Un impression 3D a permis la reconstruction d'un visage humain
L’impression 3D se développe énormément. Tout d’abord créer pour réaliser de petites figurines, mais aussi, et plus impressionnant encore pour recréer des organes cette technologie a aujourd’hui changé la vie d’un patient a qui l’on a reconstruit une partie du visage. Eric Moger, atteint d’une tumeur à la tête a été opéré par les chirurgiens qui ont malheureusement dû lui enlever une grande partie de son visage. En outre, il perdit sa joue, sa mâchoire et son crâne, lui laissant un trou de la taille d’une balle de tennis dans la tête… C’est alors que les médecins ont décidé de recourir à l’impression 3D afin de lui créer une prothèse et ainsi, recouvrir la partie manquante et lui permettre de retrouver un visage plus harmonieux. D’après l’interview à The Telegraph, la vie d’Eric Moger a beaucoup changé depuis : Quand je l’ai eu dans ma main, c’était comme regarder mon propre visage.
Sculpteo
Why 3-D Printing Will Go the Way of Virtual Reality
Update: Tim Maly has published an excellent counterpoint to this post over at the Tech Review Guest blog. There is a species of magical thinking practiced by geeks whose experience is computers and electronics—realms of infinite possibility that are purposely constrained from the messiness of the physical world—that is typical of Singularitarianism, mid-90s missives about the promise of virtual reality, and now, 3-D printing. As 3-D printers come within reach of the hobbyist—$1,100 for MakerBot’s Thing-O-Matic—and The Pirate Bay declares “physibles” the next frontier of piracy, I’m seeing usually level-headed thinkers like Clive Thompson and Tim Maly declare that the end of shipping is here and we should all start boning up on Cory Doctorow’s science fiction fantasies of a world in which any object can be rapidly synthesized with a little bit of energy and raw materials. Let’s start with the mechanism. Most 3-D printers lay down thin layers of extruded plastic.
L’espoir par la technologie : un homme retrouve son visage grâce à l’impression 3D
L’impression 3D ne sert pas qu’à créer des figurines ou des armes à feu. Cette technologie sert aussi le domaine médical, comme le montre cette histoire touchante d’une victime du cancer qui a retrouvé son visage grâce à celle-ci. La vie d’Eric Moger a changé depuis l’intervention qui lui a recréé une partie de son visage. Quand les chirurgiens ont enlevé la tumeur de la tête de Eric Moger, une grande partie de son visage a été perdue. Un nouvel exemple d’impression 3D qui montre tout le potentiel de cette technique pour le domaine médical. Recréer des organes ou des parties de notre anatomie pour soigner des blessés, voilà une raison de plus pour aimer l’imprimerie 3D.
Imprimantes 3D Dimension, prototypage et fabrication rapide, impression 3D
Impression 3D : la nouvelle révolution industrielle
01Business le 24/03/11 à 00h00 Du modèle 3D à l'objet physique en quelques clics, telle est la promesse de l'imprimante 3D. Inventé dans les années 80, le concept s'appuie sur la technique de la stéréolithographie (SLA). Son but : disposer d'une machine pouvant produire un objet de manière autonome, en lui soumettant simplement un fichier 3D réalisé avec un outil de CAO du marché. Ces machines, au départ réservées aux laboratoires, connaissent un brusque développement dans les années 2000. Un outil de choix pour le marketing et le design Z Corporation, notamment, a acquis en 1995 une licence de la technologie d'impression mise au point par le MIT (Massachusetts Institute of Technology) : ses imprimantes ZPrinter réalisent une fabrication d'objets laminés en projetant un liant dans une poudre composite. Le procédé est simple d'emploi et sans danger : la machine se recharge avec des cartouches de matière. Toutefois, la surface des objets produits ainsi n'est pas parfaite. À grande échelle
L’impression 3D du métal gagne du terrain en France - Mécanique
L’école Grenoble INP inaugure aujourd’hui une machine de fabrication additive à technologie EBM (Electron Beam Melting). La quatrième en France, la première en milieu universitaire. L’impression 3D de pièces métalliques monte en puissance en France. Ce lundi 8 avril, l’école Grenoble INP inaugure sa première machine de fabrication additive par faisceau d’électrons. Une technologie appelée EBM, pour "Electron Beam Melting", et qui consiste à souder une forme par fusion dans un lit de poudre métallique grâce à l’action d’un faisceau d’électron. Jusqu’à présent, la fabrication additive de pièces métalliques s’effectuait principalement par l’action d’un laser. De plus en plus utilisés dans des secteurs comme le spatial ou le médical, les matériaux architecturés sont une catégorie d’objets dont les formes s’inspirent de certaines structures microscopiques (organisations en cellules, en alvéoles, en enchevêtrements ou encore en strates). Une machine universitaire pour les industriels
SolideXpress impression 3D