Google+ : bienvenue dans la Matrice La lecture de la semaine est un post du blog techno publié sur le site du Guardian, par Charles Arthur (@charlesarthur), journaliste. Son titre : "Google+ n'est pas un réseau social, c'est Matrix". "Presque tout le monde (moi inclus, dit Charles Arthur) a mal compris ce qu'était Google+. Réfléchissez à ceci : si vous créez un compte Gmail, vous aurez automatiquement un compte Google+. La raison pour laquelle Google+ n'est pas un réseau social, c'est que le fait d'avoir des amis ou de suivre des gens n'est qu'une excroissance accidentelle de son but véritable : être une paroi invisible entre vous et le web, une paroi qui voit ce que vous faites, l'enregistre et le stocke pour un usage futur. C'est là que la Matrice entre en jeu. Bien sûr, poursuit Charles Arthur, dans le monde post-Google+, les résultats les plus pertinents sont de plus en plus ceux qui pointent vers des contenus qui sont la propriété de Google. Pour mieux comprendre, Charles Arthur invite à passer par les métaphores.
Trois raisons pour Facebook d’aimer les #hashtags La rumeur courait depuis quelques mois, l'annonce officielle est tombée mercredi 12 juin : Facebook va commencer à déployer sur son site américain les "hashtags" (en français officiel : "mot-dièse") dans le statut de ses utilisateurs. Pour beaucoup d'inscrits sur ce réseau social, la nouvelle a d'abord eu de quoi intriguer. "C'est quoi les hashtags ?", nous ont demandé nos lecteurs sur la page Facebook du Monde.fr, question à laquelle d'autres membres ont parfaitement répondu : D'autres de nos lecteurs sur Facebook, fins connaisseurs du "dièse" (le fameux "#"), ne semblent toutefois pas vraiment convaincus de son utilité (voir : #leshashtagscestridicule, #leshashtagscestbidon). 1. Facebook l'avoue sans complexe dans son communiqué de presse : son système sera "similaire" à celui qu'on trouve sur "Instagram, Twitter, Tumblr, ou Pinterest" (sans compter Vine et Google+, également remplis de "#"). En six ans, les mots-clés sont devenus emblématiques des réseaux sociaux. 2. 3.
Phil Libin of Evernote: The Surprise 3 A.M. Email That Saved His $200M Company | The New OPEN Forum How a mysterious man who loved Evernote ended up saving the company on the night before owner Phil Libin was going to shut it down. February 01, 2013 It was in the middle of a chilly night in October 2008 when Phil Libin started feeling, as he describes it, “like an adult.” His company, Evernote, an online service enabling users to create, catalog and search for notes (in the form of video, audio and text), was going under. Investors were fleeing and Libin had a measly three weeks worth of cash to his name. As he walked into his bedroom that night, he resigned himself to the fact that the following morning he would shut down his company and lay off all 20 employees. Less than 40 minutes later, Libin was on a Skype call with the mysterious man, and just two weeks later, was on the receiving end of a $500,000 wire transfer. Today, Evernote is one of world’s fastest growing Internet companies. Phil Libin: Nope. evernote.com KM: So what happened after that? PL: It’s very tough. PL: Yep.
Dans les coulisses d’un demo-day américain : “Aujourd’hui, vous êtes en haut des montagnes russes” Suite de l’épopée d’un entrepreneur français dans la Silicon Valley, Clément Delangues nous raconte de l’intérieur la vie tumultueuse d’un projet au coeur de l’incubateur Imagine K12. “Aujourd’hui, vous êtes en haut des montagnes russes”. C’est ainsi que notre mentor, Tim Brady, investisseur et entrepreneur reconnu de la valley (ainsi que premier employé chez Yahoo) clôture une journée un peu spéciale de notre vie d’entrepreneur : notre demo day. Quelques mois plus tôt, lors de notre sélection pour Imagine K12, le Y Combinator pour l’éducation, Arnaud et moi avions immédiatement coché cette date dans notre agenda. Une question de traction ? Tout le monde vous le dira, la clef d’un demo-day réussi, c’est la traction. “Practice, practice, practice” Mais Demo day, ce n’est pas uniquement une courbe de croissance. La barrière de l’accent ? Le jour même passe à une vitesse folle. Comment deviendrez-vous une “billion dollar company” ? Article rédigé par Clément Delangues de VideoNot.es
The Internet Map cartographie les liens entre 350 000 sites web dans le monde The Internet Map est une carte regroupant 350 000 sites web et présentant leur importance et les liens entre chacun d’entre eux. Après avoir visité ce site, vous ne verrez plus le Web de la même façon : The Internet Map, élaborée par un groupe de développeurs russes, est une sorte de carte galactique qui regroupe pas moins de 350 000 sites web dans le monde (196 pays), dont la position a été évaluée en fonction de leurs liens (Web sémantique). Au total, ce sont près de deux millions de liens entre les sites présentés qui ont été traités, basés sur leurs similarités en termes de sujets et fonctionnalités offertes (partage, information, etc. …). Les données datent de leur côté de fin 2011, mais il est évident que sur les plus gros sites, la donne n’a très certainement pas changé. La taille et l’importance des cercles, qui correspondent à chaque site, sont déterminées en fonction du trafic généré. L’espace entre les cercles représente quant à lui la force du lien entre les sites. (Source)
Portraits de l'été (4/7) : après Dailymotion, il veut créer le Wikipédia de l’art 01net le 30/07/13 à 12h01 J ’admirais une œuvre. Et, tout à coup, ça m’a semblé évident. » C’est au musée, il y a cinq ans, que Benjamin Bejbaum dit avoir imaginé ArtDB, un système de partage en ligne de photos d’œuvres d’art. « Mais en permettant de les annoter avec des tags, façon Facebook. » Taguer un cliché consiste à placer des zones cliquables auxquelles correspondent des textes informatifs. Objectif ? “Les business qui marchent sont ceux qui naissent d’un hobby” A chaque œuvre, une fiche détaillée. Au cœur d’ArtDB, le système d’annotations permettra d’identifier tous les éléments présents sur leurs photos, du simple pot de fleur au personnage principal, afin d’expliquer l’œuvre avec précision. « ArtDB peut être comparé à IMDb, le site qui répertorie une quantité phénoménale d’informations sur le cinéma et la télévision » , explique Benjamin Bejbaum. Promouvoir les collections Après quatre années de développement, ArtDB emploie une dizaine de personnes.
Une infographie qui rassemble tous les genres musicaux Une infographie qui résume l’ensemble des genres musicaux éparpillés dans le monde ? C’est possible et on dit merci Internet et les algorithmes. Capture d’écran du site Every Noise at Once On en compte plus d’une centaine. Déniché par Slate.fr, le site Every Noise At Once compile tous les genres musicaux possibles et (ini)imaginables. Chaque genre laisse entrevoir une flopée de groupes et artistes qui correspondent. Ce type de page qui rassemble tout un tas de genres musicaux n’est pas nouveau. Capture d’écran de la catégorie nu metal du site Every Song At Once Capture d’écran de la catégorie teen pop du site Every Song At Once
Anatomy of a Perfect Landing Page · Formstack Placement and Content 7. Keep It Above the Fold The space a visitor sees without having to scroll is where the most important parts of the webpage should be. Place the call-to-action button above the fold and in a location where the viewer's eye will scan to. Never have the button or form in a place where it has to be searched for. 8. Optimize a landing page for conversion over time. 9. Implementing motivational speeches, videos of user testimonials, and product images into a home page can have a positive impact on viewers, as well as give shoppers an extra push to look further into a product. Bellroy uses great imagery and videos on many of their pages. 10. Links connecting the user to a bunch of other sites or pages will distract them and have a negative impact on conversions. This landing page is designed well, but look at all those header links getting in the way of the message!
26 Beautiful Landing Page Designs Critiqued with A/B Testing Tips It’s landing page examples time again, and this time I’m going to focus on critiquing the pages from an A/B testing perspective. Each example will examine the thought process you’d go through when analyzing a page (or the reaction a visitor might have when arriving for the first time), a testing hypothesis for how the page might perform better, and some examples of what you could test to prove your hypothesis. This should give you and the page creators some inspiration for further testing, and show what you should consider when you run your own landing page A/B tests. Note: Each landing page was built by customers using Unbounce, and permission was kindly provided by the page creators. Let the critiques and A/B testing tips begin! Actually before we start, let’s take a moment to reflect on a mistake from the past. Do you remember those old grey Windows buttons that said “Submit”? Be warned, I’ll call out anyone (nicely) who uses that foul button language in the critiques below. 1. Thoughts
30 amazing landing pages for your inspiration Landing Pages are used for many different things. Some of us have products to sell. Many of us have apps to sell. When done incorrectly, they can end up being a waste of time. Landing page inspiration Many Landing Pages actually do much of the same thing, but sometimes it’s better to see it and visualize rather than think about it in theory. Bear CSS This is a rarity where a landing page isn’t asking you to buy or download anything, but it is attempting to be helpful. SquareSpace This an effective landing page because everything lives its own space. CrowdSpottr I’m sure you can tell that many people use landing pages for apps. Designed to Move This is one of the rare circumstances where its okay to be a little mysterious with your information. Everest This seems to be a wonderful app that I think is amazing. Flex This landing page is great because of the easy-to-read, easy-to-relate to images and videos that they use. Go Live! Goodmix.fm Gridset Grooveshark Hipstamatic Kaleidoscope Klout Treehouse
Etude de la consommation de biens et services culturels dématérialisés en France OpinionWay vient de publier le rapport d’une étude commandée par Hadopi. Celle-ci traite du volume de consommation des biens et services culturels dématérialisés en France. Dans le PDF disponible sur leur site, OpinionWay nous livre les chiffres clés d’un marché sensible que tente de contrôler tant bien que mal l’Etat. Quels sont les pratiques des français ? Consomment-ils beaucoup d’œuvres culturelles dématérialisées ? Et surtout, sont-ils des pirates ? Dans sa mission d’observation des usages des internautes français, Hadopi a confié à OpinionWay, institut spécialiste des études en ligne et d’opinion, le soin de mener une enquête sur le volume d’œuvres consommées de manière licite et illicite, que ce soit en téléchargement ou en streaming. Pour cela, l’institut a utilisé la technique des carnets de consommation, à savoir des questionnaires en ligne que les sujets de l’étude devaient remplir quotidiennement pendant 7 jours, entre le 26 avril et le 3 mai 2013. Source et images
Portes ouvertes des startups Les 10, 11, 12 octobre 2013, Paris Région Lab et la Ville de Paris proposent aux entreprises innovantes parisiennes de participer aux Portes ouvertes des startups parisiennes « My startup in Paris ». Cet événement offre au grand public l’occasion d’aller à la rencontre des innovations parisiennes portées par des centaines de startups à travers toute la ville. Les milliers de startups parisiennes inventent la ville de demain et développent dans des lieux parfois étonnants et très souvent méconnus, les procédés innovants et technologies du futur. Après le succès de la première expérience initiée en 2012 par Paris Région Lab et la Ville de Paris qui a permis à plusieurs milliers de Parisiens d’aller à la rencontre de ces entrepreneurs innovants, ce seront plus de 300 startups qui ouvriront leurs portes du 10 au 12 octobre 2013 dans plus de 30 lieux différents.
IMVN Ile-de-France / CAP DIGITAL Paris Region Comment Spotify pourrait aider les nouveaux artistes à gagner leur vie Dans le cadre de notre partenariat avec Music Ally, une analyse du contentieux Spotify/Thom York par Stuart Dredge . Et une analyse de l’avenir du streaming tout court! N’hésitez pas à vous abonner à Music Ally et à leur offre gratuite ici: C’est l’heure de se poser deux minutes et de réfléchir à tête reposée au débat qui a eu lieu cette semaine au sujet des « artistes contre spotify ». Le débat est trop blanc ou noir, trop « musique vs technologies », « traditionnel vs innovation », « artistes vs multinationales ». Au moins 80% du débat est basé sur des rumeurs, des données volontairement mal interprétées, des vieilles rancœurs, et le souvenir malheureusement exact des très nombreux exemples d’artistes s’étant fait avoir par les nouvelles méthodes de distribution. En Norvège, les ventes de musique ont augmenté de 17% au premier semestre 2013 par rapport à 2012. La valeur apportée aux artistes ayant une carrière établie est également prouvée.