Weil, qui est certainement l’un des plus grands promoteurs de ce régime, de même le Dr David Servan-Shreiber et, plus récemment, la Dre Serfaty-Lacrosnière. Ces derniers, tout comme plusieurs autres chercheurs et professionnels de la santé, croient que trop d'inflammation est l’une des causes communes de plusieurs maladies, dont les maladies cardiovasculaires, le diabète et certains cancers. Les grands principes Les objectifs Les grandes lignes
Le bio n'est pas meilleur pour la santé | Actualité Une étude américaine n'a pas décelé d'avantages nutritionnels ou sanitaires significatifs. Faut-il encore manger bio? La question mérite, une nouvelle fois, d'être posée après la publication cette semaine dans la revue Annals of Internal Medicine, d'une étude dont les conclusions montrent clairement que les aliments issus de l'agriculture biologique ne sont pas meilleurs pour la santé que ceux produits par l'agriculture conventionnelle ou «chimique». Cette fois, le coup est parti des États-Unis. L'exception du phosphore À leur grand étonnement, les chercheurs ont constaté qu'il n'y avait pas de différence significative entre les deux catégories de produits. Contrairement à ce qu'affirment les promoteurs ou les adeptes de l'agriculture biologique, le contenu en vitamines, en minéraux, en protéines ou en lipides est à peu près le même dans les aliments bio et non bio. Pas significativement plus pollués Protection de l'environnement et bien-être des animaux d'élevage
Plus de mauvais gras dans nos assiettes qu'aux États-Unis | Actualité Les Français et les Américains ne s'alimentent pas de la même manière, c'est entendu. Mais qui mange le plus sainement? Après la publication d'un rapport complet sur la question en décembre 2011, le Crédoc (Centre de recherche pour l'étude et l'observation des conditions de vie) a présenté mercredi une note de synthèse. «Cette différence peut s'expliquer par la consommation plus élevée de produits tels que fromages (six fois plus), charcuterie (cinq fois plus), viennoiserie (quatre fois plus), viandes (trois fois plus) et œufs dans les régimes alimentaires des Français», expliquent les auteurs. Un risque d'affaiblissement du modèle alimentaire français D'autre part, contrairement à une idée reçue communément répandue, les Américains ne mangent pas plus que nous. Les auteurs ne sont toutefois pas très optimistes pour le futur des Français. L'inquiétude est accentuée par une autre tendance de fond: la diversité alimentaire, gros point fort de la France, baisse fortement chez les enfants.
Quand McDonald's critique le fast-food Mc Donald's critique le fast food, rapporte la chaîne américaine MSNBC, le 23 décembre. Ce n'est pas une blague: sur le site réservé aux salariés de la chaîne de restaurants, McResourceline, de curieux conseils leurs sont prodigués. Entre autres, éviter les hamburgers frites. On pourrait presque croire à un acte de piratage. La "junk food", spécialité maison, n'a pas franchement la cote sur le site. Sur une photo, on voit un hamburger, des frites dans un emballage rouge et un soda, bref, un plateau McDo type, accompagné de cette légende: "mauvais pour la santé". S'ensuit un petit texte explicatif : "Manger sainement dans un fast food est un défi. Des experts diététiques extérieurs au groupe Un peu plus loin, une autre image de hamburger frites met en garde contre les risques d'obésité. McDonald's s'est défendu en expliquant que ces conseils étaient sortis de leur contexte, que le site était animé par des experts diététiques extérieurs au groupe.
Jupiter Films - Lumière Au cinéma dès le 15 décembre 2010 En partenariat avec Génération TAOAvec le soutien du Forum Culturel Autrichien ...............Lumière sur Facebook : cliquez ici " *** ""Si cette enquête remet en question nos conceptions et ouvre une porte sur une alternative, elle n'en reste pas moins honnête, rigoureuse, et ne fait aucune propagande." "P.A. "Voilà, avouons-le honnêtement, qui a de quoi troubler les esprits rationnels, et justifie la tentation du réalisateur de remettre plus largement en cause les dogmes de la science positiviste." "Même si le scepticisme reste de mise, ce film peut laisser croire selon quelques spécialistes à la véritable influence de l'esprit sur la matière. "Sans trop s'encombrer d'idéologies fumeuses ou hors d'atteinte des non-convaincus, l'enquête s'attaque à l'énigme biologique et médicale, explore et élargit le débat jusqu'à la valeur des sciences et de nos certitudes.
Une seconde chance pour les fruits moches Thursday, June 19, 2014 8:49 AM GMT Oranges rayées ou poireaux trop fins: des fruits et légumes jugés non conformes aux standards de la grande distribution ont trouvé de nouveaux débouchés à Lisbonne, grâce à des consommateurs prêts à soutenir les agriculteurs, dans un pays en crise. Emilia Teixeira, retraitée, se rend tous les lundis après-midi, panier vide à la main, place do Intendente, dans le centre de Lisbonne, pour faire le plein de fruits et légumes pour la semaine. Ici, ces denrées peuvent paraître moins attractives que celles exposées sur les étals des supermarchés. L'association "Fruta Feia" (fruits moches) se propose de leur offrir une seconde chance. Ce réseau de distribution fonctionne selon le modèle d'une coopérative de consommateurs, où les produits sont réservés aux seuls adhérents. "J'ai été choquée de constater que des tonnes de fruits sont jetées tous les ans, juste parce qu'ils présentent quelques défauts. - Réduire le gaspillage - - Tournée en camionnette -
Etats-Unis : la révolte des élèves contre les légumes obligatoires de la cantine | American Miroir Michelle Obama dans une cantine d’une école dans le Maryland, le 19 mai 2010 (Elisa Miller/NEWSCOM/SIPA) Depuis des mois, la grogne montait dans les écoles. Les élèves jetaient les fruits et légumes désormais proposés dans les cantines. Cette rentrée, nouvelle étape : les distributeurs de chips et sucreries sont interdits. Pour les usagers de Twitter, la colère est facile à vérifier en utilisant le nouveau hashtag #BringBackOurSnacks (rendez-nous nos snacks). Sous des bordées d’injures – « Fucking Michelle Obama ! Vides pour l’instant, car les machines devraient bientôt être approvisionnées en briquettes de lait écrémé, pur jus, eau parfumée, yaourts, et fruits frais prédécoupés ou entiers. Les jeunes se plaignent aussi de mourir de faim à l’école parce que les menus de la cantine sont « à vomir », et qu’ils doivent attendre d’être rentrés à la maison pour manger quelque chose de décent. A l’exemple de cet élève qui, de chez lui, publie la photo d’un assortiment de mets frits :
Monsanto : les produits à boycotter + Liste des Marques à Connaître De très nombreux articles de consommation courante sont élaborés à partir de cultures OGM mises au points par Monsanto, géant américain de la biochimie. Bio à la Une fait la liste de quelques unes des marques à éviter afin de ne pas mettre n’importe quoi dans son assiette. Monsanto, titan de la biotechnologie, est tristement célèbre pour les scandales sanitaires à répétition dans lesquels il est mis en cause. On le sait moins, mais les marques qui contiennent des produits Monsanto envahissent nos rayons. Pour mieux savoir ce que l’on met dans son assiette et dans celle de ses enfants, il est bon de connaître les multinationales, propriétaires de nombreuses marques, qui ont recours à des composants Monsanto. Parmi celles-ci, les sociétés Kraft Philipp Moris, Unilever, General Mills, Coca-Cola, Pepsico ou encore Procter & Gamble. Boissons Produits sucrés Produits salés Hygiène et entretien Que faire contre Monsanto? Un projet internet pour contrer Monsanto
Etude de marché distribution de produit alimentaire bio Xerfi Les magasins bio rattrapent leur retard sur les GSA Le marché du bio enchaîne les années de croissance à deux chiffres. Répondant aux attentes de santé, de qualité et de traçabilité des consommateurs, ces produits séduisent une clientèle toujours plus large et s'installent peu à peu dans les habitudes alimentaires. L'élargissement de l'offre et le développement de gammes à prix réduits contribuent également au dynamisme des ventes. Mais la croissance du marché se traduit logiquement par une concurrence toujours plus âpre. Les points clés de l'étude L'analyse du marché et notre scénario prévisionnel exclusif à l'horizon 2020 Les ventes de produits alimentaires biologiques, la dynamique des ventes par catégorie de produit et par circuit de distribution, le baromètre d'activité Xerfi des magasins spécialisés. Toutes les clés pour comprendre l'évolution de la demande et l'environnement de la demande Les enjeux et les axes de développement des principales enseignes L'agriculture bio en France
Les 8 plus gros mensonges officiels sur l’alimentation Les 8 plus gros mensonges officiels sur l’alimentation Vivre 100 ans, la tête sur les épaules et les pieds dans les sabots Chers amis de la santé globale, C’est malheureux, mais les recommandations des nutritionnistes « officiels » sont souvent à mille lieues des enseignements de la science et du bon sens. Mensonge n°1 : Buvez un bon jus d’orange le matin ! La plupart des gens s’imaginent que les jus de fruit sont bons pour la santé. Pour les chercheurs de l’Université de Harvard, les boissons sucrées (sodas ET jus de fruits) sont responsables de 133 000 décès par diabète, 44 000 décès par maladie cardio-vasculaire et 6 000 décès par cancer [1]. Le pire est le fructose ajouté, que l’on trouve dans les pâtisseries mais aussi la plupart des produits industriels, sous forme de « sirop de maïs » ou « sirop de fructose-glucose ». Et surtout, les fibres du fruit ont l’avantage de « ralentir » le passage du sucre dans le sang. Résultat : au bout de deux heures, c’est l’hypoglycémie. Même pas.
Bien manger : le gras, c'est la (longue) vie "Le gras, c'est la vie" peut-on lire sur les réseaux sociaux, sous des photos de "junk food" habituellement évitée par ceux qui se soucient de garder la ligne. Mais ces internautes auraient-ils finalement raison de se livrer à ces plaisirs alimentaires habituellement défendus ? C’est ce qui ressort des études menées par deux équipes de scientifiques américaines, en Californie, qui ont testé différents régimes alimentaires sur des souris, rapporte Libération. Les scientifiques ont pu également observer un accroissement de 13% de la vie des souris ayant suivi ce régime appelé cétogène (ou Keto), soit un gain de sept à dix ans à l’échelle d’une vie humaine. Graisses et protéines avant tout En quoi consiste cette diète ? La diète cétogène comporte très peu de glucides. Par ailleurs, le régime aurait la propriété de ralentir la maladie d’Alzheimer et la progression des cancers en changeant les modes d’approvisionnement des cellules malades. Les aliments autorisés et proscrits du régime cétogène
Cancer : le risque lié à la nourriture industrielle mis en évidence dans une grande étude française Surgelés, yaourts fruités, snacks, plats cuisinés... une avalanche de produits ultra-transformés par l'industrie agro-alimentaire occupe une très large place dans nos supermarchés et répond aux attentes croissantes d'une société qui cuisine de moins en moins. Ajout d'hormones, de sel, de sucre, de conservateurs, d’additifs et autres traitements chimiques, tous ces composants altèrent ou détruisent les qualités nutritionnelles des aliments transformés, dits "ultra-transformés", très consommés en France et dans le monde. Une nouvelle étude, réalisée en France et au Brésil, associant des chercheurs de l’Inserm, de l’Inra et de l’Université Paris 13 et publiée ce jeudi dans le British Medical Journal suggère que la consommation d’aliments dits "ultra-transformés", et produits par l'industrie agro-alimentaire, accentue le sur-risque de cancer. La malbouffe ouvre la voie au cancer du sein Présentation de ces aliments dits "ultra-transformés" Les habitudes de vie d'une société pressée
Comment fonctionne Yuka, l'appli qui vous mâche le travail en déchiffrant les étiquettes et en notant les aliments ? C'est le défi quotidien du consommateur soucieux de son alimentation. Comment déchiffrer ce qui se cache derrière les sigles et les obscurs tableaux nutritionnels des étiquettes ? En France, l'Etat a bien décidé la mise en place d'un affichage couleur simple, le Nutri-score. Il est aujourd'hui possible de dépasser ce blocage. D'où vient l'idée ? "L'idée est venue d'un de mes associés, Benoît, père de trois enfants, raconte à franceinfo Julie Chapon, cofondatrice de Yuka. Comment ça marche ? Le principe est le suivant : au moment de choisir un produit au supermarché, vous scannez son code-barres avec votre téléphone. Cette indication s'accompagne d'une présentation détaillée des défauts – additifs nocifs, trop calorique, trop sucré, trop salé... – et qualités par produit. La note finale est pondérée de la manière suivante : 60% pour la qualité nutritionnelle, 30% pour les additifs et 10% sur le caractère biologique ou non du produit. D'où viennent les données ? Est-ce fiable ?